Poudlard secret : Le monde caché de Harry Potter

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Contribution N° 4 : Nymphesis sex toy 2

Publié le mercredi 4 février 2009

Contribution de Bibi-chan

Nymphésis : sex toy part 2

WARNING!!

Je vous rappelle que tous rapports anaux (merci de penser à utiliser la VASELINE et de ne pas faire comme les PORNOS), buccaux (pour le cunnilingus, il existe la digue dentaire, qui est un bout de latex prévu en conséquence, sinon, employez un bout de préservatif en l'étirant), ou vaginaux sans protection sont des rapports à RISQUE! N'imitez donc pas les protagonistes de cette histoire qui ont un comportement des plus dangereux. Mais heureusement pour nous, ceci est une fiction.

A part ça, enjoy et n'oubliez pas: La capote est votre meilleure copine ! ^-^

Hermione revenait de la salle de bain après avoir tenté de calmer l’appétence de ses sens avec une douche bien froide. Avant de se glisser dans la chaleur de ses draps, elle avait revêtu son éternel pyjama en coton blanc version jeune femme célibataire depuis trop longtemps, sur lequel étaient imprimés de fiers petits lapins roses gambadant parmi les fleurs. Comme tous les samedis soir, elle allait bien entendu s’adonner à sa très attendue caresse hebdomadaire en solitaire, mais elle décida de parachever la masturbation de son esprit - déjà fortement stimulé par les visions qu’elle avait eues - en continuant la lecture d’un livre récemment acquis, intitulé “Nymphésis, Sex Toy”. L’action de ce dernier se déroulait au cœur d’un monde gouverné par les femmes, où les hommes étaient réduits à l’état de simples reproducteurs et jouets sexuels pour ces dames. Notre jolie Gryffondor s’identifiait d’ailleurs totalement à l’héroïne de ce roman : Nymphe, jeune Impératrice de dix-sept ans. Nymphésis était le nom attribué au favori de celle-ci, place très convoitée par les mâles puisque ce statut privilégié leur permettait de bénéficier de nombreux avantages. Son dernier préféré s’étant fait trop paresseux à son goût, Nymphe avait décidé d’en changer et était allée à Jouetclub’s Marché afin de s’en procurer un tout neuf. Hésitante entre deux jouvenceaux d’une époustouflante beauté, respectivement prénommés Dan et Tom, elle avait fini par tous deux les acheter et s’était empressée de retourner au palais en vue de les tester un par un. Car nul ne pouvait prétendre au titre de favori avant d’avoir fait ses preuves auprès de la souveraine.

  Cette œuvre très inspirée, avait été écrite par une certaine Bibi Tchane - encore un nom à coucher dans la cabane hurlante me direz-vous, piètre auteur plus connue pour ses scènes cochonceteuses que pour ses intrigues débordantes d’originalité. Mais cela importait peu à notre mignonne Rouge et Or, qui adorait littéralement ses écrits pour tous les détails fournis quant aux ébats charnels entre les divers protagonistes. Elle était d’ailleurs rendue à un passage des plus émoustillants, qui décrivait ledit Tom en train de faire passionnément et sauvagement l’amour à sa belle dans toutes les positions inimaginables, démontrant ainsi ses excellentes qualités d’amant. Qui plus est, ce dernier ayant étrangement les caractéristiques physiques d’un certain Malefoy, elle commençait sérieusement à se représenter l’action en imaginant ce cher Serpentard la posséder de la même façon que le jeune premier du livre précité.

  Malefoy…Sex Toy…, songea-t-elle.

  Tiens, ça rime !

  Elle quitta des yeux un instant sa bible sexuelle pour se remémorer la torride scène qu’elle avait pu voir un peu plus tôt. Bon sang, d’après les gémissements de la Poufsouffle, se faire monter par le Vert et Argent devait être une sacrée partie de plaisir ! D’autant qu’elle n’avait jamais testé une autre position que celle du matelas-vivant, plus communément appelée “missionnaire”, tandis que celle à quatre pattes lui semblait beaucoup plus intéressante ! Elle repensa alors à son amie Ginny qui, tout comme elle, avait paru des plus frustrées ces derniers temps, pour soudainement afficher en début de semaine une mine rêveuse et satisfaite. A ce changement, elle avait prétexté avoir simplement passé une excellente soirée à jouer aux Dominos en toute innocence avec Harry et Drago, qui-passait-par-là-comme-par-hasard-et-aurait-eu-une-subite-fascination-pour-ce-jeu-Moldus, selon elle.

  Ouais, c’est ça…Je suis sûre que tu as dû sacrément t’amuser à les enchaîner les Dominos ! se dit-elle, légèrement vexée.

  A quoi servait une amie si elle n’était pas fichue de vous indiquer les bons plans ?! Elle aurait pu au moins lui avouer que leur ami commun savait se rendre profondément utile auprès de la gent féminine aux vues de ses naturelles dispositions ! Et surtout : que l’autre serpent à sonnettes savait apparemment très bien manier son corps de reptile - de la tête à la queue - pour se mouvoir avec autant d’aisance et faire ainsi prendre son pied à une petite chanceuse, comme elle-même n’avait jamais encore joui ! Certes, elle n’avait cessé de clamer à ses amis qu’elle le détestait afin de les rejoindre dans leurs opinions de parfaits Gryffondors, mais c’était pour mieux dissimuler ce qui la rongeait en réalité intérieurement. Car la demoiselle était contaminée par une étrange maladie qui se révélait extrêmement contagieuse dès l’âge de la puberté atteint : l’irrésistible inclination pour les sexy mauvais garçons, Malefoy étant l’incarnation même de cet archétype d’après elle. Il était évidemment hors de question de révéler ce penchant à ses acolytes, qui y auraient vu là folie pure et traîtrise hormonale.

Cependant, la récente découverte de la complicité sexuelle qu’entretenait Harry avec son ennemi, conjuguée à sa certitude que Ginny s’était envoyé dernièrement le beau Serpy, lui faisait à présent songer à réviser sérieusement sa position. Pourquoi resterait-elle dans l’ignorance du plaisir, quand ledit Bad Boy semblait tout à fait prêt à lui donner ce qu’elle souhaitait ?

  Quelle conne ! J’aurais dû essayer de me le faire bien avant !

  Un bruit mat vint tout à coup la sortir de ses libidineuses pensées. Elle tourna donc la tête vers la provenance de ce son et son cœur bondit dans sa poitrine en découvrant l’objet de ses refoulées envies à sa fenêtre, chevauchant crânement son balai dans les airs et arborant un sourire malicieux.

  « Malefoy ? » murmura-t-elle, les yeux écarquillés de surprise en reposant son livre sur le lit.

  Curieuse de connaître la raison de sa venue, Hermione ne se fit pas prier pour aller ouvrir la fenêtre et vit le Serpentard s’engouffrer immédiatement dans la pièce sans même attendre d’y être invité.

  « Fais comme chez toi ! lança-t-elle sarcastiquement pour marquer son impolitesse, en notant la douce fragrance qu’il avait laissée en passant devant elle.

  – Merci, c’est bien ce que je compte faire ! répondit-il sur un ton identique, en posant son balai sur le bureau.

  – Pardon ?! »  

Elle n’eut pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’il avait déjà sorti sa baguette de la poche arrière de son pantalon noir et jeté un sort d’insonorisation, pour ensuite sceller porte et fenêtre d’une autre formule magique. Puis il plongea ses iris pétillants de concupiscence dans ceux étonnés de la jeune fille et dit avec facétie :

  « Potter m’a confié que tes camarades de chambre n’étaient jamais là le samedi soir… Alors j’ai pensé que tu avais peut-être besoin de compagnie ? »

  Déconcertée, elle hésita quelques secondes avant de répliquer :  

« Ta Poufsouffle t’a laissé en plan pour que tu viennes me voir, ou quoi ? Tu es encore en manque ?!

  – Elle est toujours là-bas si tu veux tout savoir, rétorqua-t-il avec espièglerie en s’avançant vers elle. D’ailleurs, je devrais être en train d’attaquer le second round, mais… »

  Arrivé à seulement un mètre de l’adolescente, il ferma soudainement les paupières et se mit à renifler comme s’il humait avec délice une senteur qui semblait enchanter ses papilles olfactives.

  « Cette odeur…, reprit-il avant de la fixer de nouveau avec intensité en souriant de plus bel. Dis-moi Granger, qu’est-ce qui t’a mis dans un tel état d’excitation pour que je puisse sentir ta cyprine d’ici ?

  – Quoi ?! s’exclama-t-elle, les joues rougissantes.

  – Elle est légèrement masquée par le parfum du savon que tu as utilisé pour te laver, mais s’il y a une chose que je sais pertinemment reconnaître chez une femme, c’est bien cette odeur qui trahit l’effervescence de son corps. »

  Drago continua de s’approcher de la demoiselle et s’arrêta à quelques centimètres de son visage, appréciant la confusion qui s’était nichée au sein de ses prunelles. Puis il lui caressa doucement la joue du revers de la main et lui chuchota suavement à l’oreille :

  « Les notes fruitées de ton essence sexuelle me rappelle cet aphrodisiaque qu’est la vanille, ce qui la rend particulièrement stimulante… J’ai sincèrement hâte de la goûter. »  

Il n’en fallut pas davantage à la jouvencelle pour éprouver instantanément une fugace sensation de chaleur dans le bas-ventre, aussi extatique que l’était le fait de s’imaginer la langue du jeune homme effleurer avec langueur les nymphes de son intimité. Aucun de ses abrutis d’anciens petits amis n’avait daigné la gratifier de cette douceur qui semblait pourtant être une des meilleures ! Pourquoi irait-elle donc se faire violence en refusant une telle proposition de sa part ?!

  « Heureusement que je n’ai pas encore perdu l’usage et l’adresse de ma langue comme tu sembles avoir perdu la tienne en ce moment, Granger. »

  La seconde suivante, la concernée hoqueta brusquement de surprise en sentant le Serpentard empoigner fermement ses fesses pour la soulever et l’inciter à entourer sa taille masculine de ses fines jambes. Instinctivement, elle passa ses bras autour de son cou et se laissa porter ainsi jusqu’au mur sans mot dire.

  « De quelle manière veux-tu que je te fasse l’amour, ma belle ? demanda-t-il d’un ton diablement sensuel. As-tu envie que je te prenne de la sorte, plaquée contre ce mur ? Souhaites-tu expérimenter toutes les positions que tes Trolls d’ex amants ne t’ont jamais fait découvrir ? »

  A ces mots, une deuxième vague exaltée réchauffa sur le champ le creux de ses reins, achevant de semer le trouble et l’avide besoin de rapports charnels au plus profond de son être. Elle réussit néanmoins à articuler :

  « Comment…  

– Certaines filles m’ont fait quelques confidences sur l’oreiller après avoir partagé la couche des idiots avec lesquels tu as toi-même couché, la coupa-t-il en la regardant d’un air mutin. Fais-moi plaisir et rends-toi service la prochaine fois que tes hormones te travailleront : viens me voir au lieu de t’envoyer des dégénérés congénitaux ! Tu ne peux pas savoir à quel point je serai enchanté de te combler ! »

  Pour ajuster le geste à la parole, le blondinet commença à l’embrasser lascivement dans le cou, avant de débuter quelques légers coups de reins pour simuler l’acte sexuel tout en la maintenant habilement pressée contre lui. La réaction de l’adolescente ne se fit pas attendre, puisqu’elle enfonça ses doigts dans le pull bleu du garçon et enserra un peu plus ses cuisses autour de son corps, pour laisser ensuite un soupir de béatitude s’échapper de ses lèvres rebondies.

  « Alors dis-moi…, lui susurra-t-il. Qu’est-ce qui a pu susciter ton humidité avant que je ne n’arrive ? As-tu repensé à ce que tu avais vu ce soir ? T’es-tu imaginé à la place de cette fille ? demanda-t-il d’une voix empreinte de désir en lui suçant le lobe de l’oreille. As-tu fantasmé sur l’idée de te faire caresser par Potter et moi en même temps ? Aimerais-tu que nous te fassions l’amour l’un après l’autre ? »

  La jeune fille restait muette à l’énoncé de ces paroles érotiques, mais son souffle se fit plus saccadé et ses joues s’enflammèrent littéralement. Voyant cela, Drago décida d’intensifier son exaltation manifeste, en déposant quelques doux baisers sur son visage tout en poursuivant malicieusement :

  « T’es-tu représenté nos corps perlant de la sueur du plaisir blottis contre le tien dans une étreinte enfiévrée ? Souhaites-tu sentir nos sexes s’enfoncer au plus profond de ton ventre avec passion pour te mener à l’orgasme ? »

  Puis il marqua une courte pause avant de plonger ses yeux dans les siens et conclure dans un murmure sexuellement envoûtant :

  « As-tu maintenant envie que je te fasse jouir en te faisant l’amour ? »

  Pour seule réponse, elle acquiesça de la tête entre deux halètements discrets et apprécia le délice de percevoir enfin sa langue masculine se glisser entre ses lèvres pour s’entremêler à la sienne.

  Merlin que le changement de programme pour la soirée semblait réellement bien s’annoncer !

  Impatient de passer à l'action, le Serpentard se dirigea vers le lit sans quitter la bouche de sa conquête et l'y déposa délicatement. Puis il remit sa baguette dans sa poche et s'allongea pleinement sur elle tout en approfondissant le baiser, alors qu'elle glissait ses paumes sous son pull afin de toucher sa peau nue. Au bout d'une minute, il se redressa sur ses avant-bras et lui lança un regard brûlant de convoitise, avant d'ôter brusquement et sans préavis son bas de pyjama de même que sa petite lingerie. Surprise et un peu gênée, la Gryffondor replia les jambes sur sa féminité ainsi dévoilée, tandis que le garçon esquissait un sourire de satisfaction et se délectait de la vue d'ensemble en se tenant debout devant elle. Ne voulant pas perdre de temps, il jeta les vêtements à terre et se débarrassa de son propre haut pour l'envoyer les rejoindre, permettant à la demoiselle de priser à loisir son torse presque imberbe et finement athlétique. Arborant un air coquin et prédateur, il s'agenouilla ensuite sur la couche aux pieds de sa mignonne et faufila une main entre ses cuisses pour effleurer le coeur de cet Eden voluptueux qui le conduirait bientôt à la jouissance. Doucement, il insinua un doigt dans les profondeurs de cette érotique contrée et déposa une tendre caresse sur son mollet afin de la détendre, lorsqu'il la perçut se contracter de l'intérieur. Chose réussie, il entreprit quelques va-et-vient au sein de son humide exiguïté et la vit fermer les paupières de plaisir quand il immisça un deuxième doigt en elle, tout en conservant un mouvement oscillatoire.

  Merlin ! Elle dégage une de ces chaleurs ! pensa-t-il, se languissant d’avance de mettre une toute autre partie de son anatomie à cet endroit.

Plus il prolongeait ce début de préliminaires, plus le nectaire de cette belle plante sécrétait ce liquide bien particulier qui avait le don de l’exciter démesurément lors de ses autres rapports sexuels. Il adorait toucher, humer, déguster la cyprine de toutes ses amantes qui se révélait être si différente et propre à chacune. Qui plus est, l’exquise odeur de celle de son actuelle partenaire était à elle seule la promesse d’un délicieux cunnilingus. Il retira son affectueuse main de l’accueillante intimité et fixa avec espièglerie la demoiselle qui avait rouvert les yeux. Il contempla ensuite avec envie la substance féminine répandue sur ses doigts, avant de les mettre dans sa bouche et de les faire lentement glisser entre ses lèvres masculines.

  « Je savais que tu avais bon goût. » ronronna-t-il en souriant.

  Franchement, que voudriez-vous répondre à cela ?

  Les joues empourprées d’un léger embarras, Hermione ne sut que dire après le geste terriblement sensuel du garçon et ne se contenta que de le regarder avec fascination. N’étant absolument pas habituée à ce genre de choses, elle devait bien reconnaître que l’audace et l’érotisme aguicheur dont il faisait preuve la décontenançait un peu. Néanmoins, cela avait l’avantage d’accroître sa concupiscence et d’exacerber cet étrange besoin de se faire “remplir”, de combler cette soudaine sensation de vide apparue en son intérieur. Elle le vit ensuite placer son visage à l’entrée de son corps et sentit sa langue effleurer précautionneusement les portes de son privé fruitier, avant d’en franchir le seuil pour en apprécier les premières allées. Nul doute que le jeune homme devait être un jardinier hors pair étant donné sa dextérité à cultiver le plaisir au sein de son petit rosier.

  Après avoir langoureusement effleurer son petit Point d’Amour, Drago entreprit de s’insinuer le plus loin possible dans cette fleur en se régalant de son miel abondant, donnant véritablement l’impression à l’enchantée que ce dernier devait être des plus succulents. De manière instinctive, elle souleva donc son bassin et le colla contre la bouche de son amant, afin que sa langue bienfaitrice puisse visiter les plus reculées parois de son étroitesse. Et lorsqu’elle perçut ses lèvres emprisonner les nymphes de sa féminité en effectuant silencieusement une délicate succion pour récupérer un peu plus de son nectar, elle sursauta faiblement de surprise mêlée au délice que lui procura cette nouvelle sensation. C’était à la fois plaisant et diablement enivrant que d’avoir le sentiment d’être à ce point savoureuse.

  Une fois rassasié du mets de la jeune fille - le meilleur qu’il n’ait jamais eu à estimer jusqu’à maintenant, il remonta à sa hauteur et se blottit doucement contre elle. Puis il prit appui sur son avant-bras et plongea ses envieuses prunelles dans celles troublées de la jouvencelle, avant de redessiner les contours de ses fines lèvres d’une main empreinte de légèreté. Sans détourner ses yeux des siens, il laissa deux doigts malicieux pénétrer sa petite bouche et débuta un voluptueux va-et-vient en affichant un sourire coquin, quand il la vit se plier à son jeu et sucer ces deux corps étrangers d’une si prometteuse habileté. Il ne lui restait plus qu’à espérer qu’elle accepterait d’en faire de même avec sa virilité parfaitement éveillée, qui manifestait d’ailleurs durement sa curiosité de rencontrer ces deux chaleurs humides que ses doigts avaient déjà eu la chance de visiter. L’instant suivant, il retira ces derniers pour les glisser sous le haut de pyjama - peu affriolant - de sa jolie conquête et engloba d’une paume gourmande un de ses seins. Rond et ferme, il s’engoua immédiatement de cet appétissant trésor, merveilleux symbole de l’érotisme féminin, qui contrastait assez drôlement avec les petits lapins enfantins imprimés sur la tenue qu’elle portait nuitamment. Il commença alors à flatter sans retenue cette courbe qu’il comptait bien suçoter jusqu’à l’ivresse ultérieurement, et se pencha pour embrasser avec passion la Gryffondor. Il lui faisait déjà l’amour à travers ce long baiser, cherchant continuellement à s’immiscer au plus profond d’elle-même, leur langue se câlinant généreusement l’une et l’autre tandis que leurs soupirs d’aise se rendaient un écho mutuel.

  « Tu as le goût de ma cyprine… » murmura-t-elle d’une voix émue par l’excitation.

  Le Serpentard répondit à sa constatation par un franc sourire, rehaussé d’un regard empreint d’un étincelant et amoureux désir. Puis sans mot dire, il alla assouvir l’appétence grandissante de ses iris en admirant premièrement la poitrine de la séduisante, pour combler deuxièmement sa bouche masculine en tétant avec finesse et chacune à leur tour, les minces extrémités de ces deux pommes d’amour. Il se félicita ensuite de la réussite de ces attouchements, puisque la ravissante brune témoigna de son contentement en passant une main caressante sur son dos mis à nu et dans sa blonde chevelure. Enfin, il lui fit comprendre d’un regard animé par l’avidité qu’il souhaitait lui aussi bénéficier de ses lascives faveurs.    

  Hermione saisit parfaitement le sous-entendu de son œillade et l’incita à se coucher sur le lit afin de s’occuper de lui. Lentement, elle défit son pantalon pour l’abaisser avec son caleçon et observa quelques secondes la turgescence de ce qui devait sans l’ombre d’un soupçon être la fierté personnelle du garçon. D’ordinaire et même si elle se plaisait pourtant à la satisfaire, la Rouge et Or ne trouvait pas que la virilité d’un homme puisse posséder les attributs de la beauté, mais forcée d’admettre que celle-ci était on ne peut plus charmante. D’une taille respectable aux lignes délectables, elle avait en plus l’avantage de ne pas être affublée d’une épineuse et affreuse broussaille à la base, dont la senteur était parfois des moins appréciables. Ainsi, cette discrète pilosité d’un blond impérial ne gâchait pas le paysage et l’observation des moins sages que la jeune fille enhardie était en train d’oser. Elle était presque en admiration devant les deux petites rondeurs bien enveloppées par une peau à la visible fermeté, qui ornaient merveilleusement la queue du serpent quand d’autres les avaient déjà aussi pendantes que les boucles d’oreilles de sa grand-mère. Certains les avaient d’ailleurs si relâchées au même âge, qu’ils auraient pu rivaliser avec les emballages privés, flasques et détendus, des papys aussi vieux que Dumby.

  Enthousiasmée par la grâce de l’assemblage, elle s’empara du membre majestueux et s’humecta les lèvres avant de les poser sur l’arrondi de ce dernier. Doucement, elle insinua l’objet de sa convoitise dans le creux chaleureux de sa bouche et se plut à le lécher comme la meilleure des gourmandises. Pendant plusieurs minutes, elle s’appliqua à faire de soignées allées et venues sur l’organe tendu, en accordant harmonieusement les oscillations de sa tête et de sa main, sans omettre de gratifier les deux petits et ronds joyaux de quelques caresses. Puis, encouragée par le souffle plus saccadé de son partenaire, conjugué à la tendre manière dont il lui effleura la nuque, elle alterna ses mouvements en suçotant doucement la pointe de sa masculinité, pour ensuite passer une langue audacieuse et humide sur toute sa longueur. Mais alors qu’elle le percevait se durcir davantage, Drago lui fit soudainement signe de stopper ses élans. Surprise, elle se redressa et l’interrogea du regard.

  « Je vais…éjaculer… » dit-il avec peine, la voix enrouée par le plaisir et les joues finement rosies.

  Il la vit à cet instant esquisser un timide sourire de satisfaction, heureuse que ses petites attentions buccales lui aient fait à ce point de l’effet. La réaction de la Gryffondor ainsi que la sienne, le motiva plus encore à passer à l’acte. Ses reins étaient en feu et il se savait incapable de lutter contre le besoin immodéré de la posséder sur le champ. Avec adresse et célérité, le blondinet enleva donc les dernières barrières vestimentaires qui faisaient obstacle à leur complète nudité et se pressa allègrement contre le corps chaud de sa compagne. Il lui écarta les cuisses avec sensibilité pour s’y engager et partagea avec elle un baiser enfiévré, tandis que d’une main il guidait sa virilité jusqu’à la voluptueuse lisière de son exiguïté. Se sachant bien placé, il se disposa ensuite un peu mieux en prenant appui sur ses bras et plongea ses prunelles enflammées dans celles de la demoiselle avant de s’immiscer enfin dans la chaleur de son intimité.

  Malefoy entreprit de la pénétrer d’un premier coup de reins délicat et ne put réprimer un soupir de bien-être, lorsqu’il perçut les parois de sa petitesse féminine s’éclorent à son passage et sa tiède cyprine l’entourer. Quand d’un second mouvement de hanches il s’enfonça entièrement dans ce paradis charnel, il ferma les yeux et lâcha un bref gémissement sous l’extase de cette union. Il se blottit alors dans les bras de la jeune fille, appréciant le velouté de sa poitrine sur la peau de son torse et réfugia son visage dans le creux de son cou. Puis, il renouvela ses va-et-vient d’une infinie douceur et de façon régulière, tout en prenant soin de s’insinuer en profondeur. Dès lors, il la sentit mettre ses paumes sur son fessier pour intensifier son action et ce fut avec plaisir qu’il exauça sa requête silencieuse, excité comme jamais par la respiration de son amante qui se faisait plus prononcée à chacune de ses immixtions.   

  Cependant, il réalisa que la Rouge et Or en souhaitait davantage, quand elle entoura sa taille de ses jambes et releva tant qu’elle le put son propre bassin afin de parfaire leur fusion. Elle le voulait plus présent, désirait que sa masculinité vienne rencontrer les régions les plus éloignées de son intérieur et que ses poussées se fassent plus vigoureuses, encore et encore. La discontinuité de son souffle et les intimes resserrements qu’elle effectuait presque inconsciemment autour de l’organe du garçon, témoignaient amplement et à eux seuls de son actuel ressenti. Mais la moiteur de leur corps, la chaleur du sanctuaire de l’adolescente dont les cloisons ne cessaient de se rétrécir, ajoutés au bruit érotique émis par les fougueuses oscillations qu’il accomplissait en se mêlant sans se lasser à son humidité, menaçaient réellement de le faire venir en peu de temps. Et s’il y avait une chose à laquelle il aspirait plus que tout, c’était bien de la combler dans tous les sens du terme avant d’atteindre lui-même l’orgasme.

  Question de fierté malefoynienne.

  Eprouvant la jouissance imminente, Drago s’arrêta à regret, quelque peu essoufflé, et caressa amoureusement les joues roses de sa conquête avant de l’embrasser passionnément. Là, il se rappela que lorsqu’elle l’avait surpris un peu plus tôt dans ses appartements en coquine compagnie, ses iris avaient trahi un grand intérêt pour la position dite de « La Levrette », qu’il s’était plu à exécuter avec la petite Poufsouffle. Il adorait également cette posture pour la vue plongeante et non négligeable qu’elle offrait, de même que la possibilité de s’introduire au sein d’une jeune femme dans l’intégralité la plus délicieuse. Convaincu par cette idée, il l’amena à se retourner sur le ventre et s’agenouilla entre ses cuisses, pour ensuite saisir avec précaution son joli bassin et le remonter à hauteur du sien. De par cet accord muet qu’elle exprimait en se laissant ainsi faire entre ses mains, il se réjouit un peu plus d’avoir su discerner ses envies et décida de la contenter avec toute son ardeur.

  Empoignant tout d’abord avec fermeté les hanches de la Gryffondor, le Vert et Argent se glissa d’un vif coup de reins au plus profond de son temple luxurieux, arrachant de ce fait à sa belle un extatique gémissement. Il perçut juste après son Eden orgastique s’étrécir immédiatement, tel un tacite compliment en réponse à son initiative et une décelable invitation à poursuivre son exquise lancée. Loin de se faire languir, il entama ses mouvements lascifs avec dynamisme, les yeux rivés sur l’essence de leur symbiose sexuelle tandis que leur peau claquait l’une contre l’autre dans un son des plus sensuels. Sentant soudainement la félicité se diffuser en partance de son bas-ventre pour l’envahir pleinement, le jeune homme accentua plus encore la cadence et effleura avec une grande délicatesse la petite Perle des Plaisirs de la charmante brune, déjà constellée par l’abondance de son fluide corporel féminin.  

De son côté, Hermione enfouit la tête dans le creux de ses bras alors qu’il continuait ce rythme de plus en plus effréné au fur et à mesure qu’il la devinait aux portes de l’Extase. Elle n’était jamais arrivée aussi proche du Royaume Voluptueux lors de ses précédents ébats et se délectait de ses merveilleuses impulsions qu’il orchestrait en elle avec virtuosité, pendant que leurs soupirs de délice s’accordaient mutuellement dans une enivrante mélodie. Il poussait, entrait, sortait, revenait en elle à chaque fois de plus en plus fort, de plus en plus vite, sachant toutefois doser dans l’excellence ses assauts afin de ne pas être trop irrespectueux ou véhément. Et après quelques minutes de cette danse érotique, elle perçut une brusque chaleur émerger de ses reins pour irradier l’ensemble de son être, la faisant brutalement gémir malgré elle et serrer dans ses petits poings le drap sur lequel elle reposait.

  Quand il distingua les premiers signes du ravissement de la Rouge et Or, qu’ils soient auditifs ou sensitifs - étant donné sa flagrante et subite contraction interne, Malefoy amplifia instinctivement ses pénétrations et dut solidement se concentrer pour ne pas céder à l’irrésistible tentation de la rejoindre séance tenante. Etrangement avec celle-ci, il n’avait pas envie d’en finir dans cette position animale, mais agréablement niché contre sa poitrine, dans la ferveur et l’humanité d’une étreinte. L’écouter jouir porta à son paroxysme l’effervescence qui régnait en maîtresse incontestée dans son ventre et ce fut avec beaucoup de difficulté qu’il réussit à se contrôler, jusqu’à décélérer ses oscillations pour l’escorter charnellement dans sa lente descente orgasmique.

  Une fois la nébuleuse émotionnelle dissipée en elle, il embrassa ses épaules dénudées et l’incita doucement à se recoucher sur le dos. Il savait par expérience que certaines femmes après l’extase ressentaient encore du plaisir, si le partenaire réalisait avec dextérité quelques derniers vigoureux coups de reins, comme pour atteindre les plus impénétrables contrées de leur exiguïté et stimuler au passage un hypothétique point G.

  Point sur lequel Drago aurait vivement aimé s’entretenir avec son trouveur - ou inventeur, un certain Moldu nommé Ernest Von Gräfenberg - rien que ça, dont il aurait apprécié recevoir quelques éclaircissements et peut-être même, remettre en cause sa théorie - ou création. Car finalement et pour se citer lui-même : « Le clito reste une valeur sûre face à ce truc qui au toucher ressemble à un petit haricot… pas forcément magique à tous les coups ! ». Mais il ne fallait pas douter des dires d’un tel génie Moldu, qui devait sans conteste être doté d’un sublime doigté et aurait dû manifestement donner un bon million de cours particuliers, afin de léguer ses précieuses connaissances et agir ainsi pour le bien de l’humanité !

  En attendant, notre Serpentard se débrouillait avec les moyens du bord et ce fut tremblant d’une impatiente excitation, qu’il étreignit tendrement sa mignonne et se glissa de nouveau en elle. Avec énergie, il entama quelques puissants mouvements au sein de son humidité et fut aux anges d’entendre son amante pousser quelques succincts gémissements à chaque fois que son bassin s’unissait totalement au sien. Elle faisait bien parti de ces dames qui éprouvaient une exquise sensation après la félicité déjà obtenue, quand on venait caresser avec ardeur leur étroitesse en profondeur. Il prolongea donc plus avant ses immixtions en haletant presque avec allégresse, le regard gourmand et fixé sur le visage radieux de sa déesse. Puis, il perçut cette particulière pression au bas-ventre et sentit la jouissance monter en lui violemment, ne pouvant s’empêcher en cet instant de fermer les yeux et de gémir de façon retentissante, tandis qu’il délivrait en elle le fruit de son exceptionnel orgasme.

  Eperdu et pantelant par cette expérience sexuelle, il revint enfin à la réalité et déposa sur ses lèvres quelques baisers passionnés, pour ensuite s’allonger auprès de cette nymphe en l’enlaçant amoureusement et sombrer avec elle dans les bras de Morphée.     

Contribution N° 4 : Nymphesis sex toy 1

Publié le mercredi 4 février 2009

Contribution de Bibi-chan

Nymphésis, Sex Toy  

 

  « On inverse ?» demanda Drago à Harry d’une voix teintée de plaisir, exacerbé par les caresses buccales que leur charmante partenaire, une Poufsouffle de sixième année, effectuait avec dextérité sur la virilité du Serpentard.

Le Gryffondor acquiesça d’un bref hochement de tête entre deux halètements et donna quelques derniers coups de reins des plus énergiques pour s’insérer profondément dans le délicieux sanctuaire de la jeune fille, avant de céder la place encore chaude à son complice.

Cela faisait maintenant trois mois que les deux garçons logeaient ensemble dans un appartement des plus spacieux, ayant respectivement été nommés Préfet en chef en début d’année scolaire. Malgré une cohabitation des plus difficiles dans les premiers temps, ils avaient fini par trouver un terrain d’entente sur lequel ils se rejoignaient parfaitement de par leur manière de le pratiquer : le sexe. Tout avait commencé le jour où Malefoy avait surpris son homologue en train de “partager” une jolie demoiselle avec Weasley sur le canapé de leur Salle Commune, allant même jusqu’à proposer au blondinet de participer. D’abord sidéré de découvrir la face cachée du modèle de sainteté de l’école, le Vert et Argent avait fini par accepter la généreuse offre de son colocataire, après consentement de l’adolescente, bien entendu.

Telle était la vraie personnalité du grand Harry Potter : l’apparence d’un élève des plus chastes et réservés la journée, pour ensuite ôter la nuit l’angélique masque qu’il se plaisait à porter, afin de tromper son entourage sur la réalité de sa conduite des plus débauchées. Son meilleur ami était d’ailleurs le seul au courant de son inclination prononcée pour la luxure, puisque c’était ensemble et dès l’âge de quatorze ans qu’ils avaient débuté leurs premières folies nocturnes en se laissant initier par plusieurs expertes de trois ans leurs aînées. Etant une figure publique et adulée, il ne lui était pas permis de révéler au monde sorcier les jeux pervers qu’il avait usage de faire dans quelques lieux privés, sous peine d’en perdre définitivement sa crédibilité. Hermione elle-même ignorait tout de ses penchants salaces, pour être encore persuadée de la virginité de notre jeune premier.

Aimant goûter avec excès aux plaisirs de la chair, les ennemis de toujours avaient trouvé là l’excellent moyen d’enterrer pour l’année la baguette de guerre, en se faisant profiter mutuellement des jolies coquines qu’ils ramenaient pour leurs soirées libertines. Le marché était fort simple : chaque semaine et à tour de rôle, ils devaient dénicher une ravissante dévergondée qui accepterait le week-end de se laisser posséder en même temps par les deux jeunes gens. Et quel ne fut pas leur étonnement de constater le peu de difficultés rencontrées pour y arriver. En effet, bon nombre d’étudiantes fantasmaient secrètement sur les rivaux les plus séduisants de l’école et aimaient à s’imaginer dénudée entre les deux garçons, l’ange et le démon, lorsqu‘elles se livraient à une certaine caresse en solitaire afin de combler leur petite frustration. 

Cependant, il y en avait une avec laquelle notre vicieux petit Serpentard aurait adoré pouvoir fricoter, étant donné le côté inaccessible et l’air de “Je-ne-touche-pas-à-ça-moi” qu’elle se donnait : la très intelligente Hermione Granger. Elle pouvait s’enorgueillir d’avoir de jolies rondeurs malheureusement presque entièrement dissimulées sous son uniforme et Drago ne pouvait s’empêcher d’être émoustillé en la voyant rouler des hanches dans les couloirs de Poudlard. Il se plaisait à penser que sa prétendue vertu voilait en réalité une profonde lascivité et sa conviction s’était renforcée lorsqu’un jour il l’avait croisée dans le parc, studieusement plongée dans un livre au titre des plus évocateurs : “Mémoires érotiques et impudiques” de la très célèbre auteur Wendy Perversekisassume. Immédiatement, notre vil ami s’en était allé quérir Harry pour le supplier de l’amener à une de leurs lubriques soirées, mais ce dernier avait répondu qu’elle refuserait certainement -et à son grand désespoir également- sur le champ. Elle n’était pas de celles qui s’abandonnaient volontiers dans les bras de plusieurs partenaires et préférait de loin les jeux dans le noir faits à deux, voire carrément en solitaire si nul mâle digne de ce nom n’était là pour combler ses désirs luxurieux. Qui plus est, elle entretenait une sincère inimitié envers notre blondinet et n’accepterait de ce fait sûrement pas de partager avec lui une quelconque intimité. Dépité, le concerné avait alors compris qu’il devait renoncer à cette idée et refouler l’envie qu’il avait de faire joujou avec elle.

Mais revenons à nos moutons et à l’intéressante scène qui se déroulait devant la cheminée, à même le tapis de la Salle Commune de nos très honorables Préfets en chef. Potter avait donc changé de place avec son associé de dépravation et c’était avec joie que ce dernier s’était agenouillé derrière le splendide fessier de la petite demoiselle à quatre pattes pour enfin passer à l’action. Il commença par insinuer deux doigts dans l’exiguïté de celle-ci afin d’en apprécier l’humidité, pour ensuite saisir son impatiente virilité d’une main et se mêler à ce territoire qui lui apporterait bientôt félicité. Après avoir soupiré de contentement, il se pencha au-dessus d’elle en vue de se rapprocher de son corps et prit appui sur ses bras placés de chaque côté de la belle, avant de débuter quelques agréables coups de reins. 

Merlin ! Cette position est définitivement ma préférée ! estima-t-il, tandis que son compère était déjà à genoux devant le visage de la jeune fille, glissant entre ses fines lèvres l’intense turgescence de sa masculinité.  

L’héroïne de cette pièce réservée à un public averti, entreprit de suçoter avec sensualité la friandise d’un nouveau genre qui frétillait de bonheur au contact de sa langue exercée, améliorant sa caresse d’un régulier va-et-vient réalisé d’une main experte sur cette virilité offerte. Elle sentit également le souffle chaud du Serpentard devenir plus saccadé sur sa nuque alors qu’il se mouvait en elle avec talent, approfondissant chacune de ses immixtions sans pour autant se révéler brutal. Une minute plus tard, le Gryffondor maintint la tête de l’adolescente bien droite afin d’effectuer à son tour et avec plus de facilité, quelques légers mouvements du bassin contre la bouche de son amante temporaire. Il ne lui en fallut pas davantage pour atteindre l’orgasme et manifester son plaisir en gémissant doucement, appréciant la délicate attention dont elle faisait preuve en avalant avec circonspection le fruit de sa libération. Puis, une fois son intimité consciencieusement nettoyée par les habiles coups de langue de sa jolie partenaire, Harry se releva pour s’en aller s’asseoir sur le canapé et admirer la fin de ce spectacle des plus délectables.    

Pendant que la demoiselle réfugiait son visage dans le creux d’un de ses bras tout en glissant une main jusqu’à sa petite Perle des Plaisirs pour l’effleurer en douceur, Malefoy se redressa et s’empara tendrement du gracieux bassin féminin. Mais alors qu’il s’apprêtait à continuer ses voluptueuses allées et venues, son regard enflammé par la jouissance imminente se posa par inadvertance sur le corridor en face de lui qui menait à l’entrée, pour instantanément se figer lorsqu’il croisa deux iris couleur caramel qu’il reconnut sans hésitation.

Depuis combien de temps Hermione Granger était là à les observer et surtout, comment avait-elle bien pu entrer ?

Il se rappela aussitôt que son colocataire lui avait un jour confié le mot de passe et à en juger par les rougeurs visibles sur ses petites joues, de même que l’étincelle exaltée qui animait actuellement ses prunelles, elle devait déjà les espionner depuis un certain temps. Loin de se décontenancer pour si peu, notre blondinet saisit l’opportunité pour tester la jeune femme et connaître ainsi ses limites de voyeurisme. Il esquissa donc un sourire malicieux et laissa son regard couler de l’insoupçonnée curieuse jusqu’au dos de la Poufsouffle, pour ensuite replonger ses yeux emplis de convoitise dans les siens tout en se passant une langue désireuse sur les lèvres, afin de lui signifier clairement son envie de la prendre elle -ce que la concernée comprit incontestablement-. Puis il empoigna fermement les hanches de sa partenaire et débuta quelques vigoureux coups de reins, s’immisçant fortement et au plus profond de cette accueillante contrée érotique, sans cesser de fixer discrètement la Rouge et Or ne serait-ce qu’une seconde.

Hoquetant premièrement de surprise sous le rythme diablement plus prononcé du jeune homme, la jouvencelle à terre s’habitua rapidement à cette nouvelle cadence qui eut par ailleurs le don de la faire gémir succinctement à chaque fougueuse et merveilleuse pénétration. De son côté, Drago alterna ses va-et-vient en les accélérant parfois puissamment ou bien en les ralentissant pour les intensifier violemment, de manière à s’enfoncer en elle le plus loin possible et faire ainsi claquer sensuellement la peau de son bas-ventre contre les fesses charnues de sa belle d’une nuit. Il percevait d’ailleurs que cette dernière était proche de l’extase, étant donné les répétées contractions de son intérieur et décida de terminer en beauté.

Il amplifia donc encore la mesure sous les prunelles médusées de la Gryffondor bouche bée, qui se sentait étrangement fiévreuse à la vue du Serpentard complètement nu dans cette position, les yeux rivés sur elle et brûlants de désir, haletant presque avec frénésie et le visage légèrement rougi par l’effort. Néanmoins, Hermione n’arriva pas à détourner les iris quand la demoiselle exprima son ravissement en ondulant brusquement du bassin, manquant de faire lâcher prise à Malefoy qui dut reporter son attention sur elle et l’agripper vivement. Lorsqu’elle le vit ensuite fermer les paupières et l’entendit pousser un excitant gémissement orgastique, elle ressentit séance tenante une exquise montée de chaleur dans le creux de ses reins et ne put s’empêcher d’imaginer être à la place de la Poufsouffle.

Par Merlin, ce qu’il pouvait être beau et sexuellement irrésistible en train de jouir !

Une fois la violente vague du plaisir passée, le garçon s’allongea délicatement sur le dos de sa partenaire couchée sur le ventre en l’enlaçant et déposa quelques affectueux baisers sur ses fines épaules dénudées, afin de la remercier de l’exquise félicité prodiguée. Il se redressa ensuite légèrement en s’appuyant sur son avant-bras et après avoir lancé un regard furtif devant lui, il fut ravi de constater que la jolie brune n’avait toujours pas déserté les lieux et se tenait encore discrètement dans l’entrée. Il se résolut donc à continuer de la provoquer et afficha un sourire triomphant en introduisant deux doigts dans le savoureux petit temple de sa compagne, en vue de les enduire de cyprine mélangée à sa semence. Puis il les glissa avec sensibilité dans la bouche de cette dernière, avant d’entamer un langoureux mouvement d’aller et retour entre ses lèvres. Par ce geste des plus lascifs et suggestifs, il lui fit goûter le délice fusionnel de leur liquide corporel et ne se gêna aucunement pour jeter au passage quelques œillades d’une avidité mutine en direction de la Rouge et Or.

Le message qu’il avait souhaité lui faire passer tout du long était on ne peut plus pénétrant :   “J’ai envie de te sauter et voilà comment… ”

Depuis le début, la jeune fille avait assisté à la scène en éprouvant un certain sentiment de culpabilité et de honte, mais son esprit n’avait cependant pas réussi -ni eu le temps- de convaincre ses jambes de rebrousser chemin, trop occupé à se régaler de l’alléchant spectacle offert gratuitement par son bel ennemi et cent fois plus stimulant que le meilleur des aphrodisiaques ! L’abondante humidité dont elle pouvait d’ailleurs aisément percevoir la présence au seuil de son intimité témoignait nettement du plaisir dissolu qu’elle avait ressenti en les épiant ainsi. Mais la représentation était encore loin d’être finie, puisqu’elle vit Harry apparaître dans son champ de vision et demander à son collègue d’avoir l’amabilité de s’écarter. La performance de son ami l’avait furieusement remis en appétit et ce fut d’un geste empreint d’une grande douceur qu’il retourna la petite demoiselle sur le dos, pour ensuite embrasser tendrement son cou et se faufiler avec impatience entre ses cuisses. N’étant nullement rebuté par le fait de se mélanger à la semence déjà déposée par son prédécesseur, il prit appui sur ses bras tendus de chaque côté de la mignonne et s’engagea en elle sans plus attendre. Il exécuta enfin ses coups de reins d’une manière enthousiaste et dynamique, qui se répercutèrent dans le corps de son amante avec ferveur et lui arrachèrent quelques mélodieux murmures, bien vite étouffés par les lèvres de ses compagnons. 

Et dire qu’elle pensait que Harry était gay, ne l’ayant jamais vu sortir avec une fille ! Forcée d’admettre qu’elle s’était bien trompée… Et heureusement dans un sens car cela aurait été une dure perte pour la gent féminine étant donné sa manifeste… qualité ! Elle avait d’ailleurs une vue plongeante sur sa masculinité qui s’attachait à faire de gracieuses allées et venues dans le sanctuaire de l’adolescente, en émettant un son spécifique et des plus érotiques dû aux oscillations effectuées au sein des fluides organiques dont elle luisait désormais. Mais lorsqu’elle vit la main de Malefoy se diriger vers le pétale de la Rose des Charmes de la jeune fille pour le caresser, ce fut la goutte de concupiscence qui faillit faire déborder sa petite culotte en coton et l’incita à décamper au plus vite, si elle ne voulait pas voir ses dernières résistances s’effriter pour les rejoindre tous trois dans l’instant. Les rares aventures qu’elle avait eues ces derniers mois s’étaient toutes soldées par un échec, puisque les mâles qui avaient partagé sa couche ne faisaient que bêtement gesticuler au-dessus d’elle, sans être capable de prolonger l’acte plus de deux minutes, ni même de le recommencer. Ce fut donc véritablement frustrée par une trop longue abstinence orgasmique et par la vue de ces ébats des plus extatiques, qu’elle sortit précipitamment pour s’en aller aussitôt prendre une douche bien glacée…   

 

 

A suivre…

histoire N°20 : La fin de la solitude

Publié le mercredi 4 février 2009

La fin de la solitude

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année

Avec : Luna Lovegood et Neville Londubat

    Neville parcourait les couloirs du château à la recherche de quelque chose à faire. Il avait fini ses devoirs la veille et avait soigné toute sa collection de plantes magiques le matin même. Comme souvent lorsqu’il se retrouvait ainsi, il pensa à l’AD. Si seulement les leçons de Harry au club de défense contre les forces du mal n’avaient pas cessé. Il regrettait amèrement de ne pas avoir à réviser un nouveau sort de combat mais, bien qu’il se soit considérablement amélioré dans cet art, il n’était pas encore suffisamment bon pour apprendre seul des formules de cette importance.

    Machinalement, ses pas le portèrent jusqu’au septième étage, dans le couloir bien connu des anciens membres de l’AD. Sans trop savoir ce qu’il comptait y faire, il passa trois fois devant le mur magique en pensant à la salle d’entraînement et une porte apparue. Il entra et se retrouva dans l’ancien QG de l’AD, pleinement éclairé, propre et rangé comme s’ils en étaient partis la veille seulement.

    Il regarda nonchalamment les livres puis les formes vagues dans l’un des miroirs à l’ennemi. Neville avait eu l’idée de se remémorer un ou deux sorts appris à l’époque mais tout seul ainsi, il n’en avait finalement plus la moindre envie.

    Il se laissa tomber sur les coussins dans un coin de la pièce et entendit un « oumph » de douleur. Surpris, Neville dégagea quelques coussins et découvrit la petite frimousse de Luna sous l’un d’eux.

« Luna ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?

_ S’il te plaît Neville, pousse-toi, tu m’étouffes.

_ Oh pardon ! »

Il se décala et aida la jeune serdaigle à sortir de sous les coussins.

« Alors ? Tu m’expliques ? Reprit-il une fois qu’elle fut assise à côté de lui.

_ Oh ce n’est rien d’exceptionnel. Je me suis endormie dans les coussins.

_ Oui, ça je l’ai vu, mais pourquoi es-tu venue ici ?

_ Juste parce que l’AD me manquait. J’aimais bien cet endroit. Alors je suis venue le voir encore une fois. Je me suis assise et je me suis endormie. Heureusement qu’il n’y a pas de Ronfleurs à pustules dans ces coussins. »

Neville qui n’ignorait rien de l’engouement de Luna pour les créatures imaginaires farfelues s’abstint de demander ce qu’étaient des ronfleurs à pustule et enchaîna.

« Moi aussi je suis venu parce que ça me manquait.

_ C’est vrai ? S’étonna Luna en écarquillant un peu plus ses yeux rêveurs. Je croyais être la seule. J’avais l’impression que plus personne n’y pensait.

_ Oui, les autres ont un peu vite oublié que Tu-sais-qui est toujours là alors qu’il est de plus en plus actif. Maintenant que le ministère a reconnu son retour, j’aurai pensé que tout le monde supplierait Harry de reprendre l’AD. Mais bon les cours de défense contre les forces du mal doivent leur suffire. »

    Le jeune homme eut un frisson en pensant au professeur Rogue qui était chargé de ces cours cette année. Luna le remarqua et crut que Neville avait froid. Elle s’approcha pour se mettre contre lui et en profita pour poser sa tête sur son épaule. Neville n’en fut pas vraiment surpris. La jeune fille était toujours très affectueuse avec les gens qu’elle aimait bien. Mais il eut néanmoins le souffle coupé en constatant que Luna était sortie de sa sieste légèrement débraillée et que son décolleté offrait une large vue sur sa superbe poitrine. Elle passa ses bras autour de lui et il fit de même, sans pouvoir détacher ses yeux de l’échancrure de la chemise.

« Tu sais ? Je t’aime bien Neville, déclara soudain Luna. Je crois que c’est parce que tu me ressembles un peu. On a tous les deux de bons amis mais on est finalement toujours un peu seul. Je ne sais pas pourquoi. »

Le jeune homme ne répondit rien. La vue plongeante sur les seins et le souffle chaud de Luna sur son coup le tétanisait. Il se sentit grandir peu à peu, surtout lorsqu’elle déposa un baiser sur sa gorge. La jeune fille fit un petit bond pour se retrouver sur les genoux de Neville et ne put que remarquer l’effet qu’elle lui faisait. Il sembla atterré, craignant qu’elle ne le prenne mal mais Luna lui fit un petit sourire.

« Je ne sais pas si mes sentiments sont réciproques mais en tout cas c’est un bon début. »

Neville allait pour répliquer mais elle l’embrassa avec fougue et il se contenta de répondre à son baiser. Tandis que leurs langues se rencontraient, Luna agita doucement ses fesses pour caresser le membre impressionnant du jeune homme qu’elle sentit encore durcir entre les étoffes. Lorsque enfin, elle libéra ses lèvres, il était essoufflé.

    Neville voulut dire un mot mais Luna posa un doigt sur ses lèvres pour le faire taire à nouveau.

« J’aimerai te faire une surprise Neville. Ferme les yeux et ne pense plus à rien. Laisse moi m’occuper de tout. »

Quand bien même il n’en aurait pas eu la moindre envie, le souffle de la jeune fille à son oreille, l’odeur enivrante de sa peau et la caresse continuelle de son corps tout contre le sien auraient empêché le jeune homme de ne pas s’exécuter sur-le-champ. Il ferma les yeux et essaya de faire le vide dans sa tête. Mais s’il parvenait facilement à oublier la salle de l’AD et les sorts qu’il aurait voulu pratiquer, son esprit ne cessait de lui envoyer le dernier regard que Luna lui avait porté, bien moins rêveur que d’ordinaire, et remplit de désirs impatients. Il sentait la jeune fille rester contre lui et il se demanda ce qu’elle pouvait bien préparer. Il dut se concentrer pour résister à l’envie de regarder trop tôt.

« Tu peux ouvrir les yeux maintenant ! »

Neville n’eut pas besoin de se le faire répéter. Mais à peine avait-il écarté les paupières qu’il fut ébloui. Il dut attendre que sa vision s’adapte pour découvrir la surprise.

    La salle ne ressemblait plus du tout au quartier général de l’AD. Le sol était recouvert de nombreux coussins et couvertures moelleuses. Des sortes de petites vasques dégageaient des parfums légers et la lumière était tamisée. Au centre de la pièce se dressait une sorte de petite estrade recouverte d’un tapis aux couleurs pastels sur laquelle étaient dirigées quelques fortes lumières colorées venant de nul part et qui avait aveuglé le jeune homme.

« Est-ce que ça te plaît ? Demanda Luna d’un ton enjoué.

_ Euh… oui, répondit Neville qui, certes, appréciait le décor mais ne voyait pas où la jeune fille voulait en venir.

_ Oh mais attends, ce n’est que le début de ma surprise. »

Luna se leva, au grand dépit du jeune homme qui aurait préféré la garder tout contre lui, et monta sur l’estrade. Elle donna un coup de baguette magique dans l’air et une petite musique douce s’éleva d’on ne sait où.

    Eberlué, Neville ne comprit ce qu’elle avait l’intention de faire que lorsqu’elle fit sauter le premier bouton de son chemisier. Elle ne put en ouvrir que deux autres et dégager le début de sa poitrine satinée avant que le haut de sa robe de sorcière ne la gêne. Elle se mit de profil et, tout en remuant lentement au rythme de la musique, enleva les bretelles de ses épaules. Elle fit glisser la robe le long de son buste sans se presser puis le long de ses jambes nues qui s’offraient au regard d’un Neville trop émerveillé pour parler. Luna allait pour finir d’ouvrir les boutons mais elle eut soudain une autre idée. Elle se mit dos au jeune homme et releva un peu le bas de son chemisier pour qu’il ait une belle vue sur ses petites fesses magnifiques. Doucement, elle fit glisser sa petite culotte, dévoilant son cul de rêve qui, au grand malheur de Neville fut presque aussitôt recouvert par le bas du chemisier. Celui-ci ne s’arrêtait qu’à la limite des superbes cuisses de la jeune fille et lorsque dans sa danse elle levait les bras, il avait encore furtivement l’apparition des deux tendres collines et du trésor le plus précieux de Luna. Celle-ci voyait bien que sa surprise avait eu l’effet escompté sur le jeune homme et elle décida qu’il était temps de le mettre à contribution.

     Elle lui fit signe d’approcher et tendit l’un de ses pieds enveloppés dans des chaussettes bariolées qu’il devait retirer. Trop heureux de participer enfin, Neville glissa en se relevant et atterrit le nez le premier dans les coussins devant lui. Il se redressa très vite et couru presque jusqu’à l’estrade. Là, il fit lentement glisser ses mains sur le mollet de la jeune fille et couvrit de baisers chaque parcelle de peau qu’il découvrait. Une fois les deux chaussettes enlevées, il sortit sa langue pour caresser les doigts puis le dos du pied. Il remonta rapidement jusqu’à la cuisse où il savoura la douceur de la peau avant de monter encore plus haut, passant la tête sous le chemisier. Il se trouva face à face avec le joli coquillage doré qu’il ne put attendre de lécher tandis qu’il empoignait le délicieux postérieur de Luna. La jeune fille ne s’était pas attendue à une réaction aussi rapide mais fut finalement ravie de la tournure de la situation. Elle fit doucement pression sur Neville pour qu’il s’abaisse sans pour autant relâcher son attention sur son intimité ruisselante. Elle se retrouva ainsi sur le dos et put envoyer ses pieds farfouiller dans les replis du pantalon de son amant à la hauteur de la bosse que formait son membre impressionnant.

    Neville était enivré du parfum intime de sa compagne et s’abreuva bientôt de la source qui jamais ne tarît tandis qu’elle poussait un cri de jouissance. Il n’y tenait plus et retourna complètement la jeune fille qui se retrouva à quatre pattes. Le jeune homme eut la vision du magnifique petit cul à moitié couvert encore du chemisier tandis qu’il remontait sa robe et enlevait son pantalon avec une rapidité hallucinante. Ses mains contournèrent les hanches puis la taille fine de Luna avant de s’aventurer sur son ventre pour remonter jusqu’à sa somptueuse poitrine qu’il débarrassa du soutien gorge. Accroché aux merveilleux seins de son amante, Neville présenta son dard exceptionnel devant l’antre de tous les plaisirs. Sans plus attendre, il donna un puissant coup de rein et pénétra Luna jusqu’à la garde. Celle-ci laissa échapper un cri de surprise devant la taille du pieu de chair mais se mit presque aussitôt à aller au devant des pénétrations de son amant. Très vite, l’un et l’autre comprirent qu’ils perdaient tout contrôle de leur étreinte. Le désir et le plaisir avaient obscurci leur raison. Leurs corps augmentaient sans cesse la cadence jusqu’à atteindre un rythme bestial. La conscience qui leur restait était submergée par le plaisir qu’ils se procuraient.

    Luna finit par hurler son plaisir et jouir sans pour autant ralentir les va et viens de ses hanches. A ce moment précis, et sans vraiment le vouloir, Neville se retira du doux coquillage brûlant de son amante et écarta les petites fesses magnifiques pour planter son membre au plus profond du petit anneau avec rudesse. Luna cria de douleur ce qui réveilla soudain le jeune homme qui prit conscience de ce qu’il venait de faire. Mais à son grand étonnement, son amante continuait de ruer avec acharnement sur son énorme pieu de chair. Elle se mit même à accélérer encore tandis que ses cris redevenaient ceux d’un intense plaisir. Rassuré, Neville attrapa les hanches de sa sublime amante et se démena de plus belle pour la combler.

    Le résultat ne se fit pas attendre très longtemps. Luna donna un coup de rein brusque pour complètement empaler son sublime petit cul sur l’énorme verge de son amant et cria son bonheur tandis que ses tendres cuisses étaient recouvertes de son jus de plaisir. Neville qui la sentait trembler de plaisir dans ses bras arriva à son tour à la jouissance, mais Luna intervint :

« Non, attends encore un peu, s’il te plaît ! »

Sous le regard d’incompréhension du jeune homme, elle déchaussa le membre de son puits secret et se retourna vivement. Elle prit le dard au bord de l’explosion dans sa bouche, ou du moins ce qu’elle put en prendre, et jeta un regard à Neville qui l’autorisait enfin à aller au bout de son plaisir. Celui-ci ne se fit pas prier et déversa de longs jets de semence dans la gorge de son amante.

    Neville était presque à bout de force après cette rude mais délicieuse étreinte et il s’allongea sur le dos. Luna n’en avait pas terminé avec la dégustation du nectar de son amant et continuait de sucer le membre impressionnant avec délectation. La petite bouche gourmande de la jeune fille réussit même à faire jouir Neville une seconde fois pour le plus grand plaisir de celle-ci.

     Bercé par la félicité de l’instant, le jeune homme dût s’endormir car, lorsqu’il ouvrit les yeux, le petit matin arrivait lentement. Les premiers et encore faibles rayons du soleil venaient caresser le corps de rêve de Luna, paisiblement endormie et toute blottie contre lui. Il détailla ses jambes, ses fesses, son dos pour arriver à son doux visage. Pendant de longues minutes il la regarda dormir puis, poussé par une envie soudaine, il l’embrassa tendrement. Luna se réveilla et, sans se demander ce qui arrivait, elle lui rendit passionnément son baiser.

« Dis-moi Luna, c’est vrai que tu m’aimes ?

_ Oui. Depuis que l’on a commencé l’AD. Et toi ? Est-ce que tu m’aimes ?

_ Oh oui. »

Luna laissa échapper un rire puis embrassa à nouveau son amoureux.

« J’avais peur que tu me trouves trop farfelues, comme les autres, reprit-elle.

_ C’est parce qu’ils n’ont pas pris la peine de te connaître. »

Leurs baisers et leurs caresses les enveloppèrent dan une nouvelle volupté. Et comme le matin est un moment propice aux jeux de l’amour, leurs désirs s’enflammèrent à nouveau pour se terminer bien plus tard dans la journée.

Contribution N°3 : Harry Potter et les hosuces

Publié le mercredi 4 février 2009

Contribution de Phileas Nicolus

Harry Potter et les Hosuces

Chapitre 1

Harry Potter se promenait sur Magnolia Crescent l’oreille aux aguets prêt à parer toute attaque mais le jeune Potter ne s’attendait sûrement pas à la « sorte d’attaque » qui allait se produire…

A 17 ans, Harry était de taille normale, musclé et un duvet de moustache apparaissant. Bref un physique que les jeunes filles (tout particulièrement Ginny Weasley, la jeune sœur de Ron) aimaient regarder et même plus pour certaines chanceuses. A la fin de sa 6e année, Harry avait rompu avec Ginny ce qui ne lui empêchait pas de penser souvent à elle. Il lui avait dit qu’il ne reviendrait pas à Poudlard mais il était revenu sur sa décision en pensant au beau corps nue de la jeune Weasley (qu’il voyait souvent dans des rêves qui avaient pour étrange effet de se réveiller avec une substance visqueuse dans le caleçon…

Mais pour l’instant Harry n’était pas en train de rêver de sa dulcinée et encore moins près d’elle, il était juste dans une petite avenue crasseuse de la banlieue de Londres prêt à se faire attaquer par un Mangemort à tout moment. Hélas le destin avait décidé pire pour lui. En effet alors qu’il tournait à l’angle de l’avenue il tomba nez à nez avec…la jeune sœur de Fleur Delacour, Gabrielle, entourée d’un groupe de Vélanes plus belles les unes que les autres, qui se déshabillaient, dans un ensemble parfait tandis que Gabrielle s’occupait de déshabiller Harry. Ce dernier ne comprenait pas ce qui se passait, il était en plein été dans une rue ensoleillée et un groupe d’enchanteresses Vélanes étaient en train de faire un strip-tease (Harry ne pu s’empêcher d’admirer ce qu’il voyait malgré les circonstances) tandis qu’une jeune fille de 15 ans le déshabillait sensuellement (là encore il ne pu s’empêcher de ce rincer l’œil sur le décolleté de Gabrielle).

Gabrielle venait de finir de déboutonner la chemise du jeune homme et lui embrassait maintenant le torse. Elle avait l’air très forte dans ce domaine car de simples baisers sur le torse ne suffisait pas pour l’exciter en temps normaux mais avec cette ravissante demi-Vélane les choses avaient l’air différentes. Quand elle en eut fini avec son torse, Gabrielle commença a lui enlever son jean puis son caleçon si bien qu’il se retrouva bientôt entièrement nu devant la jeune fille, celle-ci pris délicatement son sexe entre ses doigts et commença à le masturber avec vigueur. Harry ne cherchait pas à ce retirer, au contraire il voulait voir jusqu’où elle allait continuer. Gabrielle finit par mettre le sexe de son partenaire dans sa bouche et commença à le sucer avec délectation en s’arrêtant de temps à autre sur le haut de son penis pour lui titiller le gland. Harry n’avait jamais éprouvé autant de bonheur, tant et si bien qu’il ne tarda pas à se déverser dans la bouche de Gabrielle. Cette dernière avala goulûment le sperme et se présenta à Harry allongée par terre, les jambes légèrement écartées lui offrant une vue plongeante sur son vagin rasé. Harry ne se fit pas prier, il plongea dans son intimité avec une telle force que la jeune fille poussa un cri rauque. Il commença à faire de lents va et viens pour faire languir sa partenaire et quand il vit qu’elle ne pourrait plus tenir très longtemps, il accéléra son mouvement. Il finit par cracher sa laitance dans son corps puis comme elle était apparue, Gabrielle se volatilisa dans les airs après s’être adressée à Harry :

- Je voulais que ce soit toi…

Durant les jours qui suivirent Harry ne pu s’empêcher de penser à la jeune Vélane et ne pu s’ôter de l’esprit qu’il allait la revoir (en même temps que Ginny ce qui avait pour effet d’accroître son inquiétude) à l’occasion du mariage de Fleur et de Bill Weasley. Le jour fatal arriva enfin ou les Weasley ou grand complet vinrent le chercher à sa maison du 4 Privet Drive dans laquelle il habitait avec ses oncle et tante, Mr et Mrs Dursley. Quand il vit Ginny apparaître entre les Gravats de cheminée (les Weasley avaient eu recours à la poudre de Cheminette et avaient encore dû faire sauter la cheminée pour ne pas se retrouver emprisonnés) il n’eut plus aucun doute sur celle qu’il aimait… Gabrielle n’avait été qu’une aventure particulièrement agréable mais il se rendait compte maintenant qu’il ressentait quelque chose de beaucoup plus fort que l’amour physique envers Ginny. Ainsi il ne pu donc pas s’empêcher de la prendre dans ses bras et de la couvrir de baisers (au grand étonnement de Mr et Mrs Weasley) .

- Oh Harry je m’en doutais bien, dit cette dernière d’un ton ému,c’est…c’est…puis elle fondit en larme.

Ginny avait l’air de ne pas en revenir, après la déclaration que Harry lui avait faite à la fin de l’année dernière c’était compréhensible…

- Bon… il faut qu’on y aille, dit Ron d’un ton qui se voulait être léger, ils vont finir par s’inquiéter…

- D’accord allons y, finit par dire Harry après un silence gênant.

Il s’avança dans la cheminée, pris la poudre que lui tendait Mrs Weasley, entra dans la cheminée, jeta la poudre dans le feu et cria bien haut :

- Le Terrier !

L’habituelle impression de mains lui giflant le visage revint et quelques secondes plus tard il se retrouvait au Terrier ou sa première vue fut celle de Gabrielle en train de prendre son petit déjeuner…Ses lèvres pulpeuses suçaient la confiture doucement et Harry ne pu s’empêcher de repenser à cette merveilleuse expérience qu’il avait eu l’avant-veille lors de sa rencontre intime avec la jeune fille, et ne pu empêcher une bosse de se former dans son pantalon. Harry s’empressa de cacher cette protubérance en faisant apparaître sur ses épaules une cape de voyage dans laquelle il s’enroula ; Gabrielle tourna la tête vers lui et, pendant un instant, eut un sourire coquin qui se transforma en un « bonjour » poli lorsqu’elle vit Mrs Weasley arriver dans la salle (par la cheminée évidemment).

- Bonjour Gabrielle, comment vas-tu ? demanda cette dernière.

- De mieux en mieux, répondit la jeune fille, j’ai toujours rêvé de rencontrer Arry Potter...

- Eh bien voila qui est fait, dit Ginny apparaissant à son tour entre les flammes vertes, et elle ne se gêna pas pour envoyer à Gabrielle un regard féroce qui devait sûrement vouloir dire « il est déjà pris et je ne te conseille pas d’y toucher ».

Quand toute la famille Weasley, Harry et les sœurs Delacour furent là, tous prirent un copieux déjeuner arrosé du fameux hydromel vieilli en fut de Mme Rosemerta et des plaisanteries de mauvais goût de Fred et George sur les retrouvailles récentes de Harry et de Ginny. Après le repas la jeune rouquine amena Harry dans la chambre de Ron et lui dit :

- Harry, tu es sûr que c’est ce que tu veux ? Ne voudrais-tu pas plutôt être avec quelqu’un d’autre ?

Elle rejeta ses cheveux en arrière dans une parfaite imitation de Gabrielle.

- Que… Comment le sais-tu, demanda Harry éberlué de ce qu’il venait de voir. Comment sais-tu pour Gabrielle et moi ?!

- Oh… Madame Gabrielle me l’as tout simplement avoué !

- Ecoute Ginny, j’y ai longtemps réfléchi et j’en suis venu à la conclusion que je t’aimais toi et pas tes seins ou une autre partie de ton corps, ce que je pense ressentir pour Gabrielle... ce que je pense ressentir pour Gabrielle, ce n’est que de l’amour physique.

- D’accord, dit Ginny, mais tu aimes quand même mon physique ? reprit-elle d’un air inquiet après une courte pose.

- Bien sûr chérie…

- Tu ne me repousseras pas quand je viendrais t’embrasser ou autre chose ?

- Mais pour qui tu me prends ! Bien sûr que je ne te repousserais pas ! Tu peux même essayer maintenant si tu y tiens…

Mais Ginny n’eut pas le temps de vérifier si Harry disait la vérité car Ron entra dans la pièce à ce moment précis.

- Alors les tourtereaux, il faut que je vous surveille si je ne veux pas retrouver mon lit tout collant ce soir…

- Ah là là, dit Ginny d’un air excédé, tu ne vas pas recommencer à me dicter ce que je dois faire…

- Non non non, c’est juste que Maman se fasse des idées à mon sujet…

- Bon eh bien on va aller faire ça ailleur, dit Harry en attrapant Ginny par le bras, tu viens ?

- A plus tard Ron, dit Ginny à travers la porte ouverte, viens Harry on va aller dans la campagne, un peu plus loin, il y a un rocher plat avec de La mousse dessus…

Ginny ne s’était pas trompée, l’endroit était fort agréable pour les pratiques sexuelles. Harry s’allongea sur le rocher et Ginny se mit en devoir de le déshabiller. Une fois qu’il furent tous les deux nus, Ginny se mit au dessus de Harry et s’empala littéralement sur le sexe devenu dure de son partenaire. Harry ressentit immédiatement une sensation de plaisir extrême et ne tarda pas à vouloir essayer d’autres positions, ce qu’il fit comprendre à sa partenaire en se retirant quelques instants. Puis il lui fit signe de se mettre à quatre pattes sur le borde la table et la sodomisa avec force. Ginny, qui ne s’était jamais rien mis dans l’anus, eut d’abord très mal ; puis elle finit par s’y habituer et commença même à apprécier. Elle se mit à pousser de petits cris puis finit par crier réellement. Harry ne tarda pas à éjaculer en elle et ils rentrèrent tous deux heureux au Terrier.

L’après-midi passa agréablement pour tout le monde. Ginny n’était plus du tout jalouse de Gabrielle depuis que Harry lui avait offert la même chose qu’a la demi-Vélane. Harry ne voyait plus en cette dernière qu’une fille sans intérêt (même si elle était particulièrement jolie) et Ron avait l’air heureux que Hermione arrive le lendemain…

- Si si Harry, je t’assure qu’elle m’a demandé de sortir avec elle dans le Poudlard Express ! affirma-t-il fièrement lorsque Harry lui demanda pourquoi son arrivée le rendait si heureux.

- Comme ça tu pourras aussi être avec une fille et tu ne te sentiras pas esseulé, répondit Harry.

- C’est vrai que je t’envie un peu par moment… mais ce n’est pas pour ça que je l’aime, bougonna Ron.



- On mange ! Cria la voix de Mrs Weasley dans les escaliers.

Harry et Ron descendirent dans la salle à manger ou tout le monde était déjà installé autour d’une marmite dans laquelle frétillait de la Bouillabaisse.

- Fleur nous a gentiment fait un plat typiquement français, annonça Mrs Weasley, régalez vous !

Harry vit Ron faire une drôle de grimace. Il savait que Ron n’avait pas apprécié la Bouillabaisse lorsqu’il y en avait eu pour le festin d’arrivée de Durmstrang et de Beauxbâtons, en 4e année. Ils s’assirent et Ron essaya de manger tant bien que mal les poissons marinés. Ginny lui donna un coup de coude sous la table et lui souffla :"tu grimace Ron !". Il fit de son mieux pour avoir l’air naturel et continua malgré tout à manger.

Après le repas du soir, il régnait dans la salle à manger une ambiance chaleureuse. Errol se trempait les plumes dans un bol, Mrs Weasley tricotait un pull, Fred et George faisaient des combats aériens en faisant léviter leurs couteaux, tandis que Bill et Fleur s’embrassaient amoureusement. Ce fut à ce moment là qu’Hermione arriva, elle transplana dans le jardin et frappa à la porte. Ron sauta de sa chaise comme s’il avait peur qu’elle explose et couru ouvrir à sa dulcinée. Ils restèrent tous deux dehors pendant quelques instants, puis Ron entra en s’essuyant la bouche suivi d’Hermione qui faisait le même geste avec sa propre manche.

- Eh bien ! Nous voila tous réunis, dit Mr Weasley d’un ton joyeux, maintenant il est temps d’aller se coucher, demain nous devrons nous lever tôt pour le mariage !

Harry monta dans sa chambre, se mit en pyjama et attendit Ron. Au bout d’une demi-heure, il entendit des bruits de pas dans l’escalier. Il se leva pour aller ouvrir la porte mais s’arrêta à mis chemin en entendant Ron dire :

- Non, pas dans la chambre, Harry doit y être, on va aller au grenier, il y a un lit maintenant que la goule est partie…

Harry sentit une bosse se former dans son pantalon et décida de les suivre. Ils montèrent au grenier et commencèrent à se déshabiller. Hermione, ne pu s'empêcher de remarquer Harry, avait des seins magnifiques. Il déboutonna son pantalon et commença à se masturber avec vigueur. Ron et Hermione entamèrent une branlette espagnole. Les mouvements de Ron entre la poitrine d'Hermione se firent plus rapides et ce dernier ne tarda pas à lui éjaculer au visage. Hermione s'allongea sur le lit et fit signe à Ron de se mettre sur elle, le rouquin ne se le fit pas répéter et s'allongea sur elle, il commença alors des mouvements de vas et viens de plus en plus rapide. Les mouvements de la main de Harry sur son sexe accélérèrent en même temps. Il éjacula en même temps que Ron et courut dans la chambre, se mit dans son lit et s'endormi avec de beaux rêves en tête. Le lendemain matin, Harry fut le premier. Il descendit dans la salle à manger et y trouva Gabrielle en train de pleurer.

- Que… Qu'y a t'il? demanda t'il gêné.

- Oh Arry!s'écria t'elle en se jetant dans ses bras.

« Aie, aie, aie, se dit Harry de plus en plus embêté, pourvu que Ginny ne… » Il entendit des bruits de pas dans l'escalier, ferma les yeux et pria pour que ce ne soit pas Ginny. Quand il rouvrit les yeux, il ne se trouvait plus au Terrier mais dans une chambre aux allures confortables et Gabrielle était encore devant lui, mais entièrement nue.

Harry se réveilla en sursaut. "Ouf, ce n'était qu'un rêve" se dit-il. Il descendit à la cuisine ou Gabrielle, Fleur, Fred et George étaient déjà installés.

- Bonjour tout le monde, dit Harry.

- Bonjour Arry, répondit Gabrielle avec un regard pervers à son pantalon.

- Salut, gros tas de Gallions, dirent Fred et George, hilares.

-Très drôle, marmonna Harry en allant s'asseoir a côté de Fred.

Il s'empara d'un toast et commença a le tartiner généreusement de confiture de fraise.

- Le mariage est à quelle heure? demanda t'il a Fleur.

-Oh, on devrait partir d'ici une demi-heure, d'ailleurs, il faut que j'aille réveiller Bill…

- On va réveiller Charlie, dirent Fred et George en se levant.

- Euh...je vais réveiller Ron et Ginny, dit Harry qui n'avait aucune envie de se retrouver en tête à tête avec Gabrielle.

Il monta jusqu'à la chambre de Ron, entra, sortit sa baguette et murmura:

- Aguamenti !

- aaAAAAAAargh!s'écria Ron, trempé de la tête aux pieds.

- Le mariage, répondit Harry, pince-sans-rire.

Puis il alla réveiller Ginny. Il entra dans sa chambre, s'assit près de sa tête et lui caressa doucement les cheveux en murmurant:

- Il faut se réveiller, nous n'allons pas tarder à partir pour le mariage de Bill et Fleur…

- Hmm...marmonna Ginny, il me faut le baiser du prince charmant…

Harry se pencha vers ses lèvres et y déposa un doux baiser, avant qu'il n'aie relevé la tête, Ginny l'avait pris par le cou et l'embrassait amoureusement.

- Madame est-elle réveillé ou lui faut-il plus qu'un baiser?

- Non,non; il me faut bien un baiser mais tu ne l'a pas fait au bon endroit…

- Oh… je comprends ce que tu veux dire, dit Harry avec un sourire.

Il passa sa tête sous le couette de Ginny et commença par lui baiser doucement le ventre. Peu à peu, il remonta jusqu'aux seins de sa compagne (qui étaient encore plus gros que ceux d'Hermione) et fit courir sa langue sur les tétons du sein gauche, tout en caressant de la main le droit. Il s'amusa avec les deux tétons jusqu'à ce qu'il les sente durcir sous ses doigts.

- Aaaah!susurra Ginny.

- On va passer aux choses sérieuses…dit Harry en descendant le long du ventre de la jeune fille.

Il arriva jusqu'au haut de sa culotte et se mit en devoir de lui enlever doucement. Quand il eut fini, il mit doucement sa langue à l'intérieur de son sexe. Il chercha pendant longtemps le clitoris en le faisant glisser sur le côté de sa langue puis il le mordit tendrement. Il releva la tête et vit que Ginny n'allait pas tarder à avoir un orgasme alors il baissa son pantalon et commença à la pénétrer profondément. Il fit de secs et rapides mouvements de hanche et sentit une bouffée de plaisir lui enserrer le bas-ventre et il ne tarda pas à éjaculer. Ginny se retira rapidement et se mit sous le sexe de Harry où elle reçut tout le sperme dans la bouche.

- Aaaaah! Cria Harry.

Puis il descendit et, pour ne pas faire de gâchis, il but toute la laitance que Ginny avait déversé. Ils restèrent un bon moment là, allongés l'un sur l'autre puis Harry se releva et alla se changer pour le mariage.

Quand tout le monde fut réveillé et eu pris un bon petit déjeuner, Mrs Weasley mit tout le monde en file indienne devant la cheminée et leur donna à chacun une poignée de poudre de Cheminette en leur disant de prononcer bien clairement "Manoir du Lac d'Argent". Harry fut le premier à renter dans les flammes.

- Manoir du lac d'Argent! S'écria t'il.

Il se sentit aussitôt accroché par un pique au niveau du nombril, il vit défiler devant lui plusieurs dizaines de cheminées avant de réatérir brutalement dans une somptueuse pièce aux larges fenêtres où une vieille dame aux allures de reine le reçu :

- Bonjour Arry, dit-elle impérieusement, je suis la grand-mère de fleur et de Gabrielle, mon nom est Charlotte Delacour

- Euh…bonjour madame, dit Harry, passablement gêné.

- Mrs Delacour senior je présume? dit Mr Weasley en apparaissant à son tour dans la cheminée.

- Elle-même, mais je vous en prie, appelez moi Charlotte…

- Très bien, comme vous voudrez, dit Mr Weasley dont les yeux venaient de devenir inexpressifs.

Puis, tout à coup, sans prévenir, il s'avança vers la vieille dame, l'enlaça et l'embrassa vigoureusement au moment même où Mrs Weasley franchissait la cheminée derrière Fleur. Cette dernière brandit sa baguette vers sa grand-mère et cria :

- Stupéfix!

Mr Weasley se retrouva avec un corps rigide entre les bras. Il paraissait très gêné.

- Je…je, puis il opta pour une autre technique, Enervatum, marmonna t'il en faisant un vague geste

avec sa baguette vers Charlotte.

- Excusez là monsieur Weasley, dit Gabrielle, apparaissant à son tour, c'est une Vélane et elle ne se contrôle plus très bien…

- Dis moi que ce n'est pas toi Arthur, dit Mrs Weasley qui semblait prête à exploser.

- Maisnonmaismollymaisc'estunevélanevoyons!essaya sans succès d'articuler Mr Weasley.

- Votre mari à raison, dit Charlotte qui venait de reprendre conscience, c'est entièrement de ma faute.

- Eh bien dans ce cas là…Mrs Weasley ne trouva rien d'autre à répondre et fut soudainement captivée par les motifs ornant le tapis sous leurs pieds tapis.

- Je vais vous faire visiter, dit la Vélane d'une voix mal assurée, venez, nous allons commencer par la cuisine.

Après une longue visite du vaste manoir, Charlotte les emmena dans la salle à manger où la table était déjà dressée.

- Voici le repas, dit la vieille dame, servez vous des amuses gueules en attendant les invités.

Ron bondit sur des petits pains au foie gras et en engloutis une dizaine en quelques instants. Les plus vieux se rassemblèrent au tour de la table des whiskies Pur Feu et des autres boissons. Ron après avoir mangé la moitié des amuses gueules alla les rejoindre et but à longue gorgée du whisky. Après avoir vidé une bouteille, il se dirigea d'un pas chancelant vers la table des spécialités régionales et engouffra une dizaine de crêpes au sucre avant de s'attaquer à une grosse tranche de jambon. Harry pendant ce temps là, était allé se servir un verre de whisky et le sirotait tranquillement aux côtés de Ginny lorsque la porte s'ouvrit tout grand pour laisser enter une dame colossale, accompagnée de deux petits caniches plutôt affreux. Elle regarda autour d'elle et baissa les yeux sur l'attroupement de nez rouges autour de la table aux boissons. Mme Delacour s'adressa à elle:

- Olympe! Comment allez vous ma chère?

- Très bien très bien, mais dites moi, Agrid est il arrivé?

- Non pas encore mais il ne devrait pas tarder, répondit Mme Delacour.

En effet, quelques instants plus tard, Hagrid entra dans la pièce et amena très rapidement Mme Maxime à l'extérieur. Harry, se demandant ce qu'ils allaient faire, les suivit à pas de loup. Les deux amants s’enfoncèrent dans la forêt du manoir jusqu’a une charmante petite cour recouverte de mousse.

- Ici ce sera parfait Olympe, dit Hagrid.

- Oui je pense aussi, répondit Madame Maxime.

Elle enleva lentement son lourd manteau sous lequel elle n’avait que son soutien-gorge. Hagrid lui, descendit jusqu'à terre et passa sa tête hirsute sous la robe de sa compagne et la remonta pour que Olympe, qui avait fini d’enlever son soutien-gorge, puisse la tenir. Il lui enleva en suite son string et plongea sa langue dans son sexe humide.

-OOOOOOOOOOOOOoH ! Agrid, cria la géante.

Harry voyait la grosse langue de Hagrid faire des allés et venus entre les lèvres de sa compagne. Puis il baissa son propre pantalon, s’allongea sur le gazon et sa compagne s’empala littéralement sur son sexe qui devait faire dans les 40 cm. Après dix minutes de langoureux va et viens, Madame Maxime se retira et commença à sucer le sexe de son amant. Hagrid déchargea sa laitance à grandes saccades dans sa bouche puis ils se rhabillèrent et rentrèrent au château, devancés par Harry.