Poudlard secret : Le monde caché de Harry Potter

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Contribution N°14 : Ivresse Irréversible

Publié le samedi 18 avril 2009

Contribution de Lylah

Ivresse Irréversible

- A toi, je t’en prie.

- Je t’en prie Harry, je n’en ferai rien.

Harry prit alors la bouteille que lui tendait son ami. Il prit le temps de l’examiner entre ses doigts et la porta rapidement à la bouche. Un liquide brulant s’insinua dans sa gorge, et il fit une rapide grimace en l’avalant.

- Huuum ! Pas mauvais ! Il faut s’habituer au goût mais c’est plutôt pas mal.

Les jumeaux Weasley avaient mis au point une version améliorée de la bière au beurre. Elle gardait sa douceur et son gout si appréciable mais elle avait pour effet, cette fois d’être pourvu d’une bonne dose d’alcool.

- C’est absolument imperceptible au gout, lança Georges, aucun moyen de se faire pincer.
- A moins que ce cher maître des potions ne se mette à l’analyser, s’empressa de répondre Hermione.
- Et pourquoi il le ferait ? Il ne faut pas arriver en classe après en avoir bu, tout simplement ! Acheva Ron en portant la bouteille à ses lèvres.

Tout comme son ami, il fit une petite grimace et se passa une langue gourmande sur les lèvres après avoir avalé.

- Je ne vois toujours pas l’intérêt d’une telle invention, grommela Hermione en croisant les bras sur sa poitrine. Il y a assez d’alcool sur terre pour ne pas avoir à en créer de nouveaux.

Fred s’empressa de défendre son produit.

- C’est la que la bière au beurre nouvelle génération fait toute la différence ma chère Hermione ! Elle rend joyeux, désinhibe mais ne rend pas malade, contrairement au whisky pur feu.

Non. Décidément, elle n’en voyait pas l’utilité. Aussi, elle ramassa ses affaires et quitta de ce pas la chambre des préfets.

Pourquoi Rogue le regardait-il comme ça ? Harry se trémoussait sur sa chaise, visiblement très mal à l’aise que son professeur de potion le dévisage de la sorte. Non pas qu’il n’ait pas l’habitude que ce cher professeur cherche à le mettre mal à l’aise à chaque occasion, mais d’ordinaire, il n’avait pas 3 grammes d’alcool dans le sang. Lui et Ron s’étaient pourtant jurés de ne pas boire cette satané bière au beurre avant d’assister à un cours, mais une chose en entraînant une autre, ils s’étaient bien vite laisser emporter dans le feu de l’action et avaient rapidement vidés une bouteille à deux.

- Mr Potter, lança de sa voix sèche et froide le maître des potions, puis-je me permettre de vous demander la raison de votre regard vitreux ? J’ai la très nette impression que vous tenez à peine debout.

Afin de lui tenir tête, Harry aurait aimé répondre en précisant qu’il n’était précisément pas debout, mais assis, que sa place était fort confortable et qu’il tenait parfaitement droit. Mais bien entendu, il se garda bien de faire une telle réflexion et se contenta de se défendre au mieux.

- Monsieur, je vous assure d’être en bonne santé, je vous remercie.

Rogue parut s’offenser de cette réponse, pourtant formulé très poliment.

- Mr Potter, je ne m’inquiète aucunement de votre santé ! Vous pourriez être à l’article de la mort que je ne m’en préoccuperais pas. Seulement, j’apprécie moyennement que l’on assiste à mes cours sous l’effet d’une quelconque drogue ou alcool.

Ron se mit à pouffer à côté de lui, et le regard noir que lui lança son professeur eu tôt fait d’éteindre son hilarité.

- Bien, puisque vous jugez cela tellement marrant, vous viendrez ce soir, tous les deux, en retenus dans les cachots. Je vais vous faire passer l’envie de vous moquer de moi.

Harry enfoui sa tête dans ses bras pour cacher un rire qu’il n’arrivait pas à contrôler et Ron en fit de même de son côté. Rogue, qui avait déjà tourné les talons, ne remarqua pas le violent coup de classeur que leur assainit Hermione sur le haut de la tête. Non, décidément, l’irresponsabilité dont ils faisaient preuve la dépassait complètement.

- La soirée va être longue….Je suis certain que la chauve souris va nous le faire payer au centuple ! Quels imbéciles ont a été franchement ! Déclara Ron en s’affalant dans le fauteuil de la salle commune.

Harry serrait Ginny dans ses bras en se calant bien confortablement sous un plaid polaire.

- En même temps, on l’a un peu cherché ! Mais je ne savais pas que les effets de cette bière étaient aussi persistants !

Georges fit alors son entrée à ce moment là, les bras chargés de bouteilles.

- Ah non ! S’écria Hermione en se relevant brutalement, je pense que ces saletés ont assez fait de dégâts comme ça ! Harry et Ron en font déjà les frais de par leur débilité !
- Hé ! S’offusqua le roux, on est là au cas où tu ne l’aurai pas remarqué.

Mais Hermione ne s’excusa aucunement, de plus, les rires de Ginny ne la confortaient que plus dans son envie de les ridiculiser encore. Mais Georges s’affairait déjà à fournir ses précieux clients de cet excellent breuvage. Elle avait beau faire sa petite dame, ses amis, à présent, ne s’en préoccupaient que peu. Ils avaient trouvé un nouveau jeu, qui certes pouvait leur coûter gros, mais qui leur plaisait énormément.

- N’oubliez pas votre retenue de ce soir les garçons, si vous en buvez trop maintenant, les effets seront encore présents ce soir et là, c’est un avada kedavra qui vous pends au nez, pas une punition.

A cette phrase de Ginny tout le monde se mit à rire. Quelqu’un à part Hermione prenait-il réellement au sérieux ce qui pourrait se passer de catastrophique si ils en abusaient ? Bah ! Après tout, ils sont jeunes, ce qu’ils risquent de faire, c’est quelques bêtises, qu’ils ne se rappelleront pas le lendemain, rien de bien méchant, en soit.

La nuit était à présent tombée sur Poudlard. Chaque étudiant avaient regagné, sous l’œil attentif des préfets, leur dortoir et s’apprêtaient à entamer une bonne nuit de sommeil. Tous, sauf deux. Ron et Harry déambulaient dans les couloirs en direction des cachots, la mine basse et l’esprit ailleurs. Qu’allait encore leur réserver ce vil Serpentard comme punition qu’ils se rappelleraient toute leur vie ? Ils n’auraient pas à attendre longtemps, voilà déjà qu’ils apercevaient la porte glaciale, dans l’embrasure de laquelle se tenait le sombre individu, les bras croisés dans le dos, les toisant d’un regard méprisant. Il s’écarta légèrement pour les faire entrer dans la pièce et referma la porte bruyamment derrière eux.

- Je vous ferai grâce des punitions telle que les imposaient le professeur Ombrage Messieurs, lança t’il d’un ton acerbe.

Harry se frotta douloureusement la main, qui marquait encore l’horrible cicatrice de cette soirée qu’il n’était pas prêt d’oublier.

- Sachez que je me montrerai plus perfide et plus innovateur !

Le contraire aurait été étonnant. Ron déglutit avec difficulté et se mit inconsciemment à trembler. Harry, quant à lui, ne se démontait pas face à son professeur. Il avait toujours été habitué à ce qu’il le traite mal, une punition de plus ou de moins ne le ferait pas flancher. Il les fit asseoir aux bureaux les plus près du sien et déposa deux chaudrons devant eux. Curieux, Ron se pencha en avant afin d’en apercevoir le contenu. Un liquide rougeâtre bouillait docilement, comme sous un feu qui n’existait pas.

- Vous avez des bocaux près de vous. Remplissez-en jusqu’à ce que j’en ai assez pour ma réserve.

Harry ne put s’empêcher de jeter des regards autour de lui et Rogue intercepta sa question.

- Ne cherchez pas de louche Monsieur Potter, vous utiliserez tout simplement vos mains.
- Nos mains ? S’écria Ron, mais on va en avoir pour des heures.

Harry lui jeta un regard suppliant.

- Mr Weasley, si je peux vous rassurer sur une chose, je ne vous laisserai pas pendant plusieurs heures.

Ron soupira de soulagement. Mais Rogue continua.

- Je doute que votre résistance à la douleur vous permette de tenir jusque là.

Le voilà le piège. De toute évidence, le liquide dans les chaudrons était bouillant. Jamais ils ne pourraient s’en saisir ? Rogue croisa les bras et se positionna devant le bureau qu’occupait Harry. Il ne quitterait pas sa place tant qu’il ne l’aurait pas vu souffrir en insérant ses mains dans le liquide. Harry lui jeta un regard noir et s’avança plus en avant sur sa chaise pour jeter un regard dans le récipient. Le liquide semblait le narguer en émettant de grosses bulles qui en éclatant, laissaient échapper une forte odeur de soufre. D’une main tremblante, il se saisit d’un bocal et de l’autre attira le chaudron vers lui. Il jeta un bref regard à Ron, qui suivait chacun de ses gestes en affichant un rictus de dégoût sur le visage. Ses doigts effleurèrent le contenu, et il fut surprit de constater que le liquide était étrangement froid. Il releva les yeux vers son professeur qui lui adressa un hochement de tête lui signifiant de continuer. Quand il plongea la main entièrement, il ne put s’empêcher de grogner en sentant le liquide prendre vie sous ses doigts et l’engloutir complètement. Il tira fermement son bras hors du chaudron, laissant émerger une bonne partie de son contenu. Il s’empressa de l’insérer dans un bocal et le referma rapidement en constatant que le liquide essayait de s’en échapper. Il soupira et tourna la tête vers Ron.

- Ca ne t’a rien fait ? Lui demanda son ami.
- Ben….non….ça essai de t’emmener avec lui dans le chaudron mais…..

Mais il ne termina pas sa phrase, saisit soudainement d’une violente douleur dans la main. Il la sortit de sous la table pour constater avec horreur qu’elle avait prit une teinte violette et lui brûlait atrocement.

- Le liquide dont vous venez de vous saisir, ne brûle qu’une fois la main libérer de son contact. Vous ne serez apaisé qu’en insérant à nouveau votre main dans le chaudron. Cependant, je vous ai à l’œil et je compte bien avoir un stock conséquent de bocaux PLEINS, j’entends bien.

Et il partit s’asseoir à son bureau afin de pouvoir se repaître avec un air sadique sur le visage, de la douleur intense qu’il infligeait à ses deux élèves. De grosses gouttes de sueur commençaient à perler le long de la tempe d’Harry, la douleur devenait insupportable et en poussant un râle bruyant, il enfoui sa main au fond du chaudron.

- Quel sale….
- Je serai toi je ne finirai pas ta phrase, le supplia Ron, il serait fichu de t’entendre et de nous donner une nouvelle retenu.

Harry se frottait la main, essuyant quelques larmes qui avaient eu l’audace de ce montrer face au maître des potions, provoquant chez lui une jouissance extrême, caractérisé par un affreux rictus, censé être un sourire.

- Je vais avoir mal pendant des semaines, je ne pourrai certainement pas être capable de jouer au Quidditch prochainement.

Ron devait tout de même admettre qu’il avait raison. Lui-même, tenant son bras en écharpe, souffrait horriblement, mais avait su, au grand étonnement d’Harry, restait serein. Ils entrèrent dans la salle commune et se laissèrent tomber mollement sur le canapé, plongeant leurs yeux dans le feu se mourrant dans l’âtre. Harry laissa tomber son bras valide sur le bord du canapé, sentant entre ses doigts la bouteille de bière au beurre qu’il avait laisser un peu plus tôt dans la journée. Il la saisit et la porta rapidement à la bouche. Ron, de son côté venait également d’en trouver une, et imitant son ami, bu une première gorgée.

- Autant qu’on en profite pour faire passer la douleur à coup de bière au beurre remasterisée ! Lança Harry en brandissant fièrement sa bouteille.

Ron acquiesça en agitant également la sienne au dessus de sa tête. Rapidement, la première bouteille fut éliminée, puis une seconde. La douleur se faisant à présent moins sentir, ils pouvaient commencer à ralentir un peu la cadence.

- Tu vois mon vieux, cette vieille chauve souris, et ben un jour j’lui ferais payer ! Babilla Ron en s’essuyant la bouche du revers de la main.

Harry rejeta sa tête en arrière, sentant soudainement le sol trembler sous le canapé.

- Tu as bien raison. On va le jeter au fond du lac, avec des pierres aux pieds. Même si je suis certain que les poissons ne voudront même pas toucher à cette viande avariée.

Harry se leva et jeta une bûche dans la cheminée, histoire de raviver un peu le feu. Il trébucha dans le tapis, se rattrapant de justesse au rebord, manquant de se casser les dents dessus.

- Ouoh….lança-t-il en se saisissant la tête, je trouve que la rotation de la terre se fait drôlement sentir ce soir.
- Viens t’asseoir, sinon tu vas passer par-dessus bord, lui répondit Ron, réalisant subitement que ce qu’il venait de dire était complètement stupide.

Stupide ? Pas tant que ça au vu de la réponse que lui fourni son meilleur ami.

- Tu as raison, de plus, je ne pense pas qu’il y ait suffisamment de bouée pour sauver tout le monde.

Et il s’affala sur le canapé, laissant retomber sa tête sur l’épaule de son ami. Ils restèrent un instant silencieux, puis Harry releva brusquement sa tête et plongea son regard dans celui de Ron.

- Hey ! Où tu en es avec Herm’ ? Va p’tète falloir que tu te décides non ? Tu attends quoi ? Qu’un aut’ gars te la pique ?

D’ordinaire, Ron serait devenu pivoine et aurait certainement changé de sujet plus vite que son ombre, mais là, il croisa les bras derrière sa nuque et leva les yeux au ciel.

- Mouais…’m’agace…’comprends pas mes signaux…

Harry se mit à rire si fort qu’il dû poser une main sur sa bouche pour ne pas réveiller les autres étudiants.

- Tes signaux ? ‘s’excuses moi mais qu’est-ce tu fais comme signaux ? J’en ai capté aucun moi…

Ron marmonna dans sa barbe.

- ‘normal ! ‘T’étaient pas destinés !

Harry se releva alors et se positionna devant son ami, assis sur ses pieds.

- Montre ! Montre moi tes….euh….signaux ! Dit-il en pouffant.

Ron parut un instant déconcerté, puis, voyant que son ami était sérieux, il se releva un peu, tout en gardant sa position assise, prit une gorgée de bière au beurre et se pencha en avant. Il plongea son regard dans le sien et lui sourit timidement. Harry ouvrit grand les yeux et éclata de rire.

- C’est ça ton signal ?!? J’comprends qu’la p’tite ai rien compris.

Ron se renfonça dans le fauteuil en boudant. Harry reprit sa place à côté de lui et croisa sa jambe sous son genou pour lui faire face. Il prit à son tour une gorgée de sa bouteille et la reposa à même le sol.

-Bon, j’te mont’ comment j’fais.

Il prit délicatement la main de son ami, qui haussa les sourcils de surprise et lui lança un regard sulfureux. Un instant, il en était certain, Ron avait rougi. En lui reposant les mains sur les genoux, tout en continuant d’intensifier son regard, il s’expliqua :

- T’vois, l’contact y est pour beaucoup. Hésites pas à la toucher. Z’adore ça les nanas.

Ron restait malgré tout très perturbé et évita, l’espace d’un instant, le regard insistant de son ami.

- Allez vieux, rougi pas, lança Harry en caressant Ron sur la joue, avec une voix amusée.

Mais Ron lui saisit la main avant qu’elle ne quitte son visage. Il tourna doucement la tête afin de pouvoir caresser de ses lèvres la paume de la main du brun. Celui-ci, ne bougea pas, comme pétrifié par un quelconque sortilège et eut un léger sursaut quand il sentit les lèvres du rouquin imprimer une légère succion contre sa peau.

- Ron…Qu’est-ce que….

Mais déjà celui-ci s’affairait à glisser un des doigts de la main tremblante de son ami dans sa bouche et le titillait de la langue. Ce fut au tour de Harry de rougir des pieds à la tête. Etait-ce l’important degré d’alcool qu’il avait dans le sang qui lui faisait à se point tourner la tête ou était-ce la caresse plus que surprenante du Gryffondor ? Toujours est-il que quand il se rapprocha de lui, Harry ne bougea pas. Ron retira le doigt de sa bouche et posa la main derrière sa nuque. Il releva les yeux pour les plonger dans le regard émeraude qui le fixait intensément. Alors, poussé par une passion sans nom, Harry resserra ses doigts et attira avidement le visage de Ron contre le sien. Quand leurs lèvres se rencontrèrent, il poussa un grognement de plaisir et se saisit de la chevelure rousse pour accroître son baiser. Ron plaqua ses mains dans le dos de son compagnon, enserrant son pull fermement sous la chaleur qui l’habitait soudainement. Mais quel feu les consumait ? Que leur arrivait-il ? Il n’y avait plus amitié, seulement désir. Désir de posséder. Et même s’ils étaient parfaitement conscients de chacun de leurs gestes, ils n’avaient nulle envie d’y mettre un terme, bien au contraire. La langue de Ron força la barrière de dents de son amant, qui ouvrit aimablement la bouche afin de lui permette de s’insérer à l’intérieur et de caresser tendrement sa langue. Ils étaient à présent étroitement serrés l’un contre l’autre, dans une étreinte bestiale et virile. Même s’ils étaient en train de se donner le plus passionné des baisers, ils n’en restaient pas moins des hommes, des vrais. Ils ne s’abaisseraient pas à minauder des mimiques efféminées mais parviendraient à leurs fins, chacun, en gardant leur fierté de Gryffondor. Afin de reprendre son souffle, Harry abandonna un instant la bouche de son ami, qui en profita pour glisser des lèvres brûlantes le long de sa jugulaire en glissant ses mains sous le tissu épais de son pull. Sa main tuméfiée, qui dégageait une puissante chaleur, fit sursauter Harry à son contact, mais le poussa à vouloir sentir Ron plus près. Il passa donc ses jambes de part et autre de ses hanches et se retrouva à califourchon sur les jambes du rouquin. Ils stoppèrent leurs caresses un instant et se fixèrent, comme attendant une réaction de la part de l’un ou de l’autre. Ron déglutit avec difficulté et Harry souffla afin de dégager une mèche lui couvrant les yeux. Il était assis sur son meilleur ami. Il était assis sur Ron et avait ses doigts perdus dans sa chevelure, par Merlin ! Au diable l’étique ! Il se mordit avec provocation la lèvre inférieure et fondit littéralement sur le jeune Weasley qui apprécia grandement de recevoir à nouveau ses lèvres contre les siennes. Harry pouvait sans mal sentir son pantalon devenir de plus en plus étroit, et il avait beau gesticuler du mieux qu’il le pouvait sur les cuisses de son ami, il ne réussissait qu’à rendre celui de son compagnon que plus étréci. Harry passa rapidement ses mains sous l’ourlet du pull de Ron et d’un geste rapide, le lui ôta, décoiffant sa chevelure rousse au passage, lui donnant dès lors un côté sauvage qui l’enhardit. Il aurait voulu lui dire qu’il le trouvait beau, mais il n’était pas question qu’il s’abaisse à une telle chose. Ron fit de même avec le pull du brun, qu’il envoya valdinguer à travers la pièce. Il s’arrêta un instant pour consulter avec admiration, le corps finement sculpté du jeune attrapeur. Il l’avait certes déjà vu torse nu, mais il ne l’avait jamais trouvé aussi désirable, aussi appétissant qu’à l’instant même, assis sur ses cuisses, quémandant caresses et baisers du regard. Il caressa longuement les formes longilignes de son corps, s’arrêtant sur ses tétons durcis par le plaisir afin de les titiller du bout des doigts. Harry sembla apprécier et rejeta sa tête en arrière. Ron descendit plus insidieusement ses mains jusqu'à atteindre la fermeture éclair de l’étau qui maintenait séquestré le pauvre petit Potter junior. Quand il caressa, à travers le tissu de son jean, la protubérance qui frémissait sous ses caresses, sans qu’il ne s’en rende compte, il passa une langue gourmande sur ses lèvres, ce que ne manqua pas de remarquer son amant, qui afin de satisfaire l’appétit de son ami, se releva pour se libérer enfin de ce vêtement, bien trop gênant à son goût. Harry fit glisser, avec une lenteur criminelle, sa fermeture éclair et déboutonna son bouton. Puis, tout en fixant les réactions de son ami, il fit lentement glisser pantalon et caleçon le long de ses jambes pour, une fois sur le sol, les envoyer balader d’un revers du pied. Ron respira soudainement bruyamment et lorsque Harry se pencha entre ses jambes afin de faire voir le jour à la fierté de son ami, il se laissa aimablement faire en relevant les hanches pour lui faciliter la tâche. Voilà qu’ils étaient nus comme des vers, leurs corps d’athlètes ruisselant de sueur, tremblant de désirs l’un pour l’autre. Leurs regards oscillant entre leurs yeux et l’objet de leur désir, l’un et autre brûlaient d’envie d’aller plus loin. Alors pourquoi refusaient-ils de bouger ? La situation commençait à se montrer embarrassante. Alors, Harry prouva une fois de plus le courage des Gryffondor en s’agenouillant le premier devant son ami. Ron se mit à rougir de nouveau quand il sentit les doigts experts du jeune Potter parcourir sa virilité de haut en bas, en y imprimant de puissants va et vient. Il lui jeta un bref regard suppliant et celui-ci, affichant un petit sourire en coin, descendit lentement sa tête, jusqu’à toucher du bout de ses lèvres, la naissance de son membre. Il y passa une langue féline, arrachant un râle de plaisir à sa victime, glissa de haut en bas en le gratifiant de quelques baisers et enfin, l’engloutit avidement dans sa gorge chaude. Ron, sous l’effet de l’extase, cambra son bassin, provoquant un sursaut chez le petit gourmand, qui lui plaqua les hanches rudement sur le canapé en maintenant sa sucette dans sa bouche, bien caler entre sa langue et son palais pour ne pas qu’elle lui fasse à nouveau ce genre de surprise. Quand Ron reprit son calme, il se lova plus confortablement dans les coussins et Harry pu enfin lui prodiguer la plus merveilleuse des gâteries. Ses prodigieuses allées et venues sur la masculinité du jeune Weasley ne faisait qu’agrémenter la soif qu’éprouvait la sienne. Ron avait glissé ses doigts dans les cheveux hirsutes du Gryffondor afin de lui imposer un rythme plus soutenu, qu’il n’eut aucun mal à appliquer, connaissant très bien le corps masculin et la manière indéniable de le pousser dans les méandres de la jouissance. Mais bientôt, il dut cesser ses expertes caresses buccales, sentant sa friandise se tendre de plaisir, s’il ne voulait pas que leurs galipettes se terminent de cette bien égoïste façon. Il remonta le long de son ventre, déposant quelques baisers au passage, jouant du bout de sa langue sur son nombril, titillant les tétons du bout de ses dents et Ron lui saisit fermement le visage afin de l’attirer à lui pour lui prodiguer un baiser enfiévré.

- Harry….c’est intenable….

Celui-ci se contenta de sourire de satisfaction en rehaussant un sourcil provocateur. Ron saisit cette provocation au bond.

- Ah ça t’amuse Potter ? A moi de te rendre la pareille à ma façon.

Il poussa Harry sur le canapé et se releva, en titubant légèrement, son sang ayant quitté provisoirement son cerveau afin d’en gratifier une partie de son anatomie plus disposée à en être pourvue pour l’heure et s’agenouilla dernière lui. Il s’affala de tout son long sur le corps tremblant du beau brun qui, sentant des mains s’aventurer à cajoler tendrement sa virilité, enfoui son visage dans les coussins pour cacher les gémissements qui sortaient de sa gorge. Ron déposa quelques baisers le long de sa colonne vertébrale ayant pour effet de déclencher de petites décharges électriques dans le creux des reins de son amant, et s’affaira à exécuter de longs vas et vient de sa main sur la turgescence à fleur de peau. Harry poussait de longs gémissements étouffés au fur et à mesure que les caresses se faisaient plus rapides. Soudainement, il sentit quelques doigts commencer à caresser de façon bien curieuse, la petite entrée de son anatomie, qu’il n’aurait jamais pensé un jour solliciter de la sorte. Il fut tout d’abord assez effrayé, mais Ron, se montrant assez doux et plutôt expérimenté pour un novice en la matière, le rassura et bientôt, il pu le sentir se détendre sous ses doigts. Il le sentit se relever et se positionner plus confortablement contre lui, sentant contre ses fesses rebondit, l’impatience significative de cette petite coquine, qui n’attendait qu’une chose, pouvoir entamer une quelconque aventure dans cette inexplorée contrée. Harry saisit rapidement la bouteille de bière au beurre et bu goulûment quelques gorgées pour, d’une, abreuver sa soif et sa bouche sèche mais également embrumé au mieux son cerveau afin de subir son assaut sans trop de mal. Ron se pencha en avant et lui susurra à l’oreille :

- Ca va aller Harry….

Facile à dire quand on se trouve en position de wagon et lui en position de locomotive. Joignant le geste à la parole, Ron s’insinua doucement en lui. Il exécuta de petites poussées tout d’abord, afin qu’il s’habitue à sa présence. Harry enfoui à nouveau sa tête dans les coussins, les mordant au passage pour éviter de crier sous la douleur lancinante qu’il ressentait. Mais bientôt, les légères immixtions de son ami se firent plus douces, et la douleur s’estompa peu à peu pour se mêler à un agréable plaisir. Jamais il n’aurait pensé ressentir une telle chose. A chaque coup de rein que lui assainissait le rouquin, il poussait des râles de plaisir, laissant constater sans peine à son bourreau que la torture qu’il lui infligeait le ravissait au plus au point. Bientôt, il imprima de légers mouvements de bassin, afin d’approfondir ses entrées et Ron intensifia ses coups de rein. Leurs corps perlaient de sueurs, leurs muscles saillants sous l’effort les rendaient tellement beaux que ni l’un ni l’autre n’arrivaient à calmer cette passion qui les consumait. Sous les demandes non formulés du brun, Ron comprit qu’il devait se montrer plus ardent et il ne se fit pas prier pour saisir fermement ses hanches afin de donner des coups plus forts et plus puissants. Harry ne retint plus ses cris, il serrait avec force les accoudoirs du canapé, se cambrant de plus belle pour accueillir au mieux son assaillant. La chaleur montait, leurs muscles se crispaient, leurs gorges se nouaient. Leur délivrance était proche, et dans un ultime cri de plaisir, l’un et l’autre atteignirent les contrées du nirvana.

L’alcool et le sexe font-ils bon ménage ? L’alcool désinhibe les plus prudes et l’alcool est la cause de bien des ruptures. Il rend les gens plus communicatifs, plus ouverts, plus détendus, et dans tous les sens du terme…. « Que va-t-il penser de moi ? »  « Non, je ne peux pas faire ça ! »…. Et hop ! Une petite bouteille de bière au beurre nouvelle génération, et tous ces petits principes sont ébranlés, pour laisser place à volupté, passion et sexualité. Mais… C’est le réveil….La conscience se réveille en même temps que nos muscles endoloris. Harry tourne la tête pour apercevoir son meilleur ami, nu dans ses bras. Une bouffée de chaleur l’enveloppe. Mais plus la même…Plus âpre, plus amère. La vérité saute aux yeux.

L’ivresse est cause de bien des faiblesses L’ivresse est cause de bien des bassesses. Et quand le réveil pointe le bout de son nez, On peut être sur que tout cela on va regretter….

Morale : L'effet de l'ivresse est d'abolir les scrupules du sentiment.

Histoire N°25 : Jeux secrets

Publié le jeudi 19 février 2009

Jeux secrets

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année

 

Avec : Harry Potter, Ginny Weasley, Hermione Granger et Luna Lovegood.

 

 

 

Harry avait du mal à croire à son bonheur en des heures si sombres. Les partisans du seigneur des ténèbres étaient déchaînés et, bien sûr, il en était inquiet. Toutefois, depuis quelques semaines maintenant, il sortait avec Ginny. Les quelques heures qu'ils passaient ensemble dans des endroits isolés du château, bien qu'encore trop rares à son goût, lui faisaient croire qu'un avenir était toujours possible malgré les épreuves qui l'attendaient.

Ou du moins y avait-il cru. Entre ses cours très particuliers avec Dumbledore et l'approche des examens de Ginny, les deux tourtereaux n'avaient plus eu un seul instant d'intimité depuis plus d'une semaine. Entre deux cours, Harry errait souvent dans les couloirs d'un air dépité. Son fan club, avec Romilda Vane à sa tête, cherchait à en profiter pour le « consoler », espérant surtout le faire changer d'avis sur son choix de petite amie. Harcelé, Harry devait désormais souvent se cacher seul dans les endroits où il se retrouvait avant avec Ginny. Evidemment, elle ne lui en manquait que plus.

Il fut donc heureux lorsqu'un jour, à l'heure du déjeuner, Ginny qui s'était assise à côté de lui, lui glissa un petit morceau de parchemin dans la poche, en faisant attention à être très discrète. Ni elle, ni Harry ne craignaient que leur relation se sache. De toute façon, l'école entière avait été informée quelques minutes après leur premier rendez-vous. Tous deux préféraient néanmoins que Ron reste dans l'ignorance la plus complète possible si ce n'était des instants où ils se retrouvaient, du moins de ce qu'ils y faisaient. Bien sûr, ce dernier n'était pas dupe, mais par délicatesse pour son meilleur ami, Harry ne lui disait jamais un mot de sa relation avec Ginny, lui qui, auparavant, lui racontait toutes ses relations par le détail.

Ainsi, Lorsque Harry, Ron et Hermione sortirent de la grande salle après le repas, Harry prétexta un arrêt urgent aux toilettes pour s'enfermer seul dans une cabine et lire le parchemin qui ne contenait que quelques mots écrits à la hâte.

 

« Retrouve-moi après ton cours de sortilèges au 2e étage, à côté du débarras des balais. Je t'aime. Ginny. »

 

Harry sentait son coeur faire des bonds dans sa poitrine. Il regrettait que le cours de sortilège soit le dernier de la journée, ce qui présageait encore un long après-midi sans voir sa belle, mais il devait bien reconnaître que c'était le seul moment où ils pourraient espérer avoir un peu de tranquillité.

Absorbé dans ses pensées et sa joie, Harry ne fut pas très bons durant les cours. Il faillit même écoper d'une retenue le soir même lorsqu'il fut incapable de répéter ce que le professeur McGonagall venait d'expliquer pendant près d'un quart d'heure. Heureusement, d'autres élèves n'avaient pas très bien compris et la directrice de gryffondor préféra reprendre le point en question. Après avoir faillit bêtement gâcher son rendez-vous, Harry redoubla d'attention pour le cours de sortilèges.

Enfin, le cours s'arrêta. Soucieux de ne pas brusquer Ron, Harry lutta contre son envie de balancer toutes ses affaires en vrac dans son sac et réussit même à s'éloigner de celui-ci et d'Hermione sans courir, après avoir prétexté que Dumbledore voulait le voir. Lorsqu'il fut certain qu'on ne le verrait plus, il se rua dans les escaliers et atteignit le second étage en un clin d'oeil. Il tourna dans le couloir du débarras et aperçut Ginny, adossée contre le mur. Il se précipita vers elle. La petite rousse se jeta dans ses bras et prit ses lèvres passionnément.

Après avoir attendu si longtemps, Harry sentait son coeur battre à tout va tandis qu'il tenait Ginny serrée contre lui. Il aurait aimé continuer à l'embrasser mais la petite rousse avait une autre idée en tête. Elle le prit par la main.

 

« Viens par là ! »

 

Ginny utilisa le mot de passe du débarras des balais que seuls connaissaient le professeur Bibine et les capitaines d'équipes de quidditch.

 

« Je ne t'ai jamais donné le mot de passe de la réserve, observa Harry.

_ Fred et Georges le connaissaient avant Dubois lui-même quand il a été nommé capitaine, expliqua Ginny. Quand ils ont su que je faisais partie de l'équipe ils me l'ont confié. »

 

Le débarras à balais était à peine plus petit qu'une salle de classe standard. Sur chaque murs étaient fixés des râteliers sur lesquels étaient accrochés des balais de toutes sortes. Les plus vieux et les plus inutilisables étaient amassés dans un coin. Les plus neufs étaient gardés sous clefs dans deux grosses armoires au centre de la pièce avec les malles de balles de quidditch.

La jeune fille referma la porte consciencieusement avant de se retourner vers son amoureux.

 

« Il n'y a plus de cours de vol et aucun entraînement de prévu pour ce soir, déclara-t-elle en souriant, j'ai vérifié. On est tranquilles.

_ Vraiment tranquilles ? Fit-il en la prenant par la taille.

_ Oh oui ! Vraiment ! »

 

Ils s'embrassèrent à nouveau avec envie.

Harry laissa ses mains caresser doucement le dos de sa belle qui en ronronnait de plaisir sans lâcher la bouche de son homme. Il se sentit grandir peu à peu. Il voulut passer sous la chemise de son amante. Ginny stoppa doucement son baiser et s'approcha de l'oreille de Harry.

 

« Attends un peu mon amour. J'aimerai jouer un peu.

_ Tout ce que tu veux, mon coeur. »

 

La petite rousse s'écarta de son amant et enleva vivement la cravate rouge et or de son uniforme. Elle passa derrière Harry et lui posa le long tissu sur les yeux.

 

« Oh ! Un cache-cache. Tu ne crois pas qu'on est un peu vieux pour ça. C'est un jeu de gamins.

_ Je serai très étonnée que tu ais déjà joué à cache-cache à ma façon, répondit-elle. Avec mes règles, je t'assure que ce serait plutôt un jeu interdit aux enfants.

_ J'ai hâte de voir ça. Enfin, façon de parler, évidemment. »

 

Pour plus de sureté, Ginny prit également la cravate de Harry et l'attacha par dessus la sienne. Puis elle se colla contre lui dans son dos en caressant son torse. Il tardait à Harry que la partie commence.

 

« Voilà les règles. Je vais enlever un par un mes vêtements et les laisser tomber derrière-moi. Tu dois suivre la piste pour me retrouver. Si tu y parviens avant que je sois complètement nue, je te promets que tu connaitras tous les délices dont je suis capable. Sinon, non seulement tu devras d'abord m'attraper sans rien voir mais tu auras un gage en plus.

_ Quel genre de gage ? Demanda Harry en souriant.

_ Le genre où je te ferais comprendre que tu m'as beaucoup manqué ces derniers jours. Laisse-moi un peu d'avance, le temps que j'enlève mes chaussures, sinon c'est pas du jeu. »

 

Ginny le lâcha et il l'entendit marcher sur sa gauche. Puis plus un bruit. Harry, poussé par la taille de plus en plus réduite de son pantalon, se mit à la traque de sa proie. Il marcha assez rapidement dans la direction où son amoureuse était partie et finit par buter sur une chaussure. Il s'agenouilla alors et tâtonna le sol tout autour. Sa main finit par effleurer, sur sa droite, un morceau de tissu qu'il identifia comme une chaussette. Il partit à quatre pattes dans cette direction. Il trouva vite la seconde chaussette puis vint le gilet qui se trouvait dans un coin de la pièce. Harry ne trouvait rien autour de celui-ci. Il se mit alors à inspecter les murs et découvrit la jupe accrochée à un balai. Se relevant complètement, il explorait le râtelier de ses mains et trouva bientôt la chemise. Harry accéléra. Il n'avait plus beaucoup de temps. Ginny ne faisait pas le moindre bruit. Il posa ses mains sur un tissu fin et courbé qui ne pouvait être qu'un soutien-gorge. Harry courut presque en laissant sa main effleurer le râtelier et ses balais.

Il eut le souffle coupé en touchant le dernier morceau de tissu qu'il trouva. Mais celui-ci était encore tenu par une main.

 

« Je t'ai eu ma belle, fit-il en souriant. Tu n'as pas eu le temps de t'en débarrasser.

_ Je suis quand même nue, répondit-elle d'une voix amusée.

_ Alors qu'est-ce qu'on fait ?

_ Match nul, déclara-t-elle. Disons que nous avons tous les deux gagnés. Chacun a droit à sa récompense. »

 

Elle se colla contre lui et l'embrassa. Harry éprouva une sensation étrange en caressant le doux corps de son amoureuse sans le voir. C'était comme s'il la redécouvrait. Il appréciait chaque courbe qu'il avait maints fois parcouru en ayant l'impression de les dessiner sous ses doigts. Il ne souhaitait pas la voir encore. Il voulait la sentir. Ses caresses se firent légères et rapides. Ginny avait l'impression qu'un vent doux et chaud s'aventurait de ses épaules à ses cuisses. Elle en frissonna de plaisir. Mais elle avait encore son plan à mettre en action.

Doucement, elle dévêtit Harry, refusant qu'il enlève son bandeau. Elle caressait et embrassait le torse qu'elle libérait peu à peu de la chemise. Le jeune homme n'y tenait plus.

 

« Oh ! Ginny! C'est un excellent début de récompense.

_ En fait Harry, celle-là c'est la mienne. »

 

Il la sentit s'écarter brusquement puis elle dit d'une voix forte :

 

« Intravo ! »

 

Harry fut projeté dans les airs. Il fut plaqué contre l'un des râteliers et des cordes s'enroulèrent autour de ses poignets, de ses chevilles et une autour de sa taille.

 

« Mais... qu'est-ce que... ?

_ Calme-toi, fit Ginny. Rien de méchant. »

 

Celle-ci retira le bandeau. Harry constata que c'était bien toujours sa petite amie qui se trouvait face à lui. Pendant un court instant, il avait craint d'être tombé dans un piège.

 

« En fait, tu n'es qu'une petite perverse, fit-il en retrouvant le sourire.

_ Et je sais que ça te plait, répondit-elle en abaissant le pantalon de Harry. C'est juste que tu ne sais pas encore à quel point. »

 

Elle embrassa son amant passionnément tout en débarrassant celui-ci de son caleçon. La petite rousse s'empara du membre dressé et se mit à le caresser lentement de haut en bas. Très lentement. Harry croyait défaillir.

 

« OK ma belle ! Tu peux faire tout ce que tu veux.

_ Oui mais non, répliqua Ginny amusée. Ce serait un peu trop facile comme gage, non ? D'abord tu prends ton plaisir selon mes règles, ensuite selon les tiennes. Je doute que tu trouves cela contraignant.

_ Euh..., argumenta Harry.

_ J'ai un autre programme en tête. Je te l'ai dit, je vais te montrer combien tu m'as manqué. Et crois-moi je vais te le faire comprendre.

_ Mais c'était pas ma faute ! Tenta désespérément Harry. A moi aussi tu m'as manqué.

_ Je sais. C'est pourquoi tu aurais eu ta récompense de toute façon. »

 

 

Ginny s'écarta du jeune homme de quelques centimètres à peine. Celui-ci voulut la retenir mais il ne pouvait que tirer sur ses liens qui ne bougeaient pas d'un pouce. La magie dont faisait preuve Ginny était toujours impressionnante.

La petite rousse commença à caresser sa petite poitrine en douceur tout en le regardant d'un air d'envie proche du désespoir.

 

« Euh... c'était à ce point là ? Hasarda Harry estomaqué. »

 

La belle ne lui répondit pas et laissa l'une de ses mains descendre lentement sur son ventre jusqu'à l'échancrure intime de son corps. Harry ne savait plus quoi faire. Les premiers gémissements de Ginny lui fouettaient le sang mais il ne pouvait toujours pas faire le moindre mouvement. Il lui semblait que la température de la pièce devenait infernale et de la sueur perlait sur son front tandis que les doigts de la petite rousse investissaient le bas de son corps.

 

« Tu... tu sais, articula-t-il difficilement, tu te mets dans le même état que moi. On pourrait y remédier si... si tu me libérais. »

 

Ginny lui sourit d'un air malicieux.

 

« Pas encore mon amour. Je dois te faire ressentir en quelques minutes tout ce que j'ai ressenti au long de la semaine. Heureusement, j'ai des amies qui m'ont permis de tenir sans toi. »

 

Harry comprit que son délicieux supplice était loin d'être terminé lorsque Ginny prit sa baguette et ouvrit la porte à distance pour laisser entrer deux silhouettes toute encapuchonnées. La porte se referma et un cliquetis se fit entendre, annonçant leur tranquillité.

Ginny s'approcha des nouveaux arrivants et retira leurs capes pour dévoiler Hermione Granger et Luna Lovegood, toutes les deux entièrement nues. Bien qu'il le savait, Harry était toujours émerveillé par la beauté de la jeune serdaigle qui cachait bien son jeu. Celle-ci observa le jeune homme solidement attaché de ses habituels yeux rêveurs.

 

« Tu as raison, fit-elle à Ginny, ça a l'air très amusant. Salut Harry.

_ Euh... salut... Luna, répondit Harry embarrassé. »

 

Hermione, quant à elle, pouffait de rire.

 

« Intéressant tes rendez-vous avec Dumbledore, à ce que je vois. Tu n'aurais pas dû délaisser ta petite copine.

_ Hé ! Protesta Harry. J'ai fais ce que j'ai pu.

_ De toute façon, après ça, je pense que tu t'en souviendras.

 

Ginny se positionna face à son homme, à quelques centimètres tout au plus, avec la blonde dans son dos. Elles commencèrent un nouveau manège érotique. Luna se colla contre le dos de son amie et commença à caresser son ventre tout en lui posant des baisers dans le cou. La petite rousse se cambra sous les caresses et renversa la tête en arrière, sur l'épaule de la jeune serdaigle. Les filles en profitèrent pour goûter à leurs langues emmêlées tandis que Ginny envoya ses mains sur le popotin de son amie et que celle-ci lui massait sa tendre poitrine par échange de bons procédés.

Harry aurait bien détourné les yeux le temps de se calmer mais il ne pouvait pas quitter le somptueux spectacle du regard. Sa petite amie le connaissait trop bien et avait tout prévu. Hermione entra alors en scène à son tour. Elle s'agenouilla devant la jeune Weasley et laissa sa langue trainer sur la douceur de ses cuisses en remontant vers sa destination. Elle s'arrêta sur le bel abricot qu'elle goûta avec passion. Les gémissements de Ginny, étouffés par la bouche de Luna, électrisèrent Harry au point qu'il croyait presque pouvoir jouir sans qu'aucune des filles ne le touche. Sans cesser de s'embrasser, les filles gémirent bientôt de concert, la jeune serdaigle ayant également trouvé l'entrée intime de la petite rousse avec ses doigts, se mêlant à la langue de la brune.

Pensant que, désormais, rien ne pourrait plus l'exciter d'avantage, Harry fut étonné de voir Ginny s'emparer de sa baguette magique. Elle lança un sort informulé pour faire apparaître un gode ceinture en bois, outil très répandu à Poudlard. Délaissant quelques secondes ses amies qui s'occupèrent sans elle, Ginny l'enfila et l'ajusta. Harry n'en crut pas ses yeux lorsque sa petite amie vint s'assoir à ses pieds, le dos nu contre ses jambes, sa tête juste sous son pieu de chair, et attira Luna vers elle pour l'assoir à califourchon sur le membre factice. La jeune serdaigle avait le visage juste en face de la virilité de Harry et il sentit le souffle de son gémissement lorsqu'elle se laissa descendre sur le gode. Luna observait le sexe dressé avec envie mais, finalement, elle passa en dessous pour embrasser Ginny à pleine bouche. Pendant quelques instants, Harry ne voyait plus que deux touffes de cheveux, écarlate et dorée, le dos légèrement arrondi de la serdaigle et ses petites fesses qui se trémoussaient. Il avait extrêmement chaud et sa gorge était en train de se dessécher lorsque Luna bascula en arrière pour poser le dos au sol, révélant absolument tout au jeune homme. Il avait maintenant une vue d'ensemble allant du visage empourpré de plaisir de Ginny à celui tout aussi rouge de la jeune serdaigle gémissante en passant par la pénétration de celle-ci par la première. Harry avait l'impression que c'était sur son sexe que Luna gigotait. Il ignorait si tout cela avait ou non était calculé par Ginny mais il ne put s'empêcher de gémir de dépit. Hermione s'ajouta au tableau, s'agenouillant au dessus du visage de Luna qui s'occupa rapidement de son trésor intime, et s'abaissant pour prendre en bouche l'un des seins de la petite rousse. Les cheveux bruns frôlaient le dard de Harry qui émit un nouveau gémissement plaintif.

 

« Le pauvre, fit Luna compatissante en le regardant, ses yeux dépassant à peine du petit derrière d'Hermione. Peut être qu'on a assez joué, non ?

_ Oui, je pense que maintenant, il mérite de participer. »

 

Sur ces mots, la petite rousse leva la tête et avec sa langue, dessina la rondeur de l'une des bourses de son petit ami. Alléchée par la perspective, Hermione se redressa et ses lèvres s'emparèrent du membre bien dur. Les filles n'eurent pas besoin de le soumettre longtemps au délicieux traitement avant que Harry ne s'écoule dans la gorge de la brune.

Les trois filles se relevèrent et ce fut au tour d'Hermione de prendre sa baguette et d'en pointer le jeune homme. Celui-ci espéra une délivrance, mais en réalité, il fut simplement retourné. Ses pieds et ses hanches n'étaient plus retenus. Par contre ses mains étaient attachées beaucoup plus bas, ce qui l'obligeait à être penché pratiquement à angle droit.

 

« Quelle est la suite du programme ? Demanda-t-il.

_ Un tout dernier fantasme personnel, mon amour, répondit Ginny. Après ce sera ton tour.

_ Comme tu veux ma belle. Je ne bouge pas d'ici, fit-il d'un air goguenard. »

 

Les filles se mirent en place selon un plan apparemment moitié répété, moitié improvisé. Hermione vint se mettre face à lui, les jambes écartées au dessus de ses bras, lui présentant sa tendre intimité que Harry lécha avec plaisir. Luna S'agenouilla sous le jeune homme et prit le membre qu'elle avait tant désiré dans sa bouche. La langue de Ginny parcourut les fesses de son amoureux avant d'aller plus avant et d'explorer le petit anneau de celui-ci. Harry en fut électrisé et creusa les reins. C'était apparemment la réaction attendue. La petite rousse se redressa et le jeune homme ne fut pas étonné de sentir le membre factice qu'elle portait toujours à la ceinture, se frayait un chemin entre ses fesses. S'agrippant aux hanche de son petit ami, Ginny entra en lui d'un petit coup de rein avant de se mettre à faire des va et viens en cadence. Harry appréciait beaucoup ce traitement mais il ne pouvait pas le montrer, à part en faisant de légers mouvements pour aller au devant des coups de boutoirs de son amoureuse. Il redoubla également d'intensité dans sa dégustation de la merveilleuse vallée d'Hermione qui s'accrochait d'une main au râtelier de balais derrière elle et appuyait sur la tête du jeune homme pour l'encourager. Sous les mouvements de Harry, Luna n'avait plus grand chose à faire et laissait aller et venir le sexe dans sa bouche tout en se caressant.

Hermione poussa soudain la tête en arrière et lâcha un cri de jouissance. Enivré par sa liqueur intime, Harry la suivit peu de temps après et Luna se régala de sa semence. Ginny attrapa alors le membre vaincu de son amoureux et le caressa à la cadence de ses coups de reins. Hermione rejoignit la serdaigle et elles activèrent toutes deux leurs langues pour redresser le mât de Harry. Lorsqu'il eut reprit une nouvelle vigueur, la petite rousse pointa sa baguette magique sur les liens de son amoureux et le libéra.

 

« Alors, lui fit-elle tandis qu'il se retournait, ça t'a plut ?

_ c'est le genre de surprises que j'aime. »

 

Ils s'enlacèrent et s'embrassèrent passionnément. Le membre de Harry se frotta à celui de bois.

 

« Il te reste encore ta récompense, reprit Ginny.

_ Je n'ai pas oublié, ne t'en fais pas. »

 

Ils posèrent tous deux le regard sur les filles. Hermione et Luna ne les avaient pas attendus pour continuer leurs ébats. Allongées au sol, elles partageaient leurs lèvres tout en caressant leurs corps.

 

« Vous pourriez attendre votre ami, quand même.

_ Elle est toujours la bienvenue, à n'importe quel moment, répondit la voix à moitié étouffée d'Hermione. »

 

Harry retira le gode ceinture des hanches de sa petite amie et pointa sa baguette sur celui-ci.

 

« Duplicatem ! »

 

Il se retrouva avec un deuxième membre factice, exactement semblable au premier. Il les lança aux filles qui s'en équipèrent rapidement.

 

« Il faut faire vite, le sort de duplication ne dure pas longtemps. »

 

Harry positionna Ginny dos à un râtelier et lança un sort informulé qui attacha ses poignets à celui-ci en hauteur pour que ses bras soient tendus et fassent ainsi ressortir sa délicieuse petite poitrine. Le jeune homme caressa les seins offerts avant de s'effacer devant Hermione et Luna qui avaient compris où leur camarade voulait en venir. La jeune serdaigle se glissa derrière Ginny et inséra doucement le gode entre ses deux petites fesses bien rondes. Lorsqu'elle se trouva devant le petit anneau, elle y entra avec douceur, la position de la petite rousse ne facilitant pas cet accès. Pendant ce temps, Hermione s'installa entre les jambes de la jeune Weasley et agaçait le bouton d'amour de cette dernière pour la prévenir de ce qui l'attendait. Ginny la regardait intensément et passa la langue sur ses lèvres d'un air provocateur signifiant à son amie qu'elle avait tout le loisir de faire ce qu'il lui plaisait. Hermione ne patienta pas plus et installa le gode dans l'antre douce et chaude de la petite rousse d'un coup de rein, avant de s'emparer également de ses lèvres avec passion. Harry était resté en retrait. Il appréciait grandement le spectacle de sa petite amie à la merci des deux filles qui n'avaient d'autre but que de lui donner le plus de plaisir possible. Entendre leur concert de gémissements approbateurs à chacun de leur mouvement était également un régal. Au bout d'un moment, il s'approcha et alla caresser les petites fesses d'Hermione qu'il accompagnait dans la cadence de ses vas et viens. Puis il les écarta, libérant le petit anus, et vint placer son gland contre celui-ci. Grâce au mouvement de la jeune gryffondor, il n'eut pas besoin du moindre effort pour entrer en elle. Harry s'accrocha aux hanches d'Hermione et se colla à la cadence de ses coups de reins.

Le groupe resta ainsi pendant quelques minutes, les mains libres se baladant à leurs guises sur les corps enfiévrés. Puis, comme Harry l'avait dit, le gode ceinture d'Hermione disparut et elle se retrouva à se frotter frénétiquement contre Ginny.

 

« J'aimerai bien être un peu seul avec Ginny maintenant, les filles, s'il vous plaît. »

 

Sans dire un mot de plus, Luna se retira du dos de la petite rousse tandis que Hermione s'agenouillait à côté du couple et posa son torse au sol dans une pose qui indiquait clairement la marche à suivre pour la jeune serdaigle. Luna ne la fit pas attendre, s'agenouilla à son tour derrière elle et pénétra son intimité jusqu'à la garde d'un seul coup, ce qui arracha un cri de plaisir expressif à la brune.

Pendant de temps, Harry s'était positionné entre les douces cuisses de son amoureuse et avait aussitôt investit le joli coquillage roux de son pieu. Mais il n'en resta pas là. Il saisit les petites fesses de Ginny et s'écarta légèrement du mur, tirant un peu sur les liens. Ainsi, la petite rousse ne touchait plus terre et était totalement soutenue par son amant. Ce fut seulement à ce moment là que Harry commença ses coups de reins et qu'il se courba pour venir goûter aux fruits défendus. Entre les puissants mouvements de Harry et la sensation de sa langue sur ses seins, Ginny bascula la tête en arrière et se laissa aller à crier son plaisir autant que le permettait ses poumons. Après le traitement de Luna et Hermione, elle ne fut pas longue à jouir. Harry voulut s'arrêter et en terminer d'une autre manière mais elle l'enferma entre ses jambes, lui faisant bien comprendre qu'il n'était pas question qu'il parte avant d'avoir eut droit, lui aussi, à l'apogée du plaisir. Il s'activa de plus belle et se répandit dans son ventre en gémissant de bonheur. Hermione et Luna se trouvaient derrière lui et elles le firent se retirer vivement, se saisirent de son sexe qu'elles masturbèrent avec vigueur dans l'intention qu'il envoie ses derniers jets de nectar sur le ventre, les cuisses et les seins de Ginny. Une fois fait, elles se régalèrent à nettoyer la petite rousse à coups de langues habiles. Luna, qui appréciait grandement la saveur du jus d'amour masculin, colla ses lèvres à l'intimité de Ginny pour aller chercher le nectar en profondeur.

Lorsqu'elle fut toute propre, ils libérèrent la petite rousse qui chancela sur ses jambes, épuisée par toutes ces expériences. Elle lança un sort de prévention sur son ventre puis ils se rhabillèrent. Ils sortirent tous les quatre de la remise après s'être assurés que personne ne les verrait. Harry et Ginny, enlacés, laissèrent leurs amies prendre de l'avance.

 

« Intéressant, n'est-ce pas ? Fit la petite rousse.

_ Oui, répondit le jeune homme. Mais je n'ai pas encore eu ma récompense. »

 

Ginny s'arrêta, interloquée.

 

« Qu'est-ce que tu veux dire ? »

 

Pour toute réponse, Harry s'empara de ses lèvres en un baiser tendre et passionné.

Harry Potter en BD

Publié le jeudi 19 février 2009

Histoire de diversifier un peu le site, voici une bande dessinée pour adulte sur Harry Potter reprenant le début de l'histoire sous un angle très sexe, drogue et rock'n roll. Le rock'n roll en moins.

Contribution N° 6 : Amour anisé

Publié le jeudi 19 février 2009

Voici une nouvelle contribution qui nous vient de la talentueuse Lylah. Je pense que vous allez apprécier son style à la fois direct et tout en douceur.

Lylah a commencé une série d'histoires érotiques en se fixant pour but de suivre l'alaphabet pour chacune d'elles. Voici donc la lettre A, première d'entre elles et, vous aller le constater, des plus prometteuses.

Je termine en vous disant que c'est Lylah elle-même qui a créé les fanarts au début de chaque histoire. Encore une corde à son arc.

Contribution de Lylah

Chapitre 1 : A comme…amour anisé

Le soleil filtrait à travers les vitraux colorés du dortoir des filles.

Sous un monticule de couvertures, une jolie rousse daigna sortir son joli minois, grimaçant quand le premier rayon solaire vint lui caresser le visage.

En cette chaude journée d’octobre, une sortie à Pré-au-lard était prévu et il n’était pas question qu’elle soit en retard.

En autant de temps qu’il ne faut pour le dire, elle sauta du lit et commença à se préparer.

  • Debout Hermione, scanda-t-elle à l’adresse de son amie, encore une fois nous sommes les dernières à émerger.

Une nouvelle forme se mit à se mouvoir sur le lit d’à côté, poussant un grognement de désapprobation en enfouissant sa tête plus profondément sous les draps.

Mais la jolie rousse, qui avait prit l’habitude de ce coutumier manège, ne se laisserait pas avoir, pas aujourd’hui ! Ça non !

  • Wingardium Leviosa !

Et la lourde couverture se mit à virevolter au dessus du lit, découvrant une jeune fille très peu vêtue, qui, s’en rendant subitement compte, sortit immédiatement de sa léthargie pour attraper la couverture au vol et s’en couvrir prestement.

  • Tu as un malin plaisir à me torture Ginny ! C’est pas vrai !

Pour toute réponse, elle se mit à rire en enfilant ses longues chaussettes rouge et or.

Hermione dû se rendre à l’évidence, si elle ne se levait pas, Ginny la traînerait de force jusqu’à Pré-au-lard, alors autant qu’elle le fasse d’elle-même.

Quelques minutes plus tard, elles étaient prêtes à suivre le joyeux petit groupe qui se formait impatiemment devant la grande porte de l’école.

En chemin, Ginny cherchait des yeux la chevelure hirsute de celui qui faisait battre secrètement son cœur.

Secrètement ?

Non pas tant que ça finalement puisque son émoi se caractérisait facilement de par la jolie couleur pourpre qui couvrait ses joues dès qu’elle croisait son regard émeraude, expliquant clairement la nature de ses sentiments pour le Gryffondor.

- C’est moi que tu cherches Weasley ? Lança une voix glaciale derrière elle.

Pas besoin de se retourner, elle savait déjà à qui elle avait affaire. Elle reconnaîtrait cette voix de serpent persifleur entre mille. Aussi, elle décida de l’ignorer, ne prêtant pas attention aux diverses remarques qu’il formulait à son égard, malgré son mépris significatif.

- Et bien Granger, elle n’a jamais appris à répondre quand on lui parle ta copine ? Adressa-t-il alors à Hermione.

- Depuis quand est-ce que l’on t’adresse la parole Malefoy ?

Celui-ci plissa les yeux jusqu’à ce qu’ils ne ressemblent qu’à deux fentes et avant de les distancer, lui assainit un violent coup de coude.

- Crétin ! Murmura Hermione se frottant douloureusement le bras.

- On parle de Malefoy ? Fanfaronna la voix d’Harry.

- Harry ! Ron ! On vous cherche depuis que l’on a quitté Poudlard !

Ginny sentit qu’elle rougissait à vue d’œil et détourna rapidement la tête afin de cacher au mieux l’état dans lequel elle se trouvait.

- Demande à Ron ! Il lui faut toujours un temps indéfinissable pour se lever ! N’est-ce pas Ginny ?

Mon dieu ! C’est à moi qu’il parle ?? Se mit-elle à penser.

La rouquine acquiesça rapidement de la tête sans se retourner.

Malgré le manque de perspicacité qu’il faisait part à l’égard des filles, Harry avait tout de même remarqué l’effet qu’il produisait sur elle et il avait un malin plaisir à la mettre dans l’embarra afin de pouvoir voir ses tendres joues se teinter d’un joli rose qui lui donnait envie de les croquer.

Mais Ginny ne lui donna pas ce plaisir. Elle resta le dos tourné et cachait son visage entre ses mains.

Mais quelle idiote ! Reprends toi ma vieille, il t’a juste adressé quelques mots !! Pas de quoi virer au rouge ! Continua-t-elle de penser.

Harry passa ses bras autour des épaules d’Hermione et Ginny et ils continuèrent leur chemin jusqu’à Pré-au-lard.

Ginny sentit ses jambes défaillir quand il posa sa main sur une de ses épaules, la caressant négligemment, tout en racontant son début de matinée à Hermione, ne prêtant pas attention au fait que la jolie rousse était au bord de l’évanouissement.

Elle allait passer un bras autour de sa taille pour se retenir quand…

- Oh ! Chez Honeydukes il y a de nouvelles confiseries il parait ! Il faut à tout prix que l’on aille voir ça !

Ron, le ventre sur patte, courait déjà vers la boutique, entraînant Hermione par la main, rompant ainsi la chaîne qu’ils formaient avec Harry et Ginny.

Celui-ci lui fit face et un sourire aux lèvres, lui tendit la main qu’elle s’empressa de saisir.

La confiserie était déjà noire de monde, mais cela ne les empêcherait pas de s’y faufiler.

Baguettes magiques à la réglisse, ballongommes de Bullard, des bulles baveuses, des chocogrenouilles, toujours les mêmes friandises qui leur donnaient à tous l’eau à la bouche.

Harry relâcha nonchalamment la main de Ginny pour disparaître au milieu de la foule.

Celle-ci ressentit une atroce sensation de vide et déambula à travers les rayons afin de trouver une douce sucrerie qui apaiserait sa légère peine.

Son attention fut soudainement attirée par une suave odeur anisée. Elle chercha rapidement des yeux ce qui lui mettait déjà l’eau à la bouche et au bout de quelques secondes, son regard se posa sur un petit ballotin d’osier remplit d’étoiles à la jolie couleur vert amande.

Elle s’avança plus près et, vérifiant que personne ne la regardait, elle saisit une gourmandise entre ses doigts.

- Ginny ! Tu viens ! On a un stock pour tout un mois, s’époumona Hermione devant la porte de la boutique.

Déçue, la jeune fille reposa la douceur parmi ses consœurs et sortit de la boutique, chagrinée de ne pas avoir pu porter à ses lèvres ce qui promettait d’être un pur délice.

Le pas lourd, elle remontait l’allée qui la ramènerait à Poudlard, jetant quelques rapides coups d’œil à ses amis, qui, devant elle, commençait déjà à se repaître de leur butin.

Harry ne les avait pas suivis. Peut-être avait-il encore quelques courses à faire.

Mais lorsqu’elle passa devant la dernière petite ruelle perpendiculaire à la grande rue, elle sentit deux bras robustes la tirer à l’intérieur et la plaquer obligeamment contre le mur.

Elle n’eut pas le temps d’émettre une protestation, qu’une main féline vint se poser délicatement sur sa bouche.

Elle leva alors doucement les yeux et croisa le regard enivrant d’Harry. Celui-ci, retira sa main et la gratifia du plus charmeur des sourires.

- Je t’ai enfin pour moi tout seul, murmura-t-il dans un souffle.

Est-ce vraiment à moi qu’il s’adresse là ??....Bien sur sombre idiote, tu vois quelqu’un d’autre ici ? se remit-elle encore à penser.

Bien qu’il ne puisse lire dans ses pensées, Harry comprenait bien que les questions devaient fuser dans l’esprit de la jeune fille, il tenta donc une explication, en adoptant une voix des plus suaves.

- Ca fait longtemps que je me languis de te prendre dans mes bras, je n’ai jamais su qu’elle attitude adopter avec toi. Après tout, tu es la sœur de mon meilleur ami. Je te connais depuis si longtemps, mais depuis quelques temps…tu…

Il rapprochait maintenant son visage plus près du sien, et elle pouvait sentir le souffle chaud de sa respiration caresser doucement ses lèvres.

Il n’aurait suffit que d’un simple hochement de tête pour qu’elles se rejoignent.

- Tu es….si….

Mais il ne termina pas sa phrase et lui prodigua un baiser passionné et fougueux.

Ginny sentit ses jambes se dérober sous son poids quand la langue de son ami força délicatement le passage de ses lèvres pour entamer une danse endiablée avec sa semblable.

Elle glissa alors doucement ses doigts dans la sombre chevelure de son amant et répondit à son baiser avec intensité, laissant tomber les dernières barrières de pudeur qui couvaient en elle.

Harry passa ses doigts dans sa nuque et relâchant ses lèvres, au plus grand désarroi de la demoiselle, il lui glissa deux doigts à l’endroit même que venait de quitter sa bouche.

Elle parut un instant étonné et lentement, une agréable sensation sucrée lui fit prendre conscience qu’il venait de glisser à l’intérieur une friandise.

- Il m’a semblé voir que ces douceurs te faisaient envie….

Ginny sentit à nouveau que la voix d’Harry la faisait fondre au plus profond de ses entrailles, comme la douce gourmandise commençait à le faire contre son palet.

Un exquis mélange d’anis et de menthe éveillait ses papilles, lui procurant une sensation de fraîcheur intense qui lui parcouru tout le corps.

- Je peux goûter ? Lui susurra Harry en faisant glisser sa langue sur le contour de ses lèvres.

Alors, dans un élan de passion, elle engloutit littéralement sa bouche en un baiser plus profond et plus sauvage que le précédent.

La douce fraîcheur qu’elle éprouvait par le bonbon se mit à faire place petit à petit à une chaleur qu’elle sentit monter depuis le creux de ses reins.

Harry, impatient, glissa ses doigts sous le chemisier de la jolie rousse et elle hoqueta de surprise au contact de sa peau fraîche contre la sienne.

Sans relâcher l’étreinte de son baiser, il défit avec une dextérité étonnante, les quelques boutons qui le séparait encore de la peau douce et parfumée de sa tentatrice.

Celle-ci gémissait de plaisir, commençant à perdre totalement son self-control. Elle en voulait plus, elle voulait qu’il soit plus pressant, plus audacieux.

Dans un râle de plaisir, elle laissa tomber le fin tissu sur le sol et entreprit de déshabiller son doux tortionnaire.

Comprenant l’invitation, Harry s’empressa d’envoyer ses quelques vêtements rejoindre ceux de son amie.

Puis, haletant, il prit un instant pour l’admirer.

Elle était belle, désirable mais…toujours debout ! Toujours contre le mur, le regard emplit d’envie et de convoitise. Elle suçait encore agréablement la petite étoile, et Harry sentit monter en lui une envie soudaine de la posséder.

En un éclair, il entoura sa fine taille pour l’asseoir sur un tas de vieilles boîtes de bois qui se trouvait à côté. D’une main câline, il caressa ses deux magnifiques petits seins, et il ne put s’empêcher de se passer la langue sur les lèvres avec envie.

Il imprima une légère poussée afin qu’elle se couche, l’entendant gémir au contact du matériau froid sur sa frêle peau blanche, et il déposa quelques baisers enflammer sur la pointe de l’une de ses charmantes collines.

Le corps de la demoiselle était parcouru de soubresauts de plaisir, ce qui rendait Harry plus ardent, l’incitant à mordiller tendrement le petit téton qui pointait fièrement contre ses lèvres.

Il descendit plus au sud en laissant une fine lignée sur le ventre appétissant de la jolie rousse, jouant avec son nombril un instant et continuant sa descente avec une lenteur presque criminelle.

Ginny gémissait de plaisir, sentant que son corps entier réclamait Harry sur chacune des parties de son anatomie. Elle glissait de plus en plus vers le bas, comme pour chercher impatiemment le contact, mais d’une main ferme, Harry la remettait à sa place, un sourire malicieux sur les lèvres.

Quand il atteint l’objet de ses plus lubriques convoitises, il leva légèrement les yeux vers son amante, attendant quelques signes de protestation, qui bien sûr, ne vinrent pas. Satisfait il commença un jeu lascif avec le bout de sa langue, goûtant avec délice le charmant petit fruitier.

Ginny sombrait dans une lente agonie, subissant sa torture avec ravissement. Elle tenait fermement les morceaux de bois avec ses mains, se cambrant sous une décharge électrique quand Harry effleura son petit bouton d’amour et s’insinua plus profondément en elle.

Jamais elle n’avait connu pareil plaisir. Son corps tout entier était parcouru de légères décharges, la poussant à crier le nom de son bourreau, qu’elle essayait de taire entre ses dents.

Au bord du supplice, elle passa une main dans les mèches sombres d’Harry, lui indiquant de la rejoindre avant qu’elle ne défaille complètement.

Le Griffondor se releva alors lentement et tout en se rapprochant de la petite rousse, il passa délicieusement la langue sur ses lèvres, comme après avoir bu le plus merveilleux des breuvages.

Il prit appui sur les mains pour prendre position au dessus de son visage et un sourire malicieux sur les lèvres, la tenta :

- Préfères-tu une sucrerie à l’anis ?

Mais déjà la jeune jouvencelle avait reprit ses lèvres, appréciant avec délectation la nouvelle saveur qu’elles dégageaient.

Elle enserra d’un geste rapide les hanches de Harry, qui sous l’effet de surprise en perdit presque l’équilibre.

C’est alors que, le regard l’un dans l’autre, il descendit doucement quelques doigts vers son divin puits d’amour et lorsqu’il les inséra dans un mouvement agile, elle se cambra encore plus, pouvant sentir tout contre son ventre, la virilité concupiscente qui bientôt l’emmènerai jusqu’à l’extase.

Avec un malin plaisir, Harry jouait avec ses doigts, imprimant de légers vas et vient, mais il ne souhaitait pas encore lui donner ce qu’elle voulait, il préférait la voir se languir sous ses caresses insoutenables, il voulait qu’elle ouvre la bouche pour autre chose que lui rendre ses baisers, il voulait qu’elle lui demande. Oui ! Quelle lui demande enfin….

Et enfin….

- Oh….Harry ! Je t’en prie ! Je te veux en moi !

- Ah ! J’ai bien cru que tu ne me le demanderais jamais, lança-t-il avec malice.

Et en un mouvement ardent, il pénétra le douce et chaude entrée de son aimée.

Chacun émit un gémissement de plaisir intense, dans l’impossibilité de garder plus longtemps en eux ce feu qui les consumait.

Harry donnait de puissants coups de rein, obligeant Ginny à se maintenir à lui pour ne pas glisser sur le sol. Il aimait la sentir contre lui, et elle aimait le sentir au plus profond d’elle. La tête en arrière, elle laissait son tendre amant la couvrir de baiser enflammer dans sa nuque chaude et offerte dans laquelle il pouvait sentir son cœur battre à toute allure.

Et quand, elle sentit le souffle de son bourreau s’accélérer contre sa poitrine, elle enserra d’autant plus son étreinte autour de sa taille et plaça des mains souples sur ses fesses fermes et musclées, l’incitant à accélérer le mouvement.

Celui-ci ne se fit pas prier et octroya des coups plus vigoureux et plus indomptés, arrachant des cris de plaisir à Ginny, qui sentait en elle, montait en plus du membre concupiscent d’Harry, une chaleur telle qu’elle ne pouvait plus retenir ses cris. Elle enfoui son visage dans le creux de l’épaule de son amant, tandis que celui-ci tentait de se maintenir en équilibre tout en ne ralentissant pas son rythme soutenu.

Et dans un râle de jouissance extrême, il sentit une décharge vive lui parcourir le bas des reins et il ne pu s’empêcher de se mordre le poing pour ne pas hurler quand son corps se contorsionna en plusieurs petits soubresauts.

Lentement, leur respiration se fit plus calme, plus sereine. Comme le calme qui précède la tempête un lourd silence s’installa.

Ils restèrent un instant l’un contre l’autre, ne voulant pas se relâcher, de peur de vaincre la magie du moment.

Harry s’appuya tout de même difficilement sur ses avants bras et toisa son aimée d’un regard amoureux.

Celle-ci, le visage empourpré par le désir, lui rendait son regard qui en disait long sur la reconnaissance qu’elle lui témoignait.

Sans un mot, ils se rhabillèrent et avant de quitter la ruelle, Harry saisit la main de Ginny et docilement, lui glissa une petite étoile à l’anis entre les lèvres, symbole de leur désir ardent et amour naissant.

Contribution N°5 : Pris au piège

Publié le jeudi 19 février 2009

Merci à Prong pour sa contribution qui dévoile un aspect du tome 6 que plusieurs personnes attendaient de pouvoir lire. Je ne vous en dis pas plus.

Contribution de Prong

Pris au piège

Ce samedi avait pourtant si bien commencé se dit Harry en quittant l’infirmerie et en déambulant au hasard dans les couloirs de l’école. D’abord, c’était son anniversaire, et il adorait généralement ce jour là. Mais il avait fallu que Ron avale ces stupides chocolats remplis de philtre d’amour !!!Il avait par la suite faillit mourir à cause d’un vin empoisonné chez le professeur Slughorn. Seule la présence d’esprit et la rapidité de Harry avait sauvé son ami, en lui enfonçant un bézoard, petite pierre aux vertus d’antidote étonnantes. Passé le premier choc, Ron s’était calmé rapidement et s’était plongé dans un profond sommeil. Harry et le Maître des potions l’avaient alors transporté à l’infirmerie, où le jeune homme avait dû répondre à beaucoup de questions de la part de Mme Pomfresh et de la directrice de la maison des gryffondors, Le professeur Mc Gonagall.

Il essayait maintenant de retrouver le chemin de la salle commune des gryffondors, mais, perdu dans ses pensés, il s’égara et errait dans les couloirs sans regarder où il allait. Mais alors qu’il se demandait de quelle manière ce poison était arrivé dans ce tonneau, une voix féminine qu’il connaissait l’appela derrière lui. Il se retourna et tomba nez à nez avec une jeune fille de 4 éme année, grande, assez belle avec des cheveux noirs comme le jais. Il répondit presque machinalement

<< Salut Romilda. Ça va ?

_ Très bien Harry ! et toi ? tu as goûté à mes chaudrons au chocolats ? lui répondit elle avec un grand sourire>>

Soudain, la réalité lui revint à la vitesse d’un hippogriffe au galop. C’était Ron qui avait mangé ces chaudrons remplis de philtre d’amours !! Et c’était à cause de ça qu’ils étaient allés chez le professeur Slughorn et que Ron avait failli mourir ! A cette pensée, il eut une bouffé de rage et allait lui répondre violemment quand Romilda lui dit

<< Apparemment non ! Tant pis, j’ai un plan B>>

Elle sortit d’une des poches de son manteau une fiole de parfum. Harry crut qu’elle allait s’en asperger et tenter de le charmer mais c’est vers lui qu’elle retourna la fiole et lui envoya un petit nuage rose dans le nez. Harry essaya de dire quelque chose mais la tête lui tournait déjà et il s’effondra sans un bruit.

Il finit par émerger lentement. Il était toujours allongé mais était ligoté et entendait des voix au dessus de lui

<< Le mieux c’est de tirer au sort.

_ Pas question ! c’est moi qui ai pris les risques, c’est moi qui commence !!

_ Tu vas l’épuiser et on ne pourra plus rien en tirer après !

_ Tu n’avais qu’à m’aider à lui faire prendre la potion !Et puis c’est ça où je lui donne l’antidote maintenant !

_ Bon bon ne te fâche pas Rom ! tu peux y aller .

_ Non, j’ai une meilleure idée : pourquoi pas tout les deux !

_ Tu es folle, j’ai jamais fait ça moi !

_ Raison de plus pour essayer. »

Machinalement, Harry avait compté deux voix différentes mais il était encore trop endormis pour les identifier. Il entendit tout à coup une voix féminine énoncer Revigorvitas et sentit une grande chaleur inonder tout son corps Et il eut enfin la force d’ouvrir les yeux. Il était entouré de deux jeunes filles dont la belle Romilda Vane .

<< Salut Harry !! »

Il se tourna vers celle qui avait parlé et reconnu une des amies de Romilda qui était avec elle dans le poudlard express

« Euhhh salut !

_ Bon Rom tu lui expliques ? »

La jeune femme se pencha sur Harry et lui murmura :

« Nous sommes amoureuses de toi Harry, et tu es là pour qu’on te le prouve.

_ Mais l’amour, ce n’est pas sur commande Romilda !! Il faut être amoureux !

_ Mais tu vas être amoureux Harry !! Très amoureux aussi !>>

Elle sortit de sa poche un autre flacon et lui introduit entre les lèvres

<< - Tu vois, il me restait encore du philtre d’amour de chez Weasley & Weasley ! »

Horrifié, Harry se rendit compte que dans quelque instants il allait être amoureux fou de la jeune femme et ne serait plus maître de ses actes.

Sa tête lui tournait déjà quand il sentit que ces liens se défaisaient tout seul. Il se redressa pour constater à travers un regard embué qu’il était dans les toilettes des filles du deuxième étage. Bizarrement, il n’y avait plus personne autour de lui et pensait déjà que tout ceci n’avait été qu’un rêve étrange lorsque soudainement une silhouette surgit d’une des cabines. Romilda, toute nue le prit dans ces bras et l’embrassa longuement. Harry fut surpris de répondre à ce baiser avec une fougue qu’il ne se connaissait pas. Passant ses bras dans le dos de la jeune femme, il la pressa contre lui comme s’il allait la perdre. Visiblement ravie, Romilda l’attira vers le cabinet dont elle avait surgit et se mit dos au mur, laissant les mains du jeune homme la caresser. Ce dernier avait l’impression d’avoir enfin atteint le paradis. Il fit remonter ces deux mains vers les mamelons de Romilda. Il les suça, les pétrit, il n’en pouvait plus d’éprouver leur délicieuse élasticité. Il en prit un dans sa bouche et le suça à en faire disparaître la couleur. Mais au même moment il sentit une autre poitrine se coller à son dos et des mains fouiller dans son pantalon. Sans voir cette inconnue, il sentit qu’il était amoureux fou d’elle. Tout en embrassant Romilda, il prit la tête de la deuxième fille, lui indiquant son rôle. Comprenant aussitôt, celle-ci se baisse et prit à deux mains l’imposant outil. Mais au lieu de le prendre dés le début, elle préféra jouer un peu avec Harry. Elle commença par dénuder le gland, puis lui faire de petites léchouilles afin de le titiller. Elle descendit jusqu’aux bourses pour les englober entièrement, les faisant rouler dans sa bouche. Pendant ce temps, Harry était aux anges. Il avait fait se mettre à quatre patte Romilda et était penché en train de lui embrasser sa rose, puis s’était enhardi jusqu’à lui sonder son petit trou coquin. La jeune fille poussait de petits cris aigus qui traduisait son plaisir évident. Elle ne fut pas longue à déverser son nectar sur la bouche d’Harry qui s’en délecta. Celui-ci l’abandonna un peu, car il fallait s’occuper de celle qui lui avait patiemment lubrifier son engin. Il la coucha sur le sol et l’embrassa passionnément. Il se mit alors à faire de lents mouvements du bassin de façon à ce que son sexe soit en face du puit des félicités de la belle inconnue. En même temps, Romilda, se sentant délaissée, se plaça derrière le couple en action et se mit à embrasser son amie. Le spectacle de ses deux filles en train de s’embrasser langoureusement donna un regain d’énergie à Harry qui accéléra le rythme, l’amenant avec sa partenaire au bord du précipice du bonheur. Et c’est allégrement qu’ils le franchirent, mélangeant leurs deux liqueurs.

Passablement épuisé, Harry reposa sa tête sur la douce poitrine de sa partenaire. Cette dernière caressait les cheveux du garçon, ayant cessé les embrassades avec Romilda. Mais cette dernière fit clairement comprendre au couple qu’une pause n’était pas dans ses intentions. Elle se plaça derrière Harry et commença à faire des ronds à l’aide de sa langue autour du petit puit du garçon. Celui ci attendait avec impatiente la suite, mais n’arrivait pas à se décider à quitter son confortable oreiller. Ce ne fut que quand il sentit deux doigts s’infiltrer en lui qu’il se releva brusquement comme électrocuté. Il se mit à quatre patte, indiquant clairement à Romilda qu’il ne désirait absolument pas qu’elle cesse ces caresses. La seconde adolescente s’accroupit avec un soupir et chercha les lèvres gorgées de désir de Harry. Elle y introduisit sa langue, étouffant un gémissement du garçon qui comptait désormais trois doigts dans un lieu fort agréable. La jeune fille abandonna ses lèvres pour se glisser contre le corps de l’adolescent elle aussi à quatre patte. En voyant cette petite paire de fesse s’ajouter en dessous de celles qu’elle titillait déjà, Romilda comprit aussitôt. Elle demanda à Harry de soulever légèrement son bassin grâce à une pression judicieuse et saisit la verge de ce dernier qu’elle dirigea sur le petit trou de sa compagne. Harry, complètement inconscient à cause des doigts enfoncés dans son anatomie, se rabaissa brutalement, pénétrant en une seule fois la jeune fille qui apparemment était vierge…de ce côté-ci

Après bien des mouvements passionnés, les trois amants finirent par trouver leur limite et s’effondrèrent sur le sol même.

Quelques heures plus tard, Harry se réveilla, allongé sur un des sofa de la salle commune de gryffondor. Il commença par douter de ses souvenirs, mais quand il tenta de se retourner une vive sensation au niveau du bassin lui prouva que les évènements de la soirée avait été bien réels. Il ne savait que penser, et finit par décider de ne pas en parler. Le Grand Harry Potter qui tombe dans un piège monté par quelques filles… ?

Pas très glorieux !

Histoire N° 23 : Réminiscences

Publié le jeudi 5 février 2009

Réminiscences

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année

Avec : Harry Potter, Hermione Granger, Ron Weasley, Ginny Weasley, Fred Weasley et Georges Weasley.

Hermione s'était changée et s'était couchée depuis un petit moment déjà. Elle attendait Ginny en lisant un livre intitulé « la magie des souvenirs ». Mais elle ne lisait pas vraiment le chapitre sur les pensines. Elle commençait à s'inquiéter sérieusement de ce que pouvait bien faire la petite rousse. Voilà bien une heure qu'elle devrait être avec elle sous la tente.

Hermione se disait que peut être, en allant faire une toilette rapide avant d'aller se coucher, Ginny était tombée sur un groupe de supporters irlandais fous de joie et qu'elle s'était laissée embarquer dans la fête, ce qui n'aurait pas du tout plu à son père. Ou alors elle avait rencontrée une amie et elle discutait sans voir l'heure passer. Il y avait tellement d'élèves de Poudlard dans ce camping moldu, et l'effervescence de la fête gagnait toujours en puissance, qu'elle ne serait pas étonnée que Ginny en oublie de rentrer. Après tout, Mr Weasley et les garçons devaient déjà dormir, et il y avait peu de risques qu'elle se fasse attraper. Toutefois, elle ne pouvait s'empêcher de trouver cela étrange. La petite rousse était plutôt sérieuse dans ces circonstances, ne se laissant pas embarquer par ou avec des inconnus, même si elle aimait faire la fête, frangine de Fred et Georges oblige. Et Hermione se demandait bien pourquoi elle ne serait pas venue la chercher si elle avait trouvé une fête où elles seraient accueillies.

Supposant donc qu'elle ne faisait que discuter innocemment quelque part, Hermione essaya de se replonger dans l'histoire de la création de la première pensine lorsque l'ouverture de la tente s'écarta enfin pour laisser passer Ginny. Celle-ci s'avança vers son sac, en sortit vivement ses affaires pour la nuit et commença à se changer sans regarder son amie. Hermione intriguée, posa son livre, sans oublier de marquer la page, et la regardait fixement.

« Où étais-tu ? Demanda-t-elle.

_ Oh, euh... j'étais... ben... j'étais en train de faire ma toilette, répondit Ginny dont les joues s'empourprèrent.

_ Tu en as mis du temps.

_ Ah oui ? Euh... je ne m'en suis pas rendu compte. »

Ginny avait passé la vieille chemise de son père qui lui servait de pyjama et s'apprêta à aller se coucher dans son lit, en dessous de celui d'Hermione, mais celle-ci lui attrapa l'épaule.

« Toi, tu me caches quelque chose.

_ Moi ? Mais... mais... pas du tout.

_ Tu es toute rouge et tu n'oses pas me regarder. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

_ Rien... mais rien du tout, voyons. J'ai juste mis un peu de temps, c'est tout.

_ Ginny, pas à moi. »

La petite rousse leva des yeux humides vers Hermione et comprit que celle-ci ne laisserait pas tomber si facilement. Elle se résolut à avouer.

« Et bien... je crois que j'ai couché avec Harry.

_ Quoi ? »

Hermione fut prise d'un tel soubresaut en apprenant la nouvelle qu'elle dut se raccrocher au bord du lit superposé pour ne pas tomber.

« Co... comment ça tu « crois » ?

_ C'est que c'est difficile à dire en fait... je ne suis pas sûre. »

Hermione remarqua que son amie semblait un peu sous le choc. Elle souleva ses draps et lui fit une place.

« Allez, viens là et raconte-moi ça. »

Ginny s'exécuta sans dire un mot et s'allongea à côté d'Hermione. Cette dernière la prit dans ses bras et lui caressa les cheveux.

« Alors ? Que s'est-il passé ?

_ Je... j'étais partie au bâtiment sanitaire pour prendre ma douche et me laver les dents et puis, arrivée là-bas, j'ai vu que Harry y était aussi.

_ Ah ! Mais je croyais que tu n'osais pas lui parler.

_ Oui, mais... enfin, je n'en ai pas eu besoin.

_ Il ne t'a pas sauté dessus quand même ? Ce n'est pas son genre.

_ Non, il m'a juste dit salut en souriant.

_ Alors c'est toi qui... ?

_ Mais non ! J'étais terrorisée. Comme à chaque fois que je me retrouve seule avec lui j'avais l'air d'une parfaite idiote. Mais tais-toi un peu si tu veux en savoir plus.

_ Oui, pardon.

_ Bon, on était là sans rien dire à attendre qu'une douche se libère et c'est là que sont arrivées les vélanes. »

Le visage d'Hermione s'éclaira de stupeur et elle ne put s'empêcher de parler.

« Des vélanes ? Si près du campement irlandais ?

_ Oui. Elles étaient furieuses. Je crois que c'était un genre d'expédition punitive.

_ Aie ! Mais qu'est-ce qu'elles ont à voir avec Harry et toi ?

_ Eh bien... c'est à dire que l'on avait encore les rosettes irlandaises sur nous.

_ Aie aie aie !

_ On peut dire ça oui. Ensuite je ne sais pas trop ce qu'elles ont fait. Je crois que c'était un peu comme le charme qu'elles ont lancé avant le match mais en beaucoup plus puissant. Enfin, elles nous l'ont jeté et sont parties immédiatement vers le camp irlandais. Du coup...

_ Du coup vous vous retrouviez tous les deux avec un désir irrésistible l'un pour l'autre. Je vois. »

Ginny acquiesça avec un air sombre. Hermione ne comprenait pas.

« Et bien je ne vois pas ce qu'il y a de mal à ça après tout. Tu ne m'as pas dit que c'était ce que tu voulais ?

_Oui... mais... pas comme ça. »

La petite rousse ne put retenir ses larmes. Hermione la serra contre elle.

« Qu'est-ce qui ne va pas ?

_ Je voulais que ce soit par amour, déjà, répondit la petite rousse entre deux sanglots, et puis surtout... que je... que je m'en souvienne.

_ Tu ne te rappelle de rien ?

_ Si... un peu... comme à la fin de la présentation des vélanes. On avait l'impression de sortir d'un rêve... mais on savait ce qui s'était passé. Mais là... c'était si puissant... c'était comme si quelqu'un d'autre... l'avait fait. Je n'ai que des souvenirs... troubles, des bribes, avec très peu de sensations.

_ Allez calme-toi ! »

Hermione posa un baiser sur le front de la petite rousse. Elle essaya de s'imaginer ce que l'on pouvait ressentir de revoir quelques images de ce que l'on a fait dans sa tête sans pouvoir l'associer à des sensations. Ce devait être déroutant. Et pas seulement pour Ginny.

« Avec tout ça, tu as pensé à te lancer un sort de prévention ?

_ Oui, une fois que je me suis enfuie. Sur le chemin du retour.

_ Euh... et... et Harry dans tout ça ? Qu'est-ce qu'il en pense ?

_ Je sais pas. Il a rien dit. Il était aussi perdu que moi je crois.

_ Tu ne crois pas qu'il va... enfin qu'il va peut être en parler à Ron ?

_ Je ne pense pas, ça m'étonnerai beaucoup qu'il lui parle de ce qu'il a fait à sa petite soeur dans les douches.

_ Oui, évidemment.

_ Il finira par oublier. Moi aussi j'ai déjà de plus en plus de choses que j'oublie depuis quelques minutes.

_ C'est le pouvoir des vélanes qui s'estompe. J'ai lu ça dans mon livre. Tu vois, tu finiras par oublier tout ça aussi.

_ Mais c'est que je n'en ai pas envie. Ce n'était pas ce que je voulais mais c'était quand même... ma première expérience... avec lui. »

Hermione sembla soudain illuminée. Elle se retourna vivement et prit son livre.

« Attends, je crois qu'il y a un truc là-dedans qui permettrait de... enfin, pas vraiment de te souvenir mais de savoir ce qui s'est passé au moins.

_ Il faudrait une pensine, enfin, si mon souvenir ne s'efface pas avant.

_ Non, les souvenirs ne s'effacent pas, même par magie. On peut les cacher mais on ne peut pas vraiment les faire oublier. Les sortilèges d'oubliettes sont assez facile à briser quand on sait ce qu'on cherche, donc ça prouve qu'on oublie pas vraiment nos souvenirs, tu vois ? Enfin... bon... revenons sur ce qui nous intéresse. C'est là !"

Hermione montra à Ginny des pages pleines de chiffres et de formules compliquées.

« Ce n'est pas facile, il faut utiliser l'arithmancie. J'ai un autre manuel pour ça, attends. »

La brune fit voler son sac jusqu'à elle en utilisant le sortilège d'attraction et sortit le livre « Arithmancie avancée pour sorciers très confirmés ». Elle l'ouvrit au chapitre « calculs de dates précises ».

« Voilà, alors, il faut que je détermine l'heure à laquelle c'est arrivé et l'heure à laquelle ça s'est terminé. Ensuite... »

Hermione attrapa également une plume, de l'encre et un parchemin et se mit à faire des calculs compliqués en se basant sur l'heure où Ginny était arrivée aux sanitaires, sur celle où elle en était repartie, puis sur la durée totale. Elle en arriva à une suite de chiffres dont la petite rousse ne comprit pas comment elle les avait obtenus.

« Bien, reprit Hermione, maintenant, il faut chercher la correspondance en runes puis en latin. »

La brune sortit deux autres manuels et traduisit les chiffres en runes puis les runes en latin et elle obtint une formule compliquée. Elle reprit un moment son livre « la magie des souvenirs » puis les repoussa tous pour prendre sa baguette.

« Bon alors ne bouge pas, tu ne sentiras rien du tout. »

Hermione posa le bout de la baguette sur la tempe de Ginny et prononça la formule. Puis elle retira la baguette sur laquelle pendait un petit filament blanc.

« Oh, fit la petite rousse surprise, je croyais que les souvenirs étaient argentés.

_ Oui, mais celui-ci n'est qu'une copie, si l'on veut. Le vrai souvenir restera à l'intérieur de toi, même s'il finira par être caché.

_ Et comment on va voir ce qui s'est passé sans pensine ?

_ On en aura pas besoin, tu verras. Par contre on ne pourra le faire qu'une fois. Tu ne te souviendras sûrement plus du vrai quand on en aura finit et je ne pourrai alors plus en faire de copie. Enfin, tu es sûre de vouloir le regarder ?

_ Oui.

_ Bon, allons-y ! »

Hermione prononça une autre formule et le filament s'enroula en spirale autour de la baguette. Puis, avec une dernière formule, un petit éclair blanc jaillit et éclata comme un mini feu d'artifice au-dessus de leurs têtes. Les filles s'allongèrent sur le dos et regardèrent la formation d'un petit halo lumineux au centre duquel se formait peu à peu une image.

« Je me souviens de ça. C'est moi, je suis encore sur le chemin.

_ On voit les sanitaires là-bas. Tu y es presque. J'ai été assez précise. »

Elles regardèrent l'image de Ginny, comme dans un jeu vidéo à la troisième personne, s'approcher du bâtiment puis stopper net en apercevant Harry à l'intérieur. Celui-ci la salua (« malgré le fait qu'ils se soient vu toute la journée », pensa Hermione) et Ginny répondit par un baraguinement qui voulait apparemment dire la même chose. Harry essaya de lancer la conversation en lançant une phrase bateau genre « je ne pensais pas qu'il y aurait autant de monde à cette heure-ci » mais Ginny répondit d'un couinement qui devait vouloir dire oui et baissa la tête en rougissant. Hermione sentit la chaleur grandissante de la joue de la petite rousse qui devait être maintenant aussi écarlate que son double.

Pendant un certain moment, aucun des deux ne dit plus le moindre mot et seul le bruit des douches utilisées raisonnait dans le bâtiment. Puis, peu à peu, elles entendirent des cris s'approcher.

« Les vélanes ! Fit la petite rousse en tremblant un peu. »

En effet, peu de temps après, les vélanes entrèrent dans le champ de vision de la Ginny des sanitaires. Elles étaient sous leur forme monstrueuse et étaient vraiment peu rassurantes. Elles semblaient ne pas s'intéresser aux sanitaires jusqu'à ce que l'une d'elle aperçoive les rosettes vertes brillantes et alerte ses congénères en criant. Harry laissa tomber ses affaires sur le sol et se mit vivement devant Ginny pour la protéger. Il voulut prendre sa baguette mais la petite rousse paniquée s'empara de sa main pour la serrer fort. Aucun d'eux ne put réagir.

Alors que le charme que les vélanes avaient utilisé dans le stade était invisible, celui qu'elles lancèrent sur le bâtiment ressemblait à une sorte de brume rougeoyante, témoignant de sa force, frappant les deux jeunes gens, et passant à travers les portes des cabines, en une vague rapide. Déchaînées, les vélanes repartirent aussitôt en direction du camp des irlandais, hurlant de plus belle.

De toute évidence, Harry et Ginny ne comprirent pas tout de suite ce qu'il venait de se passer. Harry se retourna vers la petite rousse, probablement pour lui demander si tout allait bien mais celle-ci lui sauta au cou et l'embrassa avec une fougue incontrôlée. Il ne fallut qu'une seconde à Harry pour qu'il le lui rende avec autant de passion. Dans le lit, Ginny poussa un faible gémissement, se rendant compte de son audace involontaire. Ses yeux s'écarquillèrent tandis qu'elle se voyait débarrasser violemment Harry de ses vêtements et que celui-ci faisait de même pour elle. Puis, la Ginny du souvenir s'assit sur un évier en écartant les cuisses, provocante et impudique, et Harry ne se fit pas prier pour venir la pénétrer d'un puissant coup de rein qui les fit grogner tous les deux. Il fit immédiatement des vas et viens assez brutaux mais Ginny n'était pas en reste. Elle entoura la taille de son amant de ses jambes, s'accrocha à une étagère derrière elle et se mit à onduler vigoureusement des hanches pour aller au devant des puissants coups de boutoir de Harry.

La petite rousse était très gênée de se voir dans un tel état, d'autant plus qu'elle sentait son entrejambe s'humidifier malgré elle. Elle entendit la respiration d'Hermione se faire plus forte.

« Mais... ? Qu'est-ce que tu fais ?

_ Oh... excuse-moi Ginny... mais c'est tellement... Je n'ai pas pu résister... je n'avais jamais vu quelque chose comme ça... c'est... oooooooh ! »

La brune se caressait sans quitter des yeux la scène du souvenir magique. Ginny n'eut le temps de rien dire qu'elle sentit une main remonter le long de sa cuisse et se faufiler sous sa chemise pour rencontrer son intimité. Hermione se mit à agacer vivement le bouton d'amour déjà gonflé de plaisir de la petite rousse qui ne put que gémir en reportant ce qu'il restait de son attention sur les images.

Harry portait Ginny maintenant et celle-ci montait et descendait violemment sur la tige extrêmement dure de son amant. Dans les cabines, on entendait les grognement set les gémissements des personnes qui étaient tellement déboussolées qu'elles n'auraient pu ouvrir leurs portes, se condamnant à se soulager seules. Harry s'était penché sur les petits seins de Ginny qu'il pouvait presque prendre entièrement dans la bouche, ce qu'il ne se gênait pas d'essayer de faire avec gloutonnerie. La jeune Weasley, quant à elle, avait la tête renversée, les yeux fermés et ne pouvait apparemment se concentrer que sur une seule chose, les mouvements brutaux qu'elle effectuait pour s'empaler sur le membre de son amant. Elle poussa un cri ravi lorsque Harry fouilla entre ses fesses pour découvrir le petit anneau qu'il investit sans ménagement de deux doigts.

Au même moment, Ginny poussa un gémissement qu'elle étouffa du mieux qu'elle put lorsque les doigts d'Hermione s'invitèrent à l'intérieur de son sanctuaire. Tout en continuant de regarder sa chevauchée bestiale, elle sentit le corps frémissant de la belle brune tout contre le sien, la tête contre la sienne. Et ces phalanges qui s'amusaient dans son bas ventre. Ginny n'y tenait plus. Elle ne pouvait rester inactive avec tant d'excitation. Elle engouffra sa main dans le pantalon de pyjama d'Hermione et remplaça les doigts de la brune dans le trésor intime tout chaud de celle-ci. Les deux filles explorèrent chacune le sexe de l'autre avec beaucoup d'attention et de vigueur, sans cesser de regarder le souvenir.

L'étreinte de Harry et Ginny devenait presque sauvage. À se demander si l'un ou l'autre savait encore ce qu'il était réellement en train de faire. La petite rousse poussait des cris sans retenue aucune. Dans un instant de lucidité, au beau milieu des caresses qu'elle prodiguait et se faisait prodiguer, Hermione se demanda comment il était possible que personne d'autre ne les ait entendu et soit venu voir ce qui faisait ce raffut de tous les diables. La jolie brune se demanda à ce moment là combien de personnes avaient réellement été victimes des vélanes ce soir-là. Harry lui-même ne pouvait plus contenir de puissants cris de plaisir. Soudain, sans dire le moindre mot, Ginny reposa ses pieds à terre, chancela un peu et se retourna pour plaquer son torse contre le mur, levant du plus haut qu'elle le pouvait son délicieux petit fessier. Même en pleine perte de ses moyens, Harry comprit l'invitation. La petite rousse avait finalement à peine eut le temps de se retourner que le gland de son amant se pressait déjà contre son puit secret. La nouvelle pénétration ne se fit pas plus tendrement que la première. Ginny en hurla de douleur mais ne fit pas le moindre mouvement de recul. Au contraire, elle fut la première à se mettre en mouvement dans un rythme toujours aussi violent.

Hermione avait du mal à en croire ses yeux. Malgré les images et ses propres sens enflammés, elle avait du mal à imaginer que Harry et Ginny aient réellement connu une telle étreinte. Elle savait bien que l'un comme l'autre n'avaient rien contre l'amour vraiment physique mais ils étaient tous les deux des passionnés et non pas les brutes qui s'acharnaient à obtenir leur plaisir qu'elle regardait depuis plusieurs minutes déjà. Elle tourna la tête. Ginny n'arrivait apparemment pas à détacher son regard du souvenir. Hermione se demanda même si la petite rousse savait toujours qu'elle était en train de la masturber, non sans une certaine vigueur peu coutumière. Mais cela étant loin de lui déplaire, Hermione se replongea dans la suite du souvenir.

Harry et Ginny étaient complètement dingues. Il était difficile de savoir s'ils goûtaient vraiment au plaisir de la chair ou s'ils cherchaient à se renverser l'un l'autre à grands coups de bassins, ce qui n'aurait pu arriver, Harry s'accrochant fermement à la petite poitrine de la jeune rousse. C'était autant un acte d'amour que pouvait l'être un duel à mort. Ginny fut la première à se rendre. Harry avait amené une main sur son bel abricot et s'affairait à effectuer des vas et viens de ses doigts aussi rapides et vigoureux que ses coups de reins. Juste avant de se laisser submergé par l'orgasme La petite rousse se contracta et resserra son étreinte autour du pieu de chair de Harry sans pour autant diminuer de rythme. Ginny poussa alors un dernier râle et eut la présence d'esprit de s'accrocher à un lavabo, ne pouvant plus compter sur ses seules jambes pour se tenir debout. Harry ne fit pas plus de deux ou trois mouvements supplémentaires avant de se libérer enfin dans le dos de sa partenaire. Il se retira, pantelant, et se laissa choir sur le sol. Il s'y allongea, les bras en croix, essayant de reprendre sa respiration. Pendant un court instant, il sembla que la scène était figée. Mais Ginny reprit vraiment conscience de l'instant. Son visage exprima toute la stupeur puis le désespoir qu'elle ressentit en réalisant ce qu'il venait de se passer. Elle regarda Harry. Il était parterre, les yeux fermés, cherchant encore à contrôler sa respiration. Rapidement, elle enfila sa jupe et son chemisier qu'elle ne prit pas la peine de fermer complètement, ramassa ses affaires en vitesse et se précipita au dehors. Tandis que dans le halo le visage de Ginny était plein de larme, la voix de Harry retentit derrière elle.

« Gi... Ginny... Attends... ! »

Mais elle ne s'arrêta pas. Le souvenir disparut. Dans le lit, Les deux filles se regardèrent sans se séparer pour autant.

« Merci, fit la petite rousse. Je ne me souviens plus de ce qu'il s'est vraiment passé là-bas, mais grâce à toi j'en garderai au moins une image. »

Ginny roula sur le côté et se retrouva allongée sur Hermione qu'elle embrassa passionnément. La belle brune répondit sans tarder à ce baiser tandis que leurs mains continuaient leur douce agitation. En peu de temps, étroitement enlacées, elles étouffèrent chacune un cri de plaisir dans le cou de l'autre. Ginny se laissa retomber sur le côté, faisant face, souriante, au visage ravi d'Hermione.

« Quelle soirée ! Fit la Brune

_ Oui. J'aurai aimé m'en souvenir un peu plus mais tant pis. Ce n'est déjà pas si mal.

_ Il aurait fallu utilisé un sortilège de protection des souvenirs. Ce n'est pas toujours efficace contre les sorts d'amnésie mais contre le charme des vélanes. Enfin, à moi, elles ne m'auront rien fait ou... »

Hermione s'interrompit soudainement. La petite rousse haussa les sourcils.

« Ou quoi ? Oublier ?

_ Euh... oui. Je suis fatiguée, je dis des choses un peu sans aucun sens ne t'inquiète pas.

_ Mais... ça ne veut rien dire. Pourquoi as-tu dit « à moi » ?

_ Ben... euh... justement parce que je ne les ai pas croisé. Oui ça ne veut rien dire. Il faut que je me repose. Je n'ai plus les idées claires.

_ Bon. Je suis trop nerveuse pour dormir tout de suite, je peux regarder ton livre d'arithmancie, ça a l'air intéressant.

_ Oui oui ! Si tu veux. »

La jolie brune se retourna vivement et ne bougea plus.

Ginny récupéra les livres et le parchemin que son amie avait repoussé plus tôt, lors de leur ébat. C'était horriblement compliqué et sans les calculs qu'Hermione avait effectué auparavant, La petite rousse savait bien qu'elle n'y aurait rien compris. Lorsque la respiration de la brune se fit plus lente et plus paisible, Ginny comprit qu'elle dormait vraiment et se mit vraiment au travail. En suivant rigoureusement ce qu'avait fait Hermione, elle réussit à déterminer une formule. Espérant qu'elle ne s'était pas trompée, Ginny posa délicatement le bout de sa baguette magique sur la tempe d'Hermione. Elle en extirpa un petit filament blanc. Jusque là, tout allait bien. Elle répéta ensuite la formule pour entortiller le filament autour de la baguette puis celle pour lancer le halo. Les crépitements ne réveillèrent heureusement pas Hermione. La petite rousse regarda avec attention.

Sans vouloir se vanter, elle avait été aussi précise qu'Hermione dans ses calculs. Peut être même un peu mieux. Le souvenir commençait précisément au moment où elle-même partait faire sa toilette. Hermione s'occupait de finir d'essuyer le chocolat chaud qu'elle avait renversé un peu plus tôt (et qui justifiait d'autant plus son passage aux douches), tandis que Fred et Georges éteignaient le feu et que son père et Ron rangeait un peu le matériel. Sur le moment elle ne s'en était pas rendue compte mais il était maintenant évident qu'elle aurait dû se demander où était Harry. A peine sa chevelure écarlate quittait-elle le champ de vision d'Hermione que cette dernière tourna vivement la tête vers la forêt. On y entendait des cris lointain. Des cris que désormais Ginny connaissait bien. Son père s'en alarma le premier.

« Ohlala ! Les vélanes ont l'air furieuses ! Même si je ne suis pas de service, je ferai bien d'aller au moins le signaler à un responsable. Restez sous les tentes, on ne sait jamais. »

Mr Weasley s'en alla tandis que Hermione s'activa pour finir de ranger. Cela semblait la contrarier de voir les jumeaux et Ron rester plantés comme des piquets en regardant les arbres.

« Dépêchez-vous, vous avez entendu votre père.

_ Calme-toi Hermione, répondit Georges, il s'inquiète pour rien.

_ Pas sûre, on dirait qu'elles se rapprochent.

_ Non, elles crient plus fort, c'est tout, continua Fred. Elles ont dû être consignées dans le stade en attendant d'être calmées.

_ C'est idiot, fit Ron. Ils auraient dû se douter qu'elles s'énerveraient d'avantage. »

Mais les garçons se trompaient et ils furent estomaqués de voir les vélanes sortirent en courant des bois. Hermione, qui voyait des drapeaux et d'autres babioles aux couleurs irlandaises un peu partout, s'attendait au pire. Elle se remémora avoir lu quelque part la formule du charme du bouclier et regretta amèrement de ne pas l'avoir apprise. Les vélanes se rassemblèrent. De toute évidence, elles préparaient un sort de groupe. Incapable de vraiment réfléchir, Hermione se souvint juste d'un passage d'un livre sur les créatures magiques qu'elle avait lu l'année dernière en complément des cours de Remus Lupin. Ce passage disait que les sorts des vélanes pouvaient s'attaquer à la mémoire. Aussi, Hermione ne trouva rien de mieux que de se lancer un sort de protection des souvenirs au moment ou une vague brumeuse et rougeoyante s'abattait sur les Weasley et elle.

Sans attendre, les vélanes repartirent dans la direction du camp irlandais, ce qui les amènerait à croiser un certain bloc sanitaire. Hermione restait debout sans rien dire. Ses joues s'empourpraient. Ginny savait bien ce que cela signifiait. Elle-même sentit son désir renaître encore une fois. Les trois Weasley restant se tournèrent vers elle avec des yeux fous. Ils voulurent se jeter sur la jeune fille mais sans pour autant vouloir la laisser aux autres. Il s'en suivit une bagarre aussi courte qu'acharnée et les trois frères passèrent à travers l'ouverture de la tente en se chamaillant dans le plus grand désordre. Mais Ginny savait aussi que dans son état, Hermione n'allait pas attendre que l'un d'eux l'emporte. La belle lui donna immédiatement raison en s'engouffrant à son tour dans la tente.

Elle vit les trois rouquins se débattant les uns avec les autres et enleva son chemisier sans plus tarder. Aussitôt, les garçons cessèrent leur querelle. Ils avaient mieux à penser désormais. Hermione, au grand amusement de Ginny, se jeta littéralement sur les garçons qui la recueillirent de leurs mains empressées. Très vite, la jolie brune se retrouva entièrement nue, sans avoir pu faire le moindre geste. Les garçons retirèrent leurs pantalons avec difficultés, ils en oubliaient de les ouvrir. Même Hermione ne pensa pas à ce détail tout en tirant comme une diablesse pour les faire descendre. Fred fut le premier à être libéré et fit monter la belle sur ses hanches. Hermione n'attendit pas pour se mettre à ruer dans une chevauchée des plus athlétiques. Elle ne ralentit pas le moins du monde lorsque Georges écarta ses magnifiques petites fesses rondes pour y infiltrer son membre palpitant. Hermione ne fit presque pas attention au pieu de chair qui s'invita dans son puit secret. Elle s'abaissa dessus comme s'il était là depuis le début. Ron enfin se débarrassa des vêtements qui l'encombraient et investit immédiatement la délicieuse bouche de la jeune fille.

Bien qu'elle fut gênée de voir ses frères en pleine action, Ginny était très excitée d'observer Hermione être prise de partout et, cependant, ne pas être en reste pour augmenter la cadence déjà rapide de leur petit groupe. La petite rousse laissa ses doigts retrouver son intimité à nouveau pleine de désir. Tout comme Harry et elle quelques instants plus tôt, chacun dans le quatuor du souvenir s'acharnait à s'activer le plus rapidement possible, recherchant avant tout son plaisir personnel, sans se préoccuper vraiment de son partenaire en dehors de sa seule utilité charnelle.

Les garçons s'activaient de toutes leurs forces sur la pauvre Hermione, du moins elle eut été « pauvre » si elle ne donnait pas l'impression d'aller encore deux fois plus vite qu'eux. Son corps se contracta soudain et elle émit un grognement qui ne demandait qu'à être un cri s'il n'avait pas été étouffé par le membre de Ron. Elle ne bougea plus pendant quels secondes, ce qui ne sembla aucunement gêner les garçons, reprenant conscience. Ginny se demanda ce qui allait se passer lorsque la belle réaliserait qu'elle était prise par ses trois frères qui n'avaient absolument pas l'intention de la laisser filer. Mais la réflexion fut brève et Hermione en prit son parti. Avec autant de fougue que lorsque le charme agissait encore, elle profita à nouveau des trois sexes dressés pour elle. Ginny n'en revenait pas de voir la jolie brune aussi fougueuse qu'auparavant. D'autant plus que ses frères ne lui laissaient pas beaucoup de liberté d'action. Ron s'agrippait à ses cheveux, l'empêchant de trop retirer sa tête, Fred malaxait ses seins avec rudesse et Georges avait attrapé ses hanches et les maintenaient fermement. Mais cela n'empêchait pas la belle d'onduler avec ferveur. Avec une telle cadence, les trois garçons n'y tinrent bientôt plus. En quelques secondes, Hermione sentit sa gorge, son ventre et son petit cul de rêve être inondés de douces et chaleureuses rivières.

Ginny dut détourner le regard un instant pour mordre l'oreiller et étouffer un autre cri de jouissance. Lorsqu'elle reporta son attention sur le souvenir, ses frères, l'air hagard, roulèrent sur le sol, ne comprenant apparemment pas encore ce qu'il venait de se passer. Ainsi, ils libérèrent Hermione qui se précipita sur ses affaires. Elle en sortit sa baguette et cria :

« Stupéfix ! »

Un à un, elle stupéfia les garçons avant qu'ils ne reprennent leurs esprits. Puis elle se rhabilla. Elle jeta un oeil dehors. Mr Weasley n'était pas encore de retour. Elle sortit de la tente et releva un pan de l'ouverture, juste ce qu'il fallait pour laisser passer sa baguette et sa main. Elle envoya le sort de réanimation aux trois garçons puis elle se dépêcha d'entrer sous sa propre tente. Le souvenir s'arrêta alors qu'elle prenait son pyjama.

Ginny eut un léger sourire en se demandant quelles têtes ses frères avaient bien pu faire en se retrouvant tous les trois nus, se souvenant vaguement d'avoir couché avec Hermione sans pouvoir en être sûrs. De toute façon, à cette heure-ci, ils ne devaient déjà plus se souvenir de rien. La petite rousse se pelotonna contre la douce chaleur de son amie et se laissa aller au sommeil, espérant que plus rien ne viendrait déranger leur nuit.

Histoire N°19 : L'armée du plaisir

Publié le mardi 3 février 2009

L'armée du plaisir

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année

Avec : Harry Potter, Hermione Granger, Ron Weasley, Ginny Weasley, Fred Weasley, George Weasley, Parvati Patil, Padma Patil, Cho Chang, Marietta Edgecombe, Neville Londubat, Michaël Corner, Alicia Spinnet, Angelina Johnson, Dean Thomas, Terry Boot, Anthony Goldstein, Lavande Brown, Justin Finch-Fletchey, Zacharias Smith, Susan Bones, Hannah Abbot, Ernie McMillian, Luna Lovegood, Katie Bell, Lee Jordan, Colin Crivey, Dennis Crivey.

Harry Potter était bien placé pour savoir qu'il était rare de se sentir vraiment heureux dans des périodes particulièrement terribles. Pourtant, malgré le retour de Voldemort, le ministère de la magie qui voulait le discréditer, Dolores Ombrage qui faisait tout son possible pour rendre Poudlard invivable et les BUSE qui approchaient, Harry devait admettre qu'il se sentait joyeux. Il continuait de mener l'AD au nez et à la barbe d'Ombrage, l'interview qu'il avait donné au Chicaneur avait énervé le professeur au plus haut point et lui avait permis de se réconcilier avec Cho et Seamus. Ce dernier ne s'était pas encore joint au club illégal mais Dean Thomas avait laissé entendre qu'il pourrait venir à la prochaine séance.

« Parfait ! S'exclama Harry. Je crois qu'on fera enfin les patronus. Je pense que ce sera utile. »

Harry accueillait les membres de l'AD, un peu à la manière d'un professeur pensa-t-il. Mais en vérité, la discrétion du groupe exigeait une surveillance du couloir du septième étage. Hermione était arrivée avec Ron et lui en premier. Assise sur un coussin, elle lisait l'un des livres de défenses contre les forces du mal en attendant que tout le monde arrive et que le « cours » commence. Ron, quant à lui, s'exerçait au sortilège d'entrave que tout le monde devait avoir parfaitement maîtrisé à la fin de la séance.

Harry vit arriver les jumeaux Weasley et leur ami Lee Jordan. Tous trois semblaient bien excités, du moins plus que d'habitude. Ils entourèrent Harry en arrivant à sa hauteur.

« Regarde ce qu'on a réussi à faire, s'exclama George en sortant une fiole contenant une sorte de fumée rose. Des mois qu'on est dessus.

_ Qu'est-ce que c'est ? Demanda Harry

_ Philtre d'amour, déclara Fred. Enfin un prototype. Il nous reste à trouver comment le rendre liquide. Sous forme de gaz ce n'est pas assez stable. Mais il est très puissant. Là-dedans, il y en a déjà pour plusieurs dizaines de personnes.

_ Je croyais que vous vous occupiez uniquement de farces et attrapes ? Pourquoi un philtre d'amour ?

_ Si on t'arrangeait un rendez-vous avec une femelle troll tu ne trouverai pas ça comique ? Demanda Lee Jordan la bouche en coeur.

_ Argh ! Je vous défend de vous approchez de moi à moins de 1OO mètres, fit Harry en riant. »

Les trois garçons entrèrent dans un fou rire.

Harry vit alors arriver Cho et son amie Marietta. Il salua poliment cette dernière avant que celle-ci ne lui fit un signe de tête approximatif et entre dans la salle. Cho la regardait tout en tirant Harry un peu à l'écart dans le couloir.

« Excuse-la Harry ! Elle est un peu bougon en ce moment. Je crois que quelque chose la tracasse mais elle ne me dit pas ce que c'est.

_ C'est pas grave. Je n'ai jamais eu l'impression qu'elle aimait prendre des leçons particulières de défense contre les forces du mal.

_ Elle est comme moi, elle préfère prendre des leçons TRES particulières. »

Dans un sourire, Cho se colla contre Harry qui était dos au mur et l'embrassa. Tout en savourant la langue de la jeune fille, Harry descendit ses mains sur le petit cul ferme de sa douce.

« D'ailleurs ça fait longtemps que je n'ai pas eu ce genre de leçon, fit Cho en écartant ses lèvres de celles de Harry, il me faudrait un cours sans plus tarder.

_ Je pense que j'aurai un peu de temps libre après l'AD. Mais c'est bien parce que tu insiste, répondit Harry en faisant glisser ses doigts sous la jupe puis sous la petite culotte de la jeune serdaigle. »

Il ne put apprécier très longtemps la chaire douce des petites fesses de Cho car ils entendirent bientôt des pas arrivés. Ils se séparèrent et Cho entra dans la salle tandis que Ginny, Michael Corner, Terry Boot et Anthony Goldstein tournaient au coin du couloir. Lorsqu'ils furent entrés, Ron passa la tête dans le couloir.

« Tout le monde est là Harry ! »

Harry entra et referma la porte derrière lui.

« Bien, aujourd'hui nous devons en finir avec le sort d'entrave. Les premiers essais étaient plutôt bons. Je pense que nous n'aurons pas trop de mal ce soir. Si tout va bien, nous pourrons passer aux patronus la prochaine fois.

_ Et pourquoi pas directement ce soir ? Intervint Zacharias Smith. C'est vrai, je ne vois pas ce qu'un sort d'entrave peut faire à un détraqueur. »

Harry était habitué au bougonnement de Smith et il n'y prêta pas attention. Même ses amis de serdaigle lui disait toujours de se taire. Harry vit Lee Jordan se pencher vers les jumeaux et il était sûr qu'il leur proposait d'organiser un tête à tête en amoureux entre Zacharias et une troll. Les membres de l'AD se levèrent et se répartirent par deux. Harry prit Neville avec lui, comme d'habitude. Toutefois ce dernier prenait les réunions de l'AD très à coeur et s'en sortait très bien. Harry confia Neville à Hermione et Ron pour aller voir comment se débrouillaient les autres. En passant à côté de Cho, il profita du fait que Marietta était face au sol, ses mouvements ralentis par le sort pour caresser discrètement la petite croupe rebondie de son amoureuse. Cho eut un gloussement de plaisir. Il passa ensuite près de Zacharias Smith qui en profita pour radoter à nouveau.

« Franchement on perd notre temps. Ce n'est pas un sort si compliqué et on y arrive tous bien. Pourquoi ne pas passer aux patronus ?

_ Parce qu'il vaut mieux une séance complète pour apprendre les patronus et il faut donc en avoir complètement fini avec l'entrave pour commencer, répondit Harry d'un ton froid.

_ Hé Smith ! S'exclama George. Tu sais qu'on va ouvrir un club de rencontre pour trolls bientôt. Tu ne voudrais pas en être le premier membre ?

_ Toi ce n'est pas la première fois que tu me cherches, rétorqua Smith. »

Il pointa sa baguette sur George et lança le sortilège d'entrave. Pris par surprise, George n'eut pas le temps de lancer le charme du bouclier et fut projeté en arrière, percutant Fred et Lee au passage. Harry vit distinctement une fiole rose jaillir d'une de leurs robes et se briser au sol. Le gaz se dilua très rapidement dans l'air.

« Oh non, gémit Fred.

_ Alors là tu peux être fier de toi crétin, fit Lee paniqué à Smith qui ne comprenait pas très bien ce qui se passait.

_ Harry il faut évacuer la salle, reprit Fred en libérant son frère du sortilège d'entrave.

_ OK. »

Harry s'élança vers la porte. Il fut suivi par Cho qui n'avait rien vu mais semblait inquiète.

« Harry ? Qu'est-ce qui se passe ? »

Mais Harry ne put pas atteindre la poignée. Il sentit la chaleur lui monter aux joues en songeant que Cho était juste derrière lui. Avant même de se retourner vers elle, il se sentit grandir dans son pantalon. Soudain il lui importait peu que tous les membres de l'AD inhalent un gaz de philtre d'amour. Il vit que Cho semblait très troublée. Sans dire un mot, elle lui sauta dans les bras et l'embrassa avec fougue. Harry la serra pour sentir sa poitrine contre lui. Il était conscient quelque part qu'il n'aurait pas fallut céder si facilement mais alors même qu'il pensait à s'arrêter, il glissa les mains sous la chemise de Cho pour tâter sa délicieuse poitrine. Harry jeta un coup d'oeil au reste de la pièce.

Les jumeaux Weasley semblaient s'intéresser de très près aux jumelles Patil qui déboutonnaient leurs jupes et les faisaient glisser sur leurs jambes. Un peu plus loin Hermione luttait en vain pour empêcher ses mains de caresser les bosses qui s'étaient formées sous les robes de Ron et Neville. Au milieu de la pièce, Angelina et Lavande remontaient chacune la jupe de l'autre pour que Dean, Terry, Anthony et Justin puissent voir leurs petites culottes mouler parfaitement leurs petites fesses. Le groupe imposant cachait heureusement Ginny à ses frères car elle embrassait lascivement Alicia tandis que Michael caressait les petits culs des charmantes demoiselles. Zacharias et Ernie avaient plaqué Hannah et Susan dos à dos et palpaient leurs seins à travers leurs robes tandis que les filles se caressaient l'une l'autre. Enfin il vit Luna déshabiller Katie avec sensualité, faisant profiter Lee, Colin et Dennis du spectacle tandis qu'ils dégageaient leurs membres de sous leurs robes.

Cho gémit entre les bras de Harry. Il baissa les yeux et s'aperçut que Marietta s'était agenouillée derrière celle-ci, avait remonté sa jupe et passait sa langue entre ses fesses. Cho enleva la robe de Harry et ouvrit son pantalon. Elle s'empara du pieu de chair et le masturba avec force. Harry voulut lui rendre la pareil et descendit une main vers l'entrejambe de son amoureuse mais la bouche de Marietta occupait déjà la place. Harry avait envie de rester fidèle à Cho, même dans ce moment de délire il en était conscient. Pourtant il prit son sexe et posa le gland contre les lèvres de Marietta qui s'ouvrirent et l'accueillirent alors même qu'elle n'avait jamais montré le moindre signe d'affection ni même d'intérêt envers Harry. Cho passa la jambe par dessus la tête de son amie. Elle en profita pour enlever sa robe et se presser toute nue contre le torse de Harry. Celui-ci n'essaya même pas de résister à l'envie qui le submergeait et se pencha pour goûter aux deux appétissants globes de chair.

Les jumeaux Weasley avaient assisté à l'incroyable strip-tease des jumelles Patil. Comme à leur habitude, quand elles étaient ensembles, les deux soeurs aimaient à se dévêtir l'une l'autre avec force caresses, se délectant des regards d'envie que ne manquaient jamais de leur jeter leurs spectateurs. Fred et George n'échappèrent pas à la règle bien que, grâce au philtre, les deux jeunes filles auraient pu se contenter de se donner la main pour les mettre dans le même état. Elles se laissèrent tomber sur les coussins et s'embrassèrent avec passion en se collant l'une à l'autre. Fred et George se déshabillèrent aussi vite qu'ils le pouvaient et se positionnèrent de chaque côté du charmant couple. Fred s'attaqua directement au temple de Vénus de Parvati qui s'avança sur le membre dur et George commença par le petit anneau de Padma qui poussa un gémissement étouffé par les lèvres de sa soeur.

Hermione s'était agenouillée devant Ron et Neville après qu'ils aient retiré leurs robes. Elle avait dégagé les deux membres gorgés de désirs impatients et s'appliquait à leur faire bénéficier de sa petite bouche à tous les deux en même temps. Mais Neville avait un membre des plus spectaculaires et Hermione avait des difficultés à satisfaire les deux garçons à la fois. Ne pouvant pas attendre que la jeune fille trouve une solution, Ron se positionna rapidement derrière elle et lui enleva sa robe par le bas. Il retira vivement la petite culotte avant de présenter son dard à l'entrée du trésor le plus précieux de sa camarade. Il aurait voulu être un peu plus doux et attentionné mais une étrange volonté lui fit pénétrer l'intimité d'Hermione avec force, s'enfonçant en elle jusqu'à la garde en un seul coup de rein. Mais tandis qu'il faisait de vigoureux mouvements de va et viens, la jeune fille se mit à aller au devant de ses coups de boutoir dans des mouvements déchaînés, faisant également profité du rythme au membre de Neville.

Au centre de la pièce, Angelina et Lavande étaient maintenant occupées à se caresser le sexe l'une l'autre tout en s'assurant que les quatre garçons profitaient bien du spectacle. Dean, Anthony, Terry et Justin étaient surchauffés et ils quittèrent leurs vêtements avec une rapidité presque surhumaine. Dean, fut le premier à se jeter sur les deux jeunes filles. Il résista difficilement à l'envie de pénétrer directement le petit cul de Lavande qu'il n'avait pas quitté des yeux depuis le début. Mais il ne voulait pas non plus séparer tout de suite les deux filles aux corps superbes. Il se coucha sur le sol et fit venir Lavande sur lui. Il la fit s'asseoir dos à lui, pénétrant le petit anus sans ménagement. Puis elle s'allongea sur lui, le dos contre son torse, révélant tout son côté face à Angelina. Même en temps normal, la jeune noire n'aurait pu résister à une telle offrande du petit corps de Lavande gémissante sous l'effet du pieu de chair entre ses fesses. Angelina s'agenouilla entre les cuisses des deux amants et savoura le doux coquillage de Lavande tout en caressant du bout des doigts les bourses de Dean. Les autres garçons s'étaient jusqu'alors contentés de regarder la scène. Mais ils ne pouvaient plus résister en voyant le corps de Lavande frémir sous les assauts conjoints d'Angelina et Dean. Anthony vint se placer au dessus du visage de Lavande et s'enfonça entre ses lèvres. Justin préféra se mettre à genoux au dessus du couple et faire coulisser à sa guise son dard entre les deux superbes seins de la jeune fille. Terry avait également très envie d'une belle et tendre petite poitrine. Il fit retourner Angelina sur le dos qui, pour continuer de boire à la plus belle de toutes les sources, pencha la tête vers l'arrière. Terry se positionna entre ses cuisses et pénétra l'intimité de la jeune noire tout en avançant sa bouche vers les seins sublimes de celle-ci.

Ginny semblait ronronner de plaisir sous les caresses simultanées de Michael et Alicia. Ceux-ci dévêtaient la petite rousse en lui caressant tout le corps de leurs mains et leurs langues. Lorsqu'elle fut entièrement nue, Michael s'allongea sur le sol et fit venir son amoureuse sur lui en tête bêche pour savourer son délicieux petit abricot. Ginny releva la robe de son amant et s'empara avec voracité du membre dressé. Pendant de temps, Alicia s'était également déshabillée. Elle attrapa sa baguette magique et prononça une formule. La baguette se transforma alors en gode double qu'elle s'empressa de torde à un angle relativement droit. Alicia fit pénétrer l'une des extrémités dans son beau coquillage en poussant un gémissement de plaisir puis elle s'approcha du couple. Elle s'empara des petites fesses de Ginny et les écarta brusquement pour faire apparaître le petit anneau. Elle posa l'autre extrémité du gode sur l'anus et le pressa avec force. Alicia sentit bien que la petite rousse était très serrée et qu'elle devait la pénétrer en douceur. Mais pour une raison qui lui échappa complètement, elle donna un grand coup de rein en avant et enfonça tout la longueur du membre factice en une seule fois sous un cri de douleur de Ginny. Une volonté inconnue s'était emparée d'elle et Alicia allait et venait dans le petit cul avec beaucoup de vigueur.

Susan et Hannah s'étaient déshabillées et se faisaient maintenant face pour s'embrasser langoureusement. Ernie et Zacharias se trouvaient chacun derrière l'une d'elles. Zacharias pénétrait Hannah sans ménagement tout en pétrissant les fesses de Susan dont Ernie, qui s'était agenouillé, agaçait délicieusement le bouton d'amour avec sa langue. Surpris par sa propre audace, Ernie se releva soudain, s'empara des hanches de Susan et s'introduisit brutalement dans son petit anneau. Cette dernière essaya de se pencher pour que la pénétration soit plus facile. Hannah s'écarta alors tandis que Zacharias fit descendre la bouche de Susan jusqu'à son membre dressé. Tandis que son amie appréciait les deux pieux de chaire, Hannah se glissa sous le corps courbé de celle-ci et alla poser ses lèves sur l'intimité esseulée.

Lee, Colin et Dennis étaient comme tous les autres. Ils n'auraient jamais imaginé que Luna Lovegood puisse posséder un corps aussi magnifique. Ils n'arrivaient pas à en détourner les yeux tandis que Katie l'effeuillait à son tour avec sensualité. Lorsqu'elle se retrouva enfin nue, Colin et Dennis l'entraînèrent immédiatement au sol. Dennis se retrouva dos à terre et se fit chevaucher par Luna, toute aussi impatiente que les garçons. Elle se pencha en avant et ses superbes seins effleurèrent les lèvres de son petit amant qui referma aussitôt la bouche sur l'un d'eux. Colin s'agenouilla derrière le couple, s'accrocha sans tarder à la taille fine de Luna et pénétra le puit secret de la jeune fille d'un coup sec. Elle poussa un cri très vite arrêté par le membre de Lee qui s'engouffra sans ménagement entre ses lèvres. Katie passa une jambe au dessus du groupe et se retrouva entre les têtes de Colin et Lee qui avancèrent aussitôt leurs langues. Colin savoura le délicieux temple de Vénus tandis que Lee se délectait du petit anneau. La jeune fille gémissait de plaisir et poussait sur leurs têtes pour qu'ils aillent en elle plus profondément encore.

Harry avait eut un air dépité lorsque la poitrine de Cho avait quitté ses lèvres. Mais cette dernière était descendue rejoindre son amie Marietta et toutes deux semblaient beaucoup s'amuser à entremêler leurs langues sur le sexe gonflé de Harry. A un moment, Marietta appuya sur la tête de Cho, forçant cette dernière agenouillée à poser sa poitrine contre le sol. Marietta prit le petit cul de son amie à deux mains et écarta ses jolies fesses pour révéler le petit anneau. Harry ne se fit pas prier pour accepter l'invitation. Il s'agenouilla au dessus de la taille de Cho et s'enfonça brutalement dans son dos. Marietta semblait très intéressée de voir son amie gémir de plaisir et de douleur sous la vigueur de Harry. Elle s'approcha d'eux et introduisit trois doigts dans l'intimité de Cho tandis que ses lèvres rencontrèrent celles de Harry. Celui-ci lui ouvrit son chemisier et se mit à masser les seins de la fille sans arrêter de sodomiser Cho.

Parvati et Padma se démenaient sur les membres de Fred et Georges tout en se caressant. Fred éjacula finalement dans le ventre de Parvati. Ne se sentant pas du tout fatigué, il alla se mettre devant les visages des jeunes filles et leur présenta son pieu de chair que les jumelles nettoyèrent consciencieusement. Padma en voulait plus. Laissant sa soeur seule sur le dard, elle se retourna, sans lâcher le sexe de Georges, pour aller retrouver la semence de Fred dans les profondeurs de l'intimité de sa soeur. Elle n'eut pas à attendre longtemps pour être satisfaite. Elle remonta alors le sillon du petit cul de sa jumelle pour poser sa langue sur le petit anneau. Parvati n'y tint plus. Elle se crispa et déversa une grande quantité de jus de plaisir sur les seins de sa soeur. Padma tourna la tête vers Georges et lui lança un regard coquin qui l'invitait à comparer le petit cul de sa jumelle au sien. Le garçon s'exécuta immédiatement et se retira de l'une des soeurs pour aller pénétrer l'autre. Délaissée, Padma s'allongea sur le dos et se caressa tout en observant sa jumelle savourer les deux membres fichés dans son cul et sa bouche. Elle aimait voir sa soeur ainsi possédée et elle sentit bientôt le plaisir grandir sous ses doigts. Georges remarqua alors que la jeune fille état seule. Il libéra les lèvres de Parvati pour aller s'allonger sur Padma et pénétrer son intimité avec vigueur pour la plus grand joie de celle-ci.

Ron se retenait à grande peine de jouir sous la cadence démente des reins d'Hermione. Accroché à ses petits seins ronds, le jeune homme se sentait venir peu à peu. Un éclair lui traversa le dos et il se répandit dans le ventre de sa camarade qui en gémit de plaisir. Ron et Hermione étaient un peu essoufflés de leur premier orgasme. Mais Neville n'avait pas envie d'attendre. Il releva Hermione puis descendit ses mains sur ses petites fesses avant d'arriver sous ses cuisses. Il la souleva alors et laissa la jeune fille redescendre d'un seul coup sur son vît impressionnant. Hermione poussa un cri sous le choc mais, très vite, elle s'accrocha aux épaules de Neville et l'aida à augmenter la cadence de ses assauts. Ron, qui était resté à genoux, regardait abasourdit le puit secret de son amie se trémousser juste sous son nez. Il ne put résister à y enfoncer un doigt qui suivait la cadence vigoureuse du couple. Il laissa sa langue glisser sur les rondeurs du petit cul de la jeune fille qui en frémissait d'envie. Sans plus attendre, Ron se releva et attrapa la taille svelte d'Hermione. Il profita que sa camarade s'abaissait à nouveau pour entrer dans son petit anneau avec force. Un nouveau cri d'Hermione accompagna le geste mais la jeune fille ne ralentit pas pour autant ses mouvements sur les deux membres.

Angelina venait de recevoir tout le jus de plaisir de Lavande dans la bouche et s'en délectait. Elle se redressa un peu et fit basculer Terry sur le dos pour le chevaucher. Elle jetait des regards sans équivoque à Anthony qui libéra la bouche de Lavande pour la rejoindre. Il s'agenouilla derrière la jeune noire qui écarta ses sublimes petites fesses pour lui présenter son petit anus. Mais Anthony n'avait pas la même idée. Il posa son membre contre celui de Terry et vint rejoindre son camarade dans le temple de vénus. Angelina poussa un petit cri de surprise mais ne fut finalement pas mécontente et se mit à ruer de plus belle sur les deux pieux de chair bien serrés dans son doux écrin. Pendant ce temps, Dean et Justin, relevèrent Lavande. La jeune fille ne semblait plus vouloir faire le moindre mouvement et laissait les garçons s'occuper d'elle à leur guise, ce qui leur convenait on ne peut mieux. Dean s'allongea à nouveau sur le sol, perpendiculaire au trio Angelina-Terry-Anthony. Il fit venir Lavande sur lui et celle-ci le chevaucha avec grand plaisir. Elle se retrouva très près du joli petit derrière de la jeune noire et surtout, du puit secret délaissé. Aussitôt, elle posa sa tête sur les deux tendres coussins de chair et laissa sa langue jouer à l'intérieur du petit anneau. Angelina en aurait poussé un gémissement de plaisir si Justin n'avait pas remarqué que seule la bouche de la jeune noire n'était pas occupée et qu'il en ait profité pour y enfoncer son dard.

Alicia était ruisselante de sueur tant elle était fatiguée de marteler avec force l'arrière train de Ginny. Elle était inquiète d'éprouver un plaisir certain à malmener ainsi la petite rousse tandis que sa raison lui disait de se calmer. Mais toute volonté semblait avoir quitté son corps enfiévré. Ginny quant à elle avait finalement réussi à éprouver du plaisir dans cette étreinte après avoir longuement subit la douleur d'une si vive pénétration. Elle aussi s'inquiétait de son manque de réaction sur le moment. Mais après avoir crié sa surprenante douleur, elle s'était remis à se délecter du membre de Michael comme si de rien n'était. La langue de son amoureux et les coups de boutoir d'Alicia finirent par l'amener à la jouissance et son nectar intime abreuva longuement la bouche de Michael. Elle se redressa et s'agenouilla face à Alicia qui avait l'air à la fois gênée de ce qu'elle lui avait fait et toujours excitée par ce qu'elle aimerait encore lui faire. Ginny prit les choses en main et se colla contre la jeune fille pour l'embrasser avec passion. Les mains des filles se mêlèrent sur le gode pour l'amener vers le joli coquillage écarlate. La petite rousse s'empala sur le membre factice. Alicia la serra contre elle, la cajolant pour se faire pardonner de ses assauts. Michael se glissa derrière cette dernière et attrapa ses hanches. Il approcha son dard entre les fesses d'Alicia mais les deux jeunes filles gigotaient tellement sur le gode qu'il n'eut rien à faire pour se retrouver au plus profond du joli petit cul. Alicia ne poussa pas le moindre gémissement tant ses lèvres étaient occupées à savourer celles de Ginny.

Susan se laissait aller sur les deux membres en elle. Ernie tirait ses bras en arrière pour pénétrer profondément son petit cul tandis que Zacharias appuyait sur sa tête. Il arrivait que les deux garçons ne soient plus coordonnés et Susan devait se débattre pour les remettre au bon rythme. Hannah savourait toujours le trésor le plus précieux de sa camarade lorsque le sexe d'Ernie se libéra soudainement du dos de Susan pour lui éjaculer sur les seins et le visage. Elle s'empara alors du membre pour le nettoyer complètement tandis que sa camarade recevait à son tour le plaisir de Zacharias dans la bouche. Susan s'écroula sur des coussins à côté, épuisée par son trio. Ernie qui la vit étendue ne résista pas à l'envie de la rejoindre. En se libérant de Hannah, quelques gouttes de sa semence tombèrent au sol. La jeune fille se précipita pour les avaler alors qu'elle savait qu'en temps normal, elle n'aurait jamais fait ça. Zacharias la regarda se pencher au sol, soulevant légèrement ses petites fesses attrayantes. Le garçon n'essaya même pas de résister et se précipita sur Hannah. Celle-ci ne bougea même pas lorsque le membre s'enfonça d'un seul coup en elle. Elle se contenta de tourner la tête pour regarder Susan se faire vigoureusement prendre par Ernie.

Lee, Colin et Dennis éjaculèrent presque simultanément dans la gorge, le dos et le ventre de Luna qui, sentant la chaleur des semences s'emmêler en elle, se laissa également aller à la jouissance. Tandis que la jeune blonde laissait avec plaisir les garçons s'épancher en elle, Katie passa derrière le groupe et fit signe à Colin de se pousser. Elle fit se renverser Luna dos au sol et se pencha sur le trésor intime de cette dernière encore tout ruisselant. Tout le monde savait que Katie avait un véritable don dans l'art de donner du plaisir aux autres et quiconque aurait entendu les cris de jouissance de Luna à ce moment-là n'aurait pu que l'admettre. Très vite, les doigts et la langue de la jeune gryffondor amenèrent la jeune serdaigle à un nouvel orgasme. Lee, Colin et Dennis étaient plus excités que jamais devant les deux filles enfiévrées. Les frères Crivey présentèrent leurs pieux de chair devant la bouche de Luna qui ne renacla pas à les prendre tous les deux entre ses lèvres. Lee se plaça derrière Katie et pénétra son intimité sans plus attendre, s'accrochant aux seins de la jeune fille pour aller en elle avec vigueur.

Harry venait d'éjaculer dans le petit cul de Cho et Marietta s'occupait à lui redonner de la vigueur avec sa bouche lorsqu'il se sentit un peu étourdi. Il lui semblait que son esprit redevenait plus clair et que la chaleur de son corps diminuait d'un coup. Il regarda Marietta qui semblait étonnée puis, soudain, se libéra de Harry en poussant un cri de dépit. A moitié déshabillée, elle se précipita hors de la salle. Harry jeta un regard sur les autres. Les jumeaux Weasley et les jumelles Patil semblaient totalement désorientés. Les filles se rhabillèrent précipitamment tandis que Fred et Georges regardaient la fiole qui avait contenu leur philtre. Hermione qui était en sandwich entre Neville et Ron essayait de se sortir des bras des garçons abasourdis. Neville catastrophé se jeta sur ses vêtements en bredouillant des excuses. Ron tenait toujours Hermione dans ses bras lorsque soudain, son visage s'éclaira et il lâcha la jeune fille comme si elle était devenue électrifiée. Angelina se dégagea des garçons qui l'entouraient d'un air hagard. Ce ne fut que lorsque Lavande n'eut plus les petites fesses de la jeune noire devant les yeux qu'elle s'arrêta à son tour, étonnée de chevaucher Dean qui, sagement, avait préféré attendre qu'elle stoppe d'elle-même. Alicia était toute seule et cherchait ses vêtements tout en redonnant à sa baguette son aspect normal. Ginny s'était apparemment rapidement éclipsée avec Michael avant que ses frères ne se rendent compte qu'elle était aussi présente. Susan et Hannah avaient violemment repoussé Ernie et Zacharias qui se retrouvaient nus au sol sans comprendre ce qui leur était arrivé. Lee, Colin et Dennis s'étaient relevés et se rhabillaient rapidement en silence tandis que Katie avait passé une cape autour de Luna et elle, la jeune serdaigle ayant apparemment très peu envie de la laisser partir tout de suite.

« Euh... Harry ? Tu pourrais me lâcher maintenant ? »

La petite voix que Harry entendit derrière son dos le ramena à la réalité. Il tenait toujours les petites fesses de Cho dans ses mains et son corps immobilisait la jeune fille dans une position peu confortable. Il essaya de se relever mais il se prit les pieds dans son pantalon et s'affala sur le sol. Cho put néanmoins atteindre ses vêtements et se rhabiller. Rapidement, la salle se vida. La plupart s'en allait en disant faiblement un simple « à la prochaine ! ». D'autres jetaient des regards furieux aux jumeaux Weasley et certains, très rares, avaient un petit sourire en coin.

« Je crois que c'est tout de même un peu trop puissant, fit Fred dépité en passant devant Harry.

_ Oui, répondit George l'air ailleurs. Euh... Harry... très bien le cours. Je... enfin... à la semaine prochaine. »

Hermione et Ron quittèrent la salle en essayant de ne pas se regarder l'un l'autre. Les soeurs Patil et Lavande riaient doucement de l'aventure en franchissant la porte. A chacun Harry essayait de dire un mot.

« Euh... revenez la semaine prochaine... on fera les patronus... c'est promis... »

Lorsque la salle sur demande fut vide, Cho s'approcha de Harry dans son dos.

« Tu... enfin... tu as fait de moi ce que tu voulais ce soir. C'était...

_ Non ! S'exclama Harry. Je crois qu'il vaut mieux qu'on ne parle plus de ça.

_ Non Harry, tu ne comprends pas. J'ai bien aimé moi. »

Harry se tourna vers elle, interloqué.

« Je trouve même dommage que la séance se soit arrêtée si brusquement. Il me faudrait sûrement une leçon particulière pour m'aider à progresser. Une leçon TRES particulière. »

En pensant qu'il devait finalement avoir un ange gardien, Harry referma la porte de la salle en souriant à Cho qui déboutonnait déjà le haut de son chemisier.

Histoire N°13 : Mon cher ennemi

Publié le mardi 3 février 2009

Mon cher ennemi

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année.

Avec : Harry Potter et Drago Malefoy

    Jamais les couloirs du château ne lui avait parus si angoissants. Pourtant sa récente victoire contre un dragon aurait suffit à tout autre garçon de se sentir beaucoup plus en confiance. Mais Harry devait déjà affronter une nouvelle épreuve : Trouver une cavalière pour le bal. Et ce n’était pas une mince affaire. L’approche du bal et son regain de popularité à travers l’école l’amenait à être souvent assaillit par une horde de filles. Mais s’il en trouvait parmi elles qui aient pu l’accompagner, il ne pouvait jamais leur en parler seul à seul. Et même lors, il lui restait un tout autre problème à résoudre. Cho Chang était-elle encore libre ? Accepterait-elle de venir avec lui ?

    Harry arpentait les couloirs du château en ayant le faible espoir de pouvoir enfin rencontrer Cho toute seule. Mais pour éviter de nombreuses autres rencontres indésirables, il était forcé d’emprunter les passages les moins fréquentés, voir secrets, ce qui, il le savait bien, réduisait considérablement ses chances de tomber sur Cho. C’est dans l’un des couloirs secondaires qu’il faillit tomber nez à nez avec Crabbe et Goyle. Les apercevant à la dernière minute, Harry fit un pas en arrière pour se cacher derrière l’angle du mur. Il trouvait leur comportement curieux. Drago n’était pas avec eux et ils semblaient attendre bêtement devant une porte. Harry se doutait bien que Malefoy devait être à l’intérieur et il se demandait ce qu’il pouvait bien mijoter.

    Pris par la curiosité, Harry se mit à réfléchir au moyen de chasser Crabbe et Goyle. Il aperçut un grand vase ancien sur un piédestal à l’autre bout du couloir. Il sortit sa baguette et lança à voix basse :

« Accio vase ! »

L’ornement pris aussitôt son envol et se dirigea vers Harry en traversant le couloir. Crabbe et Goyle l’aperçurent et le regardèrent avec un hébètement qu’une statue même n’aurait pu reproduire. Arrivé à mi-chemin, juste devant les deux serpentards, Harry relâcha le sortilège et le vase s’écrasa sur le sol avec grands fracas.

    Harry alla vivement se cacher derrière une statue d’où il pourrait voir toute la scène. D’après les visages des deux acolytes, même eux savaient ce qui allait arriver. Et Harry ne comprit pas pourquoi ils ne prenaient pas leurs jambes à leurs cous. De toute évidence, Crabbe et Goyle étaient devant un grand dilemme et ils ne parvenaient pas à se décider. Harry entendit la cavalcade habituelle qui accompagnait l’arrivée de Rusard. Précédé par Miss Teigne, le concierge arriva essoufflé devant les deux serpentards terrifiés.

« Alors comme ça on s’amuse à détruire la décoration du château. Avez-vous idée du temps qu’il me faudra pour recoller correctement tout ça ? D’ailleurs je ne vois pas pourquoi ce serait à moi de le faire. Ramassez ça et suivez-moi. Vous allez voir !

_ Mais ce n’est pas nous, fit Crabbe avec sur le visage une expression de réflexion intense et paniquée. Le vase flottait tout seul. C’est… c’est surement Peeves qui la cassé.

_ Menteurs en plus. Je pourchassais Peeves vers l’étage inférieur quand je vous ait entendu. Maintenant faites ce que je vous dis. »

Les deux serpentards ne discutèrent plus et ramassèrent les morceaux du vase avant d’emboiter le pas au concierge. Harry attendit qu’ils aient disparu pour sortir de sa cachette et se diriger vers la porte. Son plan avait faillit échouer. Il n’avait pas attendu une pareille présence d’esprit de la part de Crabbe et Goyle.

    Soulagé de leur départ, Harry regarda par le trou de la serrure. Il voyait bien des ombres bouger mais cela ne lui révélait rien. Avec précaution, il poussa légèrement la porte et jeta un œil par l’entrebâillement. Malefoy se tenait debout devant Pansy Parkinson complètement nue et à genoux. Mais ce qui attira le plus l’attention d’Harry était la multitude d’ustensiles sur le sol qui, entre les fouets et les godes, ne laissaient pas vraiment de doutes sur les relations des deux jeunes serpentards. Malefoy ricanait.

« Tu t’es vraiment bien débrouillée Pansy ! Je pense que tu seras parmi mes favorites lorsque je ferai le choix de ma cavalière pour le bal. Je verrai bien si les prochaines sont aussi douées. »

La jeune fille eut un regard boudeur indiquant clairement qu’elle n’appréciait pas d’avoir encore de la concurrence. Elle s’approcha à quatre pattes de Malefoy et se mit à lécher doucement la verge vaincue qui dépassait du pantalon. Toutefois elle eut beau se démener, Harry voyait bien que le membre ne durcissait pas. Il savait que Drago n’était jamais excité à moins qu’il n’use de violence sur ses partenaires. Et bien qu’elle en eut déjà fait les frais, Pansy s’y prenait très mal. Elle s’activait de plus en plus vigoureusement sur le sexe qui ne grandissait pas tandis que Malefoy la regardait d’un air condescendant.

« Tu es vraiment une salope, lâcha-t-il. Tu es prête à tout pour que je t’emmène à ce bal. Pour que tu t’affiches à côté de moi, à côté d’un membre d’une famille aussi prestigieuse. Mais tu te crois digne de moi ? »

    Malefoy gifla la jeune fille qui tomba à la renverse et se cogna durement le dos contre le sol. Harry s’aperçut que le visage de Pansy s’était involontairement tourné vers la porte et il recula vivement, espérant qu’elle ne l’avait pas vu. Il tendit l’oreille mais la jeune fille ne dit pas un mot tandis que Drago lui ordonnait sèchement de se rhabiller. Il se risqua de nouveau à regarder et vit qu’elle obéissait, tête baissée. Harry fut soulagé mais il était à peine rassuré que, soudain, Pansy fit un grand pas de côté et brandit une baguette magique.

« Petrificus totalus »

Le sort passa par l’entrebâillement de la porte et frappa Harry de plein fouet. Surpris par la réaction soudaine de la jeune serpentard, il n’avait pas pu faire le moindre mouvement pour esquiver l’attaque et se retrouva raide sur le sol. La porte s’ouvrit complètement et Pansy, encore en sous vêtements, apparue suivit de Drago l’air étonné. Mais il reprit très vite contenance et sourit d’un air mauvais.

« Tiens tiens, Potter. Tu te rinçais l’œil ? Je ne sais pas comment tu t’es débarrassé de Crabbe et Goyle, même si j’admet que ça ne doit pas être bien difficile. Mais je crois que certains de mes outils t’intéresseront de plus près. Bravo Pansy ! Tu viens tout juste de passer en tête de liste. »

La jeune serpentard parut aux anges tandis que Malefoy regardait à nouveau Harry.

« Ce ne sera pas très pratique de t’avoir comme ça. Tu devrais faire un gros dodo pour me laisser le temps de tout préparer. »

Drago brandit sa baguette et lança un sort de stupéfaction sur le jeune gryffondor impuissant.

    Lorsqu’il s’éveilla, Harry constata qu’il pouvait de nouveau bouger, à ceci près que ses poignées et ses chevilles étaient solidement attachés aux pieds d’une table sur laquelle son torse reposait. Ses pieds étaient à terre, lui donnant une posture des plus suggestives. Et un courant d’air froid parcourant son dos lui indiqua qu’il était entièrement nu. Il ressentit soudain une brulure entre ses omoplates et se retint difficilement de crier.

« Alors Potter, tu aimes ? Enfin ce n’est qu’un début. »

Malefoy tenait une grosse bougie allumée et faisait couler la cire chaude sur le dos de Harry.

« Je t’ai réservé pleins de surprises, fit Drago en versant une nouvelle fois de la cire. D’ailleurs je suis sûr qu’à gryffondor tous les mecs connaissent la prochaine. »

    Tout en continuant à s’amuser avec la bougie, Drago fit voler un énorme gode jusqu’à lui. Puis il posa la bougie et se plaça derrière son prisonnier. Harry savait ce qui l’attendait mais il eut grande peine à retenir un hurlement de douleur lorsque le membre factice entra en lui sans aucune douceur. Tant qu’il ne montrait pas qu’il avait mal, il avait le dessus sur Malefoy. Mais il craignait ce que le serpentard pouvait inventer pour lui arracher un cri de douleur. Drago revint devant lui en remuant sa baguette pour faire bouger le gode.

« Alors Potter ? Je suis sûr que ça te plaît, non ? Un traître à son sang comme toi doit aimer les actes contre nature. »

Harry ne bougeait pas. Il ne lui aurait pas fait ce plaisir. En fait, passer la surprise de la pénétration, il n’avait plus vraiment mal et commençait à apprécier les mouvements du gode dans son dos. Il n’en laissait rien paraître, persuadé que Malefoy ne pouvait comprendre que l’on prenne du plaisir ainsi. Il se concentrait pour garder son visage impassible lorsqu’il posa les yeux sur Drago. Bien que sa victime n’ait pas pousser le moindre gémissement, le jeune serpentard grandissait à vue d’œil tout en continuant à manipuler le gode grâce à sa baguette.

    Harry en fut surpris mais il comprit finalement qu’il n’était pas le seul à prendre du plaisir à cet instant. Il se décida à remuer légèrement et à crisper un peu son visage, faisant semblant d’avoir mal mais aussi de résister courageusement, et guettait la réaction de Malefoy. Celui-ci semblait ne plus pouvoir tenir. La bosse sous son pantalon grossissait encore et il ne pouvait plus détacher ses yeux du membre factice qui ne cessait d’aller et venir à grands coups dans l’anus de Harry. Le jeune gryffondor se laissa enfin aller à un gémissement.

« Je… je crois que ça te suffit, fit Malefoy en essayant de retrouver une contenance, du moins pour l’instant. Passons à autre chose. »

Harry se doutait bien qu’il aurait droit à un traitement plus dur mais il espérait également pouvoir ainsi excité Drago au plus haut point. Il était curieux de voir jusqu’où le jeune serpentard irait.

    Malefoy retira le gode et Harry ne l’entendit plus bouger comme s’il était hypnotisé par quelque chose. Puis Drago reposa le gode et s’empara d’un autre ustensile qu’il fit claquer. Un fouet. Harry serra les dents en s’apprêtant à tout moment à la morsure du cuir. Mais c’était sans compter sur l’incroyable suffisance du serpentard.

« Je n’ai pas l’impression que tu aies bien réagis à notre première expérience, dit-il d’une voix encore troublée, aussi je crois qu’il faut en arriver à l’étape supérieure. »

Soudainement, Harry sentit une brûlure dans tout le dos. Il n’avait même pas entendu le coup venir, ce qui en disait long sur la capacité de Malefoy à manipuler le fouet. Très vite, deux autres coups cinglèrent sa peau et il ne put s’empêcher de lâcher un cri. Il entendit également Drago glousser de contentement. Reprenant ses esprits alors que la lanière de cuir le frappait à nouveau, il cambra le reins au mieux pour donner une meilleure visibilité à son bourreau. Il sentit une hésitation de la part de Malefoy puis le fouet claqua encore dans son dos. Harry se concentra pour bien faire frémir son arrière train et le coup suivant fut nettement moins puissant.

    Le fouet avait cessé de claquer. Harry ne savait à quoi s’attendre. Il ne voyait plus Drago dans son dos et ignorait tout de son excitation. Deux mains fébriles se posèrent sur ses hanches tandis qu’un membre, cette fois bel et bien de chair, s’engouffrait entre ses fesses. Sans dire un mot, il le laissa entrer en lui. Malefoy poussait des grognements à chaque va et viens. Ses mains se glissèrent sur les côtés de sa victime et s’empara de son sexe bien tendu. Il le caressa avec autant de vigueur que ses coups de reins. Harry commençait à prendre du plaisir lorsqu’il sentit un liquide chaud se répandre dans son dos. Malefoy avait apparemment beaucoup apprécié et avait déjà jouit. Sans dire un mot, le jeune serpentard relâcha le pieu de chair et se retira. Il contourna la table et se présenta devant Harry qui n’eut aucun mal à deviner la suite du programme.

    Malefoy lui tira les cheveux en arrière pour relever sa tête et pressa son gland encore visqueux sur les lèvres. Harry ne se fit pas prier et le prit en bouche. Il était décidé à faire bénéficier Drago de tout son savoir faire dans cet art. Mais le serpentard n’avait pas lâché ses cheveux et s’ingéniait à diriger maladroitement sa victime qui se serait bien mieux débrouillé sans cela. Harry supposait que Malefoy était persuadé de diriger encore les événements, mais il sentait bien qu’il se laissait de plus en plus aller. Privé d’une certaine liberté de mouvement, Harry utilisa alors au mieux sa langue pour abattre les défenses du jeune serpentard. Comme lors de leur première étreinte, Malefoy ne fut pas long à crier son plaisir et à se répandre dans la gorge de Harry qui, docilement, avala tout.

    Toutefois ses deux jouissances successives ne semblait pas avoir calmé Drago. Tandis qu’il conservait son membre dans la bouche de Harry, il dénoua de sa baguette magique les liens qui retenaient celui-ci prisonnier. Le jeune gryffondor se retourna sur le dos comme les mains de Malefoy l’en pressait. Drago grimpa sur la table pour s’allonger sur lui et prit le pieu de chair entre ses lèvres. Harry renchérit en laissant un doigt s’aventurer dans le puit secret de Malefoy qui, à sa grande surprise personnelle, se laissa totalement faire. Drago laissa à nouveau éclater son plaisir très vite mais il fut suivi de près par Harry qui se répandit dans sa bouche. Malefoy se releva alors, semblant sortir d’un rêve. D’un coup de pied, il fit rouler Harry sur le sol avant de sauter de la table. Le gryffondor, un peu étourdi, le vit prendre ses vêtements. Lorsqu’il se releva enfin sans avoir peur de retomber aussitôt, Malefoy était déjà habiller et ramassait rapidement les objets qui traînait.

    Harry se glissa silencieusement vers ses affaires et en sortit sa baguette magique. Drago ayant retrouvé tous ses esprits, c’était plus prudent. Celui-ci ayant enfermé toutes ses affaires dans un sac allait pour sortir lorsqu’il se retourna soudain.

« Tu n’as pas intérêt à parler de quoi que ce soit. Sinon…

_ Sinon quoi Malefoy ? L’interrompit Harry en montrant ostensiblement sa baguette. Tu vas encore me servir ton baratin sur les sangs purs qui considère les homosexuels comme des dégénérés ou des malades ? Pourtant on ne peut pas dire que tu t’es beaucoup défendu, n’est-ce pas ?

_ Je te préviens Potter… ferme-la…

_ Oh ne t’inquiète pas. En fin de compte je ne tiens pas tellement à ce que l’on sache que tu m’as attrapé si facilement. Mais est-ce que toi tu pourras retenir tes fanfaronnades habituelles ? »

Avec un regard de haine profonde, Malefoy se retourna à nouveau et sortit de la salle en claquant la porte. Harry commença à se rhabiller. Il était ravi d’avoir cloué le bec de Drago. Mais il était aussi un peu peiné. Il avait pensé que peut être Malefoy allait finalement changer sa façon de penser. Mais il est tellement plus facile de féliciter les gens de leurs réussites que de les convaincre de leurs torts.

Histoire N°10 : Avant l'épreuve

Publié le mardi 3 février 2009

Avant l'épreuve

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année

Avec : Harry Potter, Hermione Granger

« Encore un livre inutile ! »

Hermione referma sèchement le lourd volume de « Nos amis les animaux dangereux » en poussant un soupir indigné. Harry ne leva même pas la tête. Il avait tellement de mal à comprendre son propre bouquin qu’il ne pouvait se permettre d’en détacher les yeux pour voir à nouveau le visage d’Hermione exaspéré de n’avoir encore rien trouvé. Il eut vaguement conscience qu’elle se levait à la recherche d’un autre ouvrage tandis qu’il fronçait les sourcils sur un chapitre consacré aux dragons venimeux.

Mais bien qu’il observait la liste des différents poisons connus des dragons, il n’arrivait pas à en comprendre plus que les deux premières lignes qu’il avait déjà relues plus d’une dizaine de fois. Ses pensées lui échappaient alors et se tournait vers le Magyar à pointes que lui avait montré Hagrid. Ses dents tranchantes et ses hurlements furieux semblaient détruire chaque parcelle de sa concentration. Puis réalisant qu’il partait dans des rêveries bien futiles en cet instant, il replongeait d’un air boudeur sur la liste des poisons, pensant qu’il ne parviendrait jamais à sortir vivant de la première épreuve du tournoi des trois sorciers.

Il relut à nouveau les deux premières lignes alors qu’il sentit Hermione s’asseoir à nouveau et poser un lourd volume sur la table. Harry pensa que Ron leur aurait été bien utile pour avancer dans leurs recherches. Mais ils ne se parlaient plus et Harry ne voulaient pas aller lui demander de l’aide tant qu’il ne reconnaitrait pas ses torts. Seule Hermione avait cru sans lui poser de questions qu’il n’avait pas mis son nom dans la coupe de feu. Ils avaient déjà passé des heures interminables à la bibliothèque pour découvrir un quelconque moyen de venir à bout d’un dragon. Pourtant Hermione n’était pas dispensée d’examen par le tournoi, contrairement à Harry, et il voyait bien qu’elle s’épuisait peu à peu entre ses propres études et les recherches pour lui sauver la vie.

Harry reprit soudain conscience de n’avoir toujours pas lu plus des deux premières lignes de son paragraphe et se remit à sa lecture d’un air paniqué. Mais malgré tous ses efforts, lorsque d’exception les dragons ne s’imposaient pas à son esprit, d’autres images toutes aussi perturbantes ne cessaient de lui revenir en mémoire. Ses camarades qui ne cessaient de se détourner de lui, les professeurs qui, l’air de rien, lui en voulaient d’avoir entaché la réputation de l’école, les fichus badges des serpentards, Fleur Delacour qui le considérait comme un enfant, Rita Skeeter qui pondait des articles farfelus sur sa vie.

Harry s’énervait peu à peu et constatait qu’il n’arrivait même plus à finir les deux premières lignes. Il referma brutalement son livre pour s’accorder une pause. La bibliothèque lui parut incroyablement sombre. Plongé dans son livre et ses pensées, il n’avait même pas remarquer l’heure qui tournait. Il était tard. La bibliothèque était déserte et silencieuse. Madame Pince devait être occupée à reclasser quelques livres dans la réserve. Hermione s’était endormie. Egalement épuisé, Harry ne put rien faire d’autre que de la regarder, avachi sur sa chaise. Sa tête reposait sur un ouvrage impressionnant concernant « Les situations périlleuses et leurs petits inconvénients ». Elle avait l’air paisible tandis que son souffle lent faisait frémir quelques cheveux égarés près de ses lèvres. Pendant de longues minutes, Harry ne trouva pas la force de faire quoi que ce soit d’autre que d’observer son visage sur lequel dansaient des ombres au gré de la lumière d’une petite lanterne qu’elle avait dû allumer un peu plus tôt. Il éprouvait plus de tranquillité et de plaisir à regarder le charmant tableau qu’il n’en avait ressenti depuis de longues semaines.

Harry entendit le grincement du parquet non loin. Madame Pince approchait surement et les chasserait dès qu’elle les trouverait. Bien qu’ils n’étaient pas encore en infraction avec le règlement, Harry ne voulait pas voir Hermione se réveiller et il se leva vivement pour souffler la flamme de la lanterne. Ils se trouvaient dans un recoin entouré d’étagères encombrées que les élèves voulant travailler dans le calme connaissaient bien et Harry espérait que l’absence de lumière encouragerait la bibliothécaire à ne pas trop pousser son investigation. En effet, elle tourna à peine la tête vers eux et continua son chemin, les laissant dans l’ombre. Harry se releva et s’avança doucement pour s’assurer qu’elle ne reviendrait plus par ici puis se tourna à nouveau vers la table de travail.

Seule la lune berçait désormais la scène de sa lumière diffuse. Elle donnait un air irréel à la rêveuse, moitié nimbée de lumière et moitié nimbée d’ombre. Son visage semblait figé comme celui d’une statue de marbre. Harry prit appui sur la table, l’observant du dessus et ne put s’empêcher de le toucher. De ses doigts il fit glisser ses caresses sur la peau soyeuse de sa joue, repoussant les quelques cheveux égarés pour descendre sur son cou délicat. Il appréciait la douce chaleur de la chair tandis qu’un sourire léger se dessinait inconsciemment sur les lèvres de l’endormie. Elle bougea un peu. L’une de ses mains glissa du livre sur la table. Ses doigts fins se posèrent tels des papillons sur la main de Harry qui se sentit frémir malgré lui. Il s’abaissa un peu plus et ses lèvres goutèrent tendrement le cou offert. Sans vraiment être conscient de ce qu’il était en train de faire, il remonta peu à peu entre la lumière et l’ombre qui le menait droit aux lèvres scintillantes desquelles s’échappait encore un souffle fragile. Il s’arrêta lorsque leurs deux bouches se rencontrèrent et savoura ce tendre instant sans plus se soucier de rien d’autre.

Hermione s’éveilla lentement, en proie à des sensations étranges. Elle sentait des lèvres sur les siennes et une main voguant tendrement sur ses cheveux et son dos. Elle ouvrit les yeux pour apercevoir des lunettes et une cicatrice en forme d’éclair qui semblait luire sous la faible lumière de la lune. Elle n’eut pas besoin de plus pour comprendre ce qui arrivait et n’eut que quelques secondes pour se décider entre se retirer dans une indignation de mise ou se laisser aller à la douceur du moment. Elle avança une main résolue vers la joue de Harry qu’elle caressa tendrement en collant un peu plus ses lèvres sur les siennes. Elle le sentit frémir de surprise mais il ne rompit pas le délicieux contact.

Ils se redressèrent finalement l’un et l’autre en séparant leurs bouches satisfaites. Harry eut un petit sourire maladroit.

« Excuse-moi Hermione ! Je ne sais pas trop ce qui m’a prit.

_ Moi je le sais. Tu as peur Harry ! Oh, je ne dis pas que tu n’es pas courageux, ajouta-t-elle rapidement, mais la première épreuve s’annonce bien terrible et il est légitime d’avoir peur en un tel instant, qui que l’on soit.

_ Oui, c’est vrai. Quand je t’embrassais j’ai même pensé que ce serai peut être mon dernier baiser. »

Les ombres envahissaient le visage de Harry à tel point qu’Hermione avait bien du mal à discerner ses traits. Mais sa voix grave ne laissait aucun doute sur le sérieux de ce qu’il disait. Elle se leva, s’approcha d’Harry et lui prit doucement la main.

« En ce cas tu n’aurais pas dû m’embrasser pendant que je dormais. Maintenant donne-moi un vrai baiser. »

    Harry tourna lentement la tête vers elle. Son visage à contre-jour était indicible mais il croisa son regard et il se perdit dans ses yeux sombres, le suppliant d’accepter leur requête. Il l’entoura alors de ses bras et prit passionnément ses lèvres comme s’il n’avait jamais rien gouté de plus délicieux. Hermione passa ses mains dans son dos et se serra contre lui. Elle fit une légère pression sur Harry pour qu’ils pivotent, comme s’ils dansaient sur un rythme particulièrement lent, et elle se trouva dos contre la table sur laquelle elle s’assit. Lorsqu’ils se séparèrent à nouveau, Harry sentit les jambes d’Hermione autour des siennes. Il était pris dans l’éternel piège de la volupté et il l’embrassa à nouveau avec un léger sourire. Hermione enserra alors sa taille ce qui fit remonter sa robe jusqu’aux genoux tel un lever de rideau.

Harry sentait le désir animer chaque parcelle de leurs corps enlacés. Il ne savait plus vraiment ce qui le faisait agir de la peur ou de la tendresse, mais il savait qu’il ne voulait à aucun prix s’éloigner de la table. Il fit glisser ses mains jusqu’à la frontière de l’étoffe et passa dessous avec lenteur. Il sentit la respiration d’Hermione devenir plus rapide tandis qu’il savourait la peau satinée de ses cuisses et que leurs lèvres parcouraient leurs cous et leurs visages. Il avança sur son ventre qui émanait d’une voluptueuse chaleur et qui se contracta d’abord avant de se radoucir, autorisant la course de ses caresses à aller plus avant. Il rencontra alors les deux globes de chair, jeunes et fermes, enfermés dans une douce prison de tissu fin dont il les libéra sans attendre afin de gouter à la peau tendre et fraiche qu’aucune étoffe n’égalerait jamais.

Hermione soupirait doucement sous chaque délicate caresse de Harry tandis que ses mains s’aventuraient vers l’échancrure de son pantalon. Un à un, elle fit voler les boutons qui retenaient les désirs virils. L’une de ses mains passa sous le tee-shirt de Harry et reconnaissait de ses tendres caresses le torse oscillant entre l’enfance et la maturité. Son autre main s’élança dans la direction opposée pour faire bénéficier le mat de chair de ses plus charmantes attentions. Bien qu’il fut déjà fièrement dressé, elle le sentit grandir sous ses doigts souples et habiles et, à chacune de ses pressions savamment mesurées, elle sentait les gestes des mains sur sa tendre poitrine s’intensifier.

Elle entoura alors le cou de Harry de ses bras et l’entraina tout entier sur la table. Il comprit ce qu’elle attendait et, tout en savourant la peau de son ventre avec ses lèvres il fit glisser la robe et libéra toute sa beauté. Il ne put alors s’empêcher d’arrêter ses caresses. Ce corps. Les ombres tentaient vainement de voiler les courbes jeunes et graciles, mais le faible éclat de la lune lui révélait encore une partie des merveilles qui lui était si généreusement offertes. Il la contempla ainsi quelques secondes qui lui parurent s’étirer dans une éternité irréelle. Puis une main se posa sur son bras. Il fut ramené à l’instant présent, face à Hermione qui le couvait d’un regard tendre, face à ce corps qu’il désirait à peine révélé. Elle lui enleva son tee-shirt tandis qu’il avançait la tête pour embrasser son ventre doux et chaud. Il fit glisser sa langue vers le bas ventre, sentant qu’elle lui enlevait désormais son pantalon, et il rencontra un bout de tissu. Avec délicatesse, il retira la dernière faible barrière qui retenait le plus beau des trésors. Alors qu’il était sur le côté, il se laissa aller sur le dos et attira Hermione sur lui.

Il n’avait pas encore bu à sa source qu’il en était déjà enivré. Il laissa sa langue découvrir à loisir le moindre repli de l’intimité frémissante de désir, tandis que la bouche d’Hermione prodiguait les attentions les plus délicates à son membre. Chacun savourait le corps de l’autre. Leurs peaux se frottaient au rythme de l’assouvissement de leur désir. Au-delà des mains, la moindre parcelle de leurs corps s’appliquait dans de tendres caresses. Harry faisait glisser ses mains sur la peau enfiévrée du dos. Il empoigna délicatement les petites fesses, collines soyeuses qu’il ne se lassait pas de gravir, et se mit à les masser délicatement au rythme de sa langue sur le petit bouton d’amour. Il sentit la jeune poitrine d’Hermione se faire cajoleuse autour de son sexe tandis que la petite bouche gourmande enserrait toujours son gland. Il se sentit submergé par une vague de plaisir qu’aucun barrage n’aurait pu stopper et qui se répandit dans la gorge de la jeune fille. Il la sentit se raidir à son tour et soudain il but à grandes gorgées un flot de son jus de plaisir qui l’abreuvait avec la force d’un torrent sauvage.

Ils restèrent longtemps à savourer leurs nectars intimes. Puis Harry déposa délicatement Hermione sur la table et s’avança vers elle pour prendre ses lèvres d’un baiser passionné. Un courant d’air froid traversait la bibliothèque et venait par vagues frapper les deux jeunes amants. Mais Harry et Hermione l’ignoraient sans mal. A ce moment, aucun feu n’aurait pu les réchauffer plus que leurs deux corps enlacés, que leurs deux langues emmêlées. Par de précieuses caresses, Hermione rendait peu à peu toute sa vigueur au membre viril. Elle le sentait se presser contre son ventre avec une insistance grandissante. Harry n’avait cesser d’être en elle et appréciait le doux écrin de ses doigts. Leurs lèvres ne semblaient plus vouloir se séparer.

Hermione se tourna lentement, gardant Harry tout contre elle. Il sentait la chaleur qui se dégageait de ce corps si tendre. Il prit les petits seins dans ses mains, les caressants comme des pierres précieuses et fragiles. Tout contre son membre, il sentait la source secrète d’Hermione qui l’avait presque happé et l’invitant à la découvrir avec douceur. Harry se serra un peu plus contre elle. Il la sentit se cambrer soudain et entendit un faible gémissement lorsqu’il pénétra au plus profond de son trésor intime. Leur désir si ardent devint alors plaisir bouillonnant.

A chacun de ses mouvements, il la voyait se tendre un peu plus. Sa tête basculait en arrière offrant de plus belle sa gorge enfiévrée qu’il accepta sans tarder de sa langue. Elle venait au devant de ses assauts, l’incitant silencieusement à se faire plus sauvage. La chaleur se faisait étouffante. Seul leur plaisir leur permettait de respirer. Ils sentaient tous deux leurs corps leur échapper pour sombrer dans la délicieuse folie de la jouissance. Harry était à peine conscient que ses mains admiraient toujours les jeunes rondeurs de la poitrine où des gouttes de sueur s’écoulaient en petits ruisseaux au rythme de leur étreinte. Le membre qui pénétrait son amie en revanche ne lui appartenait plus. Il lui aurait été impossible d’arrêter ses coups de reins qui éveillait en lui un peu plus de bestialité sous chaque cri de plaisir d’Hermione qu’ils parvenaient à lui arracher.

Sous une soudaine impulsion de la jeune fille, ils se redressèrent sans se quitter. Harry se mit à genoux, assit sur ses talons tandis qu’Hermione se retrouvait sur lui et prenait sa tête entre ses bras pour la serrer sur sa poitrine. Elle s’élevait et se rabaissait avec force sur le membre dont Harry dut convenir qu’il était changé en pierre pour ne pas exploser aussitôt de bonheur. Sa bouche savourait sauvagement les jeunes fruits défendus frémissants de plaisir et ses mains parcouraient tout le corps, incarnation même du désir le plus pur, sans jamais pouvoir se fixer en un endroit en particulier. Il profitait pleinement des deux seules sensations dont il était encore maître. Leur étreinte s’emplissait d’une jouissance bestiale à un rythme des plus démesurés. Pourtant Harry la trouvait si légère, si fragile entre ses bras que le peut d’esprit lucide qui lui restait craignait de la voir se briser à chaque secousse de leurs deux corps dépossédés.

Mais Hermione s’arrêta bientôt. Tous deux se sentaient arriver au bout de leur plaisir et elle s’abattit une dernière fois sur la virilité, criant au-delà de toute mesure, tandis que sa jouissance et celle de Harry se joignaient dans son ventre. Il l’enveloppa de ses bras et la tint ainsi tout contre lui, immobile, tandis que leurs nectars intimes n’en finissaient plus de s’écouler. Il fut alors surpris de voir à quel point la pièce était sombre. Berçait qu’il était par la douceur d’Hermione, il en avait totalement perdu le sens de ce qui se trouvait plus loin que les bords de la table. Un rayon de lune les éclairait encore. Il se posait sur le visage délicat d’Hermione qui reposait sur l’épaule de Harry, souriante, les yeux fermés, reprenant peu à peu son souffle. Harry s’allongea sur la table, emportant précautionneusement Hermione dans ses bras. Le courant d’air frais les frappa alors de plein fouet et il attrapa vivement sa cape qu’il jeta sur eux. L’un contre l’autre, tendrement enlacés, ils ne dirent pas un mot pendant de longues minutes.

En silence, Hermione se lova sur le corps de Harry en laissant ses mains glisser lentement sur son torse. Il la sentait encore pleine de désir et, bien que l’envie de partager un autre moment intime était loin de lui déplaire, il s’en étonna. Il craignit tout à coup que leurs relations s’aventurent un peu trop loin et il s’en voulut de s’être laissé aller à un moment de faiblesse qui avait apparemment une toute autre importance pour Hermione. Elle se fit un peu plus pressante et Harry essaya de parler d’une voix inquiète.

« Euh… Hermione… attends…

_ Ne t’inquiète pas Harry, fit-elle d’une voix résolue, tout va bien. »

Elle leva la tête vers lui et ses yeux sombres le capturèrent à nouveau.

« Je suis libre de choisir, Harry. Qui je veux ! Mais cette nuit, juste cette nuit, je veux renoncer à cette liberté. Je veux être à toi, t’appartenir. Au matin je la reprendrai. Mon corps s’abandonnera cette nuit, mais mon cÅ“ur gardera toujours la tendresse et le plaisir que tu m’as donné. »

Harry la serra doucement et l’embrassa.

« Merci Hermione, mais je ne veux pas que tu sois quelqu’un d’autre que toi. C’est un moment à partager, pas à donner. Ce que je veux, c’est que tu le désire. »

Elle lui sourit alors tendrement et l’embrassa avec passion, prête à lui montrer ce qu’elle désirait vraiment.

Histoire N°9 : Bienvenue dans l'équipe

Publié le mardi 3 février 2009

Bienvenue dans l’équipe

Une aventure sexuelle de Harry Potter en première année.

Avec : Harry Potter, Angelina Jonhson, Katie Bell, Alicia Spinnet, Fred Weasley, Georges Weasley et Olivier Dubois.

    Harry avait bien cru que cette fois-ci il serait renvoyé de Poudlard. Moins d’une semaine après y avoir mis le pied pour la première fois il avait été pris en flagrant délit de vol sur un balais alors qu’il ne devait pas quitter le sol. Mais son adresse dans les airs lui apporta cette fois une belle récompense. Le professeur McGonagall l’avait inscrit d’office au poste d’attrapeur dans l’équipe de Quidditch de Gryffondor. Olivier Dubois, le capitaine et gardien de but, en semblait ravi et avait demandé à sa nouvelle recrue de se rendre à un entrainement particulier pour qu’il se rende compte de ses capacités.

    Harry s’y était rendu et n’avait raté aucune des balles que Dubois lui avait envoyé ce qui l’avait mit au comble de la joie. Harry s’en était retourné au château, heureux et s’était rendu dans les douches. Il était impatient de raconter la séance à Ron et il se dépêchait de se laver lorsqu’il entendit distinctement le bruit de la porte de sa cabine s’ouvrir. Il se retourna vivement croyant être seul et se trouva face à face avec Olivier, vêtu simplement d’une serviette.

« Oh ! Excuse-moi Harry ! Je me demandais qui était dans cette douche. Je croyais être tout seul.

_ C’est ce que je pensais moi aussi, répliqua Harry en cachant son intimité de ses mains car il lui avait semblé que Olivier le regardait avec trop d’insistance.

_ Désolé, reprit Dubois en tournant enfin les yeux. J’aurais dû me douter que tu n’attendrai pas ce soir. Encore pardon. »

Olivier referma la porte et entra dans la cabine voisine. Harry se dépêcha d’en finir et sortit de la salle de bains commune.

    Plusieurs journées passèrent et Harry n’avait plus qu’une idée en tête : la première séance d’entrainement qui approchait. Il allait enfin voir une véritable équipe de Quidditch à l’œuvre et rencontrer tous les autres joueurs. Le jour dit, il se hâta fébrilement vers le vestiaire des Gryffondors. Tout le monde l’attendait et Olivier fit les présentations.

« Alors, Harry ! Je crois que tu connais déjà nos batteurs, Fred et George, mais le fait que tu ne les aient pas remarqué m’aurait fortement étonné. »

Les frères Weasley firent une sorte de révérence ridicule et les filles de l’équipe poussèrent des gloussements de rire.

« Et ici, reprit Olivier d’un ton un peu plus impérieux, tu as Angelina qui est poursuiveuse. »

Une jeune fille noire de troisième année lui sourit en faisant un signe de tête qui fit tomber une multitudes de petites tresses africaines de ses épaules. Harry se sentit rougir en constatant qu’elle était incroyablement belle.

« Là c’est Alicia, qui est également une poursuiveuse. »

Une fille blonde du même âge qu’Angelina et les jumeaux lui fit un signe de main.

« Et enfin, Katie, notre troisième poursuiveuse, qui vient également de nous rejoindre cette année. »

Une jeune brune de deuxième année qui semblait un peu mal à l’aise lui fit un petit sourire.

« Bien, et maintenant revêtait vos robes de Quidditch, nous allons commencer. »

    Harry se pencha sur son sac pour en sortir sa robe et se releva avant de manquer de tomber à la renverse en voyant Angelina et Alicia en sous vêtements. Les filles semblaient se moquer complètement de la présence des garçons en dehors de Katie qui semblait encore plus mal à l’aise. Elle tourna le dos à Harry pour se déshabiller. Fred, George et Olivier n’étaient pas plus mal à l’aise en caleçon devant les filles. Ils avaient apparemment tellement l’habitude d’occuper le même vestiaire que cela paraissait naturel. Constatant qu’il n’avait même pas commencé à se changer, Harry se prépara en vitesse en évitant soigneusement de regarder en direction des filles. La séance d’entrainement se passa très bien. Lorsqu’ils retournèrent dans les vestiaires, tout le monde s’accordait à dire que Harry avait très bien joué et que Katie et lui étaient de très bonnes recrues. Olivier, souriant se changea très vite et sortit pour aller raconter le bon déroulement de la séance d’entrainement au professeur McGonagall. Harry, heureux comme jamais, commença à se déshabiller en constatant qu’il lui semblait déjà très normal de partager le vestiaire avec des filles.

    Il venait de suspendre sa robe de Quidditch à un porte manteau lorsqu’une main très douce se posa sur son épaule. Il se retourna pour voir Angelina, à moitié nue, qui lui souriait.

« Tu as été excellent, Harry. Vraiment très bon.

_ Euh… oui… merci, parvint-il à articuler tandis qu’il pensait qu’il était également en sous vêtement devant la plus belle fille qu’il ait jamais vu.

_ Oui, vraiment bon, reprit-elle en s’adressant cette fois à tout le vestiaire, et Katie aussi. Je crois que je peux dire au nom de tout le monde que vous êtes les bienvenus dans l’équipe. »

Katie s’arrêta net dans son mouvement pour prendre sa robe en tournant la tête vers Angelina tandis que Alicia, Fred et George regardait la jeune fille qui ramenait Harry au centre de la pièce.

« Vous savez, fit la jeune noire en souriant aux deux nouveaux, nous avions prévu quelque chose pour vous accueillir comme il se doit. Vous n’êtes pas obligé de le faire et nous ne vous en tiendrons pas rigueur quoi qu’il arrive. »

Harry se demandait pourquoi Angelina n’avait pas attendu qu’ils soient tous habillés pour parler de leur projet et il se trouvait ridicule au beau milieu de la pièce en caleçon avec tous les autres en sous vêtements autour de lui.

    Il vit Alicia prendre Katie par les épaules et lui caresser doucement les bras dans un geste qui se voulait apparemment apaisant. A ce moment-là, Harry sentit comme un courant électrique lui traversait le corps. Mais ce fut probablement la foudre qui courait dans ses veines lorsqu’il sentit une main très douce caresser son dos nu avec lenteur. Angelina se serra tout contre lui et il sentit sa poitrine encore petite mais ferme s’écraser juste au dessus de ses omoplates. La deuxième main, aussi douce qu’un souffle de vent, contourna ses hanches pour parcourir son torse et son ventre.  Il se sentit rougir tandis que, à sa grande honte, son caleçon s’élargissait de plus en plus. Il voyait Katie un peu plus loin qui le fixait, les joues écarlates tandis que les mains de Alicia venaient de trouver sa poitrine et la caressait à travers un petit bustier blanc à peine enflé. Harry voyait qu’elle ne semblait pas aller très bien mais que, tout comme à lui, il ne lui venait pas à l’esprit de se débattre. En fait, Harry devait admettre que Angelina et Alicia prenaient de grandes précautions pour ne pas les brusquer. Chaque geste était calculé pour aller un peu plus loin que le précédent.

    Harry sentit les doigts de la jeune noire passer sous l’élastique de son caleçon. Angelina s’empara lentement de son membre dressé et se mit  le masturber avec tendresse. En face d’eux, Alicia avait retiré le petit bustier de Katie et faisait maintenant glisser délicatement la petite culotte le long des jambes frêles de l’enfant, révélant un joli petit coquillage au duvet encore faible mais soyeux. Les lèvres d’Angelina se posèrent dans le cou de Harry et elle posa de petits baisers tendres sur sa nuque et ses épaules tandis qu’Alicia tournait doucement Katie face à elle comme si elle était un objet très fragile menaçant de se briser au moindre coup. La jeune blonde retira également ses sous vêtements et serra tendrement le corps de la petite brune dans ses bras. Katie sembla pétrifiée pendant quelques secondes puis elle passa ses bras autour de la taille de sa camarade et se blottit tout contre elle. Rassurée par la réaction de la gamine, Alicia prit sa tête dans les mains et l’embrassa longuement.

    Angelina passa alors devant Harry sans lâcher son sexe. De sa seule main libre, elle retira lentement ses sous-vêtements sous le regard hébété du jeune garçon. Une fois complètement nue, elle se serra contre lui et l’embrassa tendrement en mêlant sa langue à la sienne. Harry n’avait plus conscience de ce qui se trouvait autour de lui. Seule comptait désormais la magnifique jeune fille qui lui pratiquait de sensuelles et délicates caresses. Il se décida à bouger enfin et avança les mains jusqu’à la superbe poitrine de la jeune noire qu’il se mit à masser timidement. Angelina lui fit un petit sourire et l’embrassa à nouveau avant de faire lentement descendre sa langue sur son menton puis sur son cou. Elle s’agenouilla doucement tout en caressant du bout de la langue son torse puis son ventre. Elle retira complètement le caleçon pour laisser toute liberté au dard encore jeune mais bien dressé. Harry sentit les tendres lèvres se refermer sur son pieu de chair et se mettre à aller et venir tout du long. Harry posa ses mains sur les cheveux finement tressés d’Angelina qu’il caressa lentement.

    Un petit cri aigu ramena Harry à la réalité de ce qui l’entourait. Katie, allongée sur le sol, venait de jouir grâce aux doigts experts d’Alicia. Cette dernière était allongée sur elle, légèrement de côté pour avoir pleinement accès au joli petit abricot de sa camarade, et léchait tendrement les petits seins naissants. Ravie d’avoir donné du plaisir à la jeune nouvelle, Alicia lui sourit en murmurant :

« Tu n’as encore rien vu ! »

Imitant Angelina, elle laissa sa langue parcourir le petit corps de la fillette, tremblante d’excitation et de curiosité, pour s’arrêter à hauteur de son intimité. Alicia enfouit son visage entre les cuisses de sa partenaire et se délecta du précieux fruit. La petite nouvelle se cambrait sous le plaisir que lui procurait la jeune fille et poussait des gémissements ravis de plus en plus fort. Harry, qui jusque là s’était sentit comme suspendu au-dessus du vide, fut soudain comme traversé par la foudre et il se répandit dans la bouche d’Angelina qui avala le nectar de jouissance sans en perdre la moindre goutte.

    La jeune noire se coucha sur le sol en prenant Harry par la main pour qu’il la suive. Elle le fit s’allonger entre ses cuisses et il sentit contre son bas ventre l’humidité et la chaleur de cet accueillant coquillage. Il embrassait et caressait la tendre poitrine de la jeune fille tandis que les mains si douces qui l’avait guidé jusqu’ici dirigeaient son membre vers le temple de Venus. Elle le fit lentement pénétrer en elle jusqu’à ce qu’il soit entièrement enfoncé dans le chaleureux écrin. Harry se mit à donner quelques coups de reins timides mais devint de plus en plus confiant en entendant les gémissements d’Angelina sous ses assauts de plus en plus vigoureux. L’une des mains de la jeune fille parcourait les petites fesses musclées de Harry, faisant parfois pression sur son bassin pour l’encourager à aller encore plus vite, tandis que l’autre caressait tout le long de son dos au rythme de leur ébat. Le jeune garçon quant à lui ne détachait pas ses doigts et ses lèvres des superbes seins d’Angelina tandis qu’il s’activait du mieux qu’il le pouvait dans le ventre de la jeune fille. Il sentit bientôt la jeune noire se cambrer un peu et ses délicieuses jambes enserrer sa taille. Elle poussa un cri de jouissance et sa liqueur intime se répandit sur le sexe de Harry. Angelina, ravie, l’embrassa fougueusement tandis qu’il éjaculait en elle en raidissant tous ses muscles. Il s’écroula, épuisé, sur la jeune noire qui l’entoura de ses bras et le caressa tendrement, lui accordant un temps de repos en le gardant en elle.

    Alicia quant à elle avait déjà donné beaucoup de plaisir à Katie et ne comptait plus la quantité impressionnante de liqueur d’amour qu’elle avait bu de l’intimité de la petite nouvelle. Katie, également épuisée, ne semblait pas vouloir s’arrêter là pour autant. En riant, Alicia remonta le long du corps de sa partenaire pour l’embrasser avec passion. La môme lui rendit son baiser comme si elle ne voulait jamais le terminer. Elle descendit une main le long du dos de la jeune blonde pour caresser ses petites fesses rondes et alla un peu plus loin encore pour introduire deux doigts dans le doux coquillage doré. Elle se mit à masturber doucement Alicia, désireuse de lui rendre le plaisir qu’elle avait connu. La jeune blonde poussa presque aussitôt des gémissements de plaisir en trémoussant son petit cul sur les doigts habiles. Elle n’avait pas pensé que Katie puisse être aussi douée pour donner du plaisir. La petite nouvelle avait un vrai don, c’était indiscutable. Elle emmêla à nouveau sa langue à celle de la fillette et descendit une main vers le trésor intime encore peu vêtu, attrapant le petit bouton d’amour pour le faire rouler sous ses doigts. Katie poussa un cri et jouit instantanément en resserrant son étreinte sur Alicia.

    Harry contemplait les deux jeunes filles tandis que sa langue parcourait la poitrine d’Angelina contre laquelle il était toujours couché. Mais une voix rauque appela la jeune noire qui se releva doucement. Elle prit Harry par la main et se dirigea vers Fred qui était assis sur un banc, complètement nu, son membre dressé palpitant de désir. George se dirigeai vers les deux filles dont il était difficile de dire qu’elles ne faisaient pas une seule personne. Il releva doucement la tête d’Alicia en s’agenouillant et lui présenta son dard prêt à l’emploi. La jeune blonde enserra le sexe de ses lèvres et se mit à faire des va et viens sous le regard envieux de Katie. Pendant que George lui promettait qu’elle y gouterai aussi, Harry se retourna pour voir Angelina s’asseoir sur le pieu de chair de Fred. Elle montait et descendait doucement donnant à Harry une merveilleuse vision de son sexe empalé. Le jeune garçon voyait le petit cul rond qui remuait, l’invitant à investir un endroit qu’il avait très envie de connaitre. Mais il voulait surtout faire plaisir à la jeune noire. Il s’agenouilla et écarta tendrement les superbes fesses en prenant bien soin de caresser le moindre centimètre de chair ferme. Il approcha la langue du puit secret et parcouru tendrement ses abords. Il sentit Angelina frémir à ce contact et il s’enfonça lentement à l’intérieur de la jeune fille. Elle gémissait de plaisir sous chaque assaut du membre de Fred et de la langue de Harry et ne tarda pas à pousser un cri de jouissance.

Angelina accéléra encore la cadence, au grand plaisir de Fred, mais Harry ne parvenait plus à suivre et décida de se redresser. Il enfonça son pieu de chair entre les deux petites fesses rondes et chaudes qui s’abaissèrent d’un coup, s’empalant sur le membre du petit garçon. Il s’accrocha à la taille svelte de la jeune noire et caressait la douce peau du dos avec sa langue. Fred dévorait la magnifique poitrine d’Angelina avec gourmandise tout en soutenant la jeune fille sous les cuisses pour l’aider dans ses vigoureuses ruades. Harry n’était pas habitué à tant de fougue. Il sentit bientôt son plaisir le submerger puis se répandre dans le joli petit cul de la jeune noire qui se figea quelques instants pour apprécier la douce chaleur qui grandissait dans son dos. Angelina se retourna pour faire face à Harry et s’empala à nouveau sur le dard de Fred. Elle se pencha en avant et prit le jeune sexe dressé entre ses lèvres. Elle allait et venait le long des deux membres virils et les garçons, libres de leurs mouvements, caressaient chaque centimètre de son fabuleux corps. Angelina se démenait de plus belle et Fred finit par lâcher un râle tandis que la jeune fille donnait un ultime coup de rein pour sentir le nectar de jouissance se déverser au plus profond de son ventre.

Harry regarda en direction de l’autre trio tandis qu’Angelina continuait de savourer son pieu comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge. George était allongé sur le dos et léchait le bel abricot doré d’Alicia tandis que Katie, allongée sur le ventre entre ses cuisses, suçait avec ravissement son sexe bien dressé. La petite nouvelle semblait aussi naturellement douée pour donner du plaisir aux garçons qu’aux filles et George ne parvint pas à se retenir plus longtemps. Il poussa un cri de jouissance étouffé par la douce intimité de la jeune blonde et éjacula sur le visage de la fillette. En voyant son amie recouverte de semence, Alicia jouit également, donnant à George l’occasion de boire à la source de tous les plaisirs. Elle prit la tête de Katie et l’amena doucement vers son propre visage pour la nettoyer avec sa langue tandis que George s’était glissé sur le côté, se mettant derrière la petite nouvelle pour flatter ses fesses splendides et son tendre coquillage. Il s’apprêta à entrer dans le temple de venus lorsque Alicia intervint.

« Fais attention ! Elle est encore vierge. »

Le jeune garçon stoppa net, hésitant, puis se releva faisant pousser un soupir de dépit à Katie, la tête contre la poitrine de son amie, impatiente.

« Ne t’inquiète pas Katie, fit George dans un sourire, mais je crois qu’il serait juste que ce soit une nouvelle recrue qui en dépucelle une autre. »

Harry qui n’écoutait que vaguement ce qui se passait à côté de lui se figea totalement tandis qu’Angelina relâchait sa virilité.

« Bonne idée George ! Je crois que ça nous aidera à renforcer encore plus les liens dans l’équipe. »

    La jeune noire prit Harry, ébahit, par la main et l’emmena vers Alicia qui faisait allonger Katie sur le sol en lui prodiguant maintes caresses. Il s’agenouilla face à la petite nouvelle tandis que les filles rejoignaient Fred et George sur un banc pour profiter du spectacle. Il posa ses mains sur les jambes de la gamine, remonta lentement sur ses cuisses, passa sur son ventre brulant et s’arrêta sur la poitrine naissante. Katie enserra tout de suite le petit garçon de ses bras et lui sourit tendrement. Il sentit son membre tout contre l’intimité ruisselante de la fillette et donna un coup de rein pour entrer en elle. La petite nouvelle poussa un cri aigu puis se pelotonna tout contre son amant. Harry commença ses va et viens en l’embrassant avec fièvre. Katie et lui gémissaient tout en entremêlant leurs langues et en laissant leurs mains courir sur le corps de l’autre. Plus loin, Harry apercevait Alicia sur Angelina en tête bêche, tandis que Fred et George avait trouvé l’accès à leurs puits secrets. Le jeune garçon se sentit venir peu à peu et lorsqu’il fut au bord de la jouissance, il fut étonné de voir Katie se cambrer et crier tandis que le jus de plaisir coulait abondamment sur leurs sexes. Harry se préparait à jouir au fond de ce sanctuaire si doux et si chaud mais la fillette se retira vivement et se mit à quatre pattes. Elle écarta ses jolies petites fesses, montrant à son amant où il devait prendre son plaisir. Sur le point de craquer, Harry s’empara des hanches de la môme et entra dans son puit secret d’un seul coup. Elle poussa un cri sous la douleur qui fut bien vite atténuée par la semence chaude du petit garçon qui se répandait en elle. Ainsi lubrifié, les deux petits amants purent s’en donner à cœur joie.

    Jusque tard dans la soirée, les équipiers se mélangèrent encore et encore. C’est épuisés mais heureux qu’ils retournèrent tous ensemble au château. Harry prit juste le temps de dire à Ron que la séance s’était bien passée et il partit prendre une douche. A cette heure-ci, tout le monde s’était déjà lavé et il se retrouva seul. Se remémorant les doux moments dans les vestiaires, Harry se sentit grandir à nouveau et il se caressa tout naturellement. Ce n’était pas comparable à ce qu’il venait de connaitre mais cela lui suffit pour se sentir bientôt proche du plaisir. Il entendit alors un bruit derrière lui et se retourna brusquement. Olivier se tenait devant lui le fixant d’un air légèrement moqueur. Harry pensa qu’il devait être ridicule, tout penaud, son sexe encore dressé dans la main. Il recouvrit son corps de ses bras, prenant un air faussement amusé.

« Désolé, Harry ! Je ne voulais pas te… euh… t’interrompre.

_ Pas grave, balbutia le petit garçon.

_ Je voulais juste savoir pourquoi vous avez été si long à revenir ? »

Harry resta interdit. Il n’avait pas pensé qu’Olivier ne serait pas au courant de la façon très particulière mais au combien agréable dont les membres de l’équipe renforçaient les liens entre eux. Il laissa sortir un filet de mots incompréhensibles et qui de toute façon ne voulait rien dire. Olivier le regarda d’un air de plus en plus amusé.

    Il entra complètement dans la cabine et parla a voix plus basse.

« Je te rassure, je sais très bien ce qui s’est passé. Je te taquinais juste un peu. Et apparemment tu en as retiré un bon souvenir.

_ Euh… oui. Fit Harry qui ne parvenait pas à cacher son érection qui ne voulait pas faiblir.

_ Je n’apprécie que modérément ce genre de réunion. Mais j’admet que c’est très bon pour le moral de l’équipe. Enfin, quoiqu’il en soit, je tenais tout de même à t’accueillir également avec tous les honneurs. »

Olivier s’avança encore et écarta les mains de Harry sans effort. Il s’empara du jeune sexe bien dressé et se mit à le masturber avec vigueur. Pris par surprise, le petit garçon ne sut comment réagir tout d’abord. Mais le plaisir pris vite le dessus et il se laissa aller contre le mur en poussant des gémissements. La langue de son capitaine parcourut son torse et descendit peu à peu sur son ventre. Olivier prit le jeune pieu de chair dans la bouche et le suça avec délice. Harry n’en revenait pas d’éprouver encore tant de sensations après la séance dans les vestiaires mais son partenaire était particulièrement doué et il ne tarda pas à éjaculer dans sa bouche.

    Olivier se redressa et enleva la serviette autour de sa taille pour dévoiler un membre bien dur. Harry n’eut pas besoin d’explication et, tout comme son amant l’avait fait, il descendit lentement ses lèvres et sa langue vers le pieu si désirable. Le petit garçon enserra le sexe et s’appliqua à donner autant de plaisir à Olivier qu’il en avait reçut. Ce dernier ne restait pas de marbre et faisait coulisser son dard avec langueur. Il agrippa les cheveux de Harry d’une main et imposa son rythme en douceur si bien que le petit garçon finit par se laisser complètement faire. Sans lâcher la tête de Harry, Olivier se mit assis sur le sol, obligeant son partenaire à se mettre à quatre pattes. Dans cette position, il pouvait faire courir son autre main sur le dos et les fesses de Harry. C’est sans surprise que ce dernier sentit bientôt un doigt pénétrer lentement en lui. Il en fut comme électrisé et se mit à sucer le membre de son capitaine avec plus d’ardeur. Mais Olivier se sépara de sa bouche et se mit derrière-lui. Le petit garçon sentit le pieu de chair se presser contre son petit puit secret. Olivier le fit entrer avec douceur mais Harry ne pouvait s’empêcher de gémir de douleur. Mais le plaisir vint se mêler à la souffrance lorsque le jeune garçon commença à s’activer en lui. Très vite, la chaleur qui s‘était d’abord répandu dans le bas de son dos se fit plus douce et il allait même au-devant des coups de boutoir de son amant. Olivier, aux anges, ne fut pas long à prendre son plaisir et à éjaculer profondément fiché dans le petit cul de Harry.

    Les deux garçons se lavèrent ensuite rapidement et sortirent des douches comme si de rien n’était.

« Oh, Harry, tu seras gentil de transmettre mon message de bienvenue à Katie, s’il te plaît. Je te laisse choisir la manière que tu préfères.

_ Avec plaisir, répondit Harry. Je pense qu’elle voudra te transmettre ses remerciements.

_ Et je les acceptent volontiers, du moins si elle ne change pas de messager. »

Harry acquiesça avec un sourire. Il allait pour retrouver Ron dans la salle commune lorsque lui vint l’envie de donner immédiatement le message d’Olivier à Katie. Il changea de chemin et se mit en quête de retrouver les trois jolies poursuiveuses de Gryffondor. Il jeta un coup d’œil à l’extérieur et vit qu’il n’y avait plus aucune lumière dans les vestiaires du terrain de Quidditch. Les filles devaient donc être rentrées, ou alors elles avaient créé une atmosphère très intime. Guidé par son imagination, le sang de Harry ne fit qu’un tour. Mais il voulut être sûr que les filles ne seraient pas au château avant de sortir. Il visita discrètement plusieurs toilettes de filles et s’approcha même des douches dans lesquelles les garçons ne pouvaient entrer.

    Harry allait pour sortir du château lorsqu’il entendit un bruit venant d’une porte sur sa gauche. C’était la salle des cours d’enchantements. Harry regarda discrètement par la serrure. Elles étaient là. Toutes les trois dans la classe déserte. Elles étaient étroitement enlacées et leurs mains ne servaient pas à réviser quelque enchantement si ce n’était celui du corps. Le petit garçon ne put résister à l’envie de s’approcher encore. Il poussa lentement la porte et se faufila à l’intérieur. Il prit mille précautions pour refermer l’entrée puis, courbé autant qu’il le pouvait, il s’approcha à pas de loup du trio enflammé. Harry se recroquevilla derrière une table et avait une vue imprenable sur le tendre spectacle. Du reste, il s’aperçut bien vite que les filles étaient bien trop occupées pour se soucier de quoi que ce soit, même si un éléphant avait fait irruption dans la salle. En les observant, le petit garçon sentit son membre commencer à lui faire mal dans l’étroitesse de son pantalon. Il le dégagea et se caressa sans perdre une miette de ce qui se passait un peu plus loin.

    Angelina et Alicia entouraient la petite Katie, visiblement ravie de reprendre le jeu débuté dans les vestiaire. Les troisième années avaient chacune passé une main sous la jupe de la fillette et les gémissements de cette dernière ne laissait aucun doute de ce qui se passait sous l’étoffe légère. Katie embrassait passionnément la jeune noire qui lui faisait face tandis qu’elle passait les mains sous la culotte d’Alicia dans son dos pour caresser son petit cul. De sa main libre, Angelina commençait à dégager la poitrine naissante de la petite nouvelle sans jamais se séparer de ses lèvres. La jeune blonde quant à elle faisait peu à peu glisser la petite jupe le long des jambes de Katie et ne se privait pas de caresser ses douces cuisses. La fillette ne semblait plus savoir quoi faire de ses mains. L’une restait dans la petite culotte d’Alicia et l’autre s’aventurait sous la chemise de la jeune noire, remontant le long du ventre pour explorer sa belle poitrine.

    Katie était désormais complètement nue entre ses deux partenaires. Angelina tira sa baguette magique d’une poche et fit apparaitre une grosse couverture moelleuse sur le sol. La fillette s’y allongea avec joie et savourait la douceur du tissu sur sa peau tandis que les deux troisième années se déshabillaient. Elles rejoignirent leur partenaire sur la couverture et s’enlacèrent avec passion. La petite nouvelle se jeta sur le doux coquillage de la jeune noire auquel elle n’avait pas encore gouté et investit les deux orifices intimes de ses doigts agiles. Angelina avait du mal à retenir des cris de jouissance sous la capacité innée de Katie à donner du plaisir. Alicia s’était placée derrière la fillette et masturbait son petit coquillage avec tendresse tout en titillant son puit secret de sa langue. Angelina et Katie ne tardèrent pas à jouir et se serrèrent passionnément l’une contre l’autre tandis que leur jus de plaisir s’écoulaient sur leurs ventres et leurs cuisses. Alicia attrapa sa baguette et prononça une formule compliquée qui fit apparaitre un gode ceinture à deux branches, muni d’un troisième sexe factice vers l’intérieur. La jeune blonde l’enfila, insérant le membre intérieur dans son intimité puis s’agenouilla derrière les deux autres filles qui se faisaient face. Alicia écarta les cuisses d’Angelina, prit appuie sur le petit cul de Katie et pénétra d’un grand coup de rein les sexes de ses deux compagnes. Les filles crièrent leur plaisir sous la surprise et s’embrassèrent longuement tandis qu’Alicia s’activait de plus belle dans leurs ventres. Elles jouirent toutes trois à répétitions alors que la jeune blonde ne mollissait pas dans ses assauts. En fin de compte épuisée, Alicia se laissa tomber sur la couverture dans un dernier râle de plaisir. Angelina fit disparaitre la ceinture et posa ses lèvres sur l’un des seins de son amie tandis que Katie l’imitait avec l’autre. Les doigts des deux jeunes filles descendirent vers le doux coquillage doré et s’emmêlèrent dans l’intimité ruisselante.

    Les trois amantes se caressèrent et s’embrassèrent avec tendresse tout en reprenant un peu de leurs forces. Elles finirent par se rhabiller, firent disparaitre la couverture et sortirent de la salle. Harry se releva enfin, un peu courbaturé mais ravi. Jugeant qu’il serait totalement inefficace de passer le message d’Olivier après ce qu’il venait de voir, Harry se décida à retrouver son capitaine et à lui transmettre le remerciement que Katie aurait surement voulu lui donner.