Poudlard secret : Le monde caché de Harry Potter

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Histoire N°6 : La fin des buses

Publié le lundi 2 février 2009

La fin des BUSE

Une aventure sexuelle de Harry Potter en 5e année

Avec : Harold Dingle, Katie Bell, Angelina Johnson, Alicia Spinnet et Dennis Crivey.

« Quoi ? 2 gallions et 6 mornilles la bouteille ? Tu te moques de nous Harold ? »

Dean Thomas regardait Harold Dingle comme s’il venait de lui pousser des verrues sur le visage. Mais Harold lui souriait toujours d’un air goguenard.

« Si tu crois que c’est facile de se procurer du Whisky Pur Feu au marché noir, tu peux toujours te débrouiller tout seul, Thomas. Mais moi j’en ai déjà deux caisses pleines qui attendent de participer à votre petite fête. Mais peut être vous contenterez-vous d’en rester à la bièraubeurre ?

_ Mais on aura plus rien pour acheter autre chose ! Intervint Seamus Finnigan.

_ Allons, allons, les gars ! Je ne suis pas sans cÅ“ur vous savez. Je peux vous faire crédit. Je suis encore là pour l’année prochaine. Vous aurez tout le temps de me payer.

_ Tu es malade ! Reprit Dean l’air toujours écÅ“uré.

_ Dans ce cas allez dire à tous ceux à qui vous avez promis une fête pour la fin des BUSE qu’ils n’ont plus qu’à se contenter de jus de citrouille. Il ne faut pas essayer de jouer aux héros quand on en a pas les moyens. »

Dean et Seamus se regardèrent inquiets puis Dean dit d’une voix sombre.

« D’accord Harold. On s’arrangera pour te payer la suite après les vacances. Mais j’espère pour toi que ce n’est pas du jus de troll.

_ T’inquiète pas, répondit Harold en agitant sa baguette et en faisant apparaitre deux petites caisses tintants dans un bruit de verre, si je vous vendais un mauvais produit je n’aurais pas accepté de rester à votre fête.

_ Mais jamais on ne t’a pas demandé de… , commença Seamus

_ Bon ! Coupa Harold. Amenez ces caisses à vos camarades. Ils doivent être impatients. »

Harold passa entre les deux gryffondors ahuris et alla rejoindre les autres membres de la maison qui criaient et chantaient joyeusement pour célébrer la fin des examens. Des feuxfous fuseboum, commandés par hibou express auprès des jumeaux Weasley, rebondissaient sur les murs et frôlaient les visages des élèves. Plusieurs cadavres de bièraubeurre trainaient déjà sur les tables et les caisses de Whisky Pur Feu furent ouvertes par Seamus et Dean sous les acclamations de tous les autres.

    La soirée avançait et de nombreux visages étaient rouges sous les effets de l’alcool qui coulait encore à flot. Parvati et Lavande riaient aux éclats en regardant Lee Jordan faire une imitation impressionnante de Dolores Ombrage fulminante après la nomination de Firenze le centaure au poste de professeur de divination. Colin Crivey était allongé en travers d’un fauteuil et gloussait tout seul, une bouteille de bièreaubeurre à la main. Dean et Seamus avaient défié un garçon de sixième année à qui boirait le plus et avalaient les verres les uns après les autres sous les regards admiratifs de quelques filles de deuxième année qui étaient sagement restées au jus de citrouille. Harold s’était rapproché de Katie Bell qui s’avançait d’un pas peu sûr vers une chaise. Ils se connaissaient car ils étaient tous deux en sixième année et avaient de nombreux cours en commun. Harold attrapa le bras de Katie et l’amena jusqu’à la chaise.

« Merci… Harold ! Hoqueta-t-elle.

_ Je t’en prie, fit-il en attrapant un verre et une bouteille. Tiens ! Prend un peu de Whisky, ça va te requinquer.

_ Non… je préfère pas. J’ai déjà trop… trop bu. Je… je vais aller me coucher.

_ Allez ! Tu sais que c’est moi qui aie réussi à en ramener. Tu me ferais plaisir.

_ Bon, d’accord. Mais juste… un petit. »

Harold lui donna le verre et attendit qu’elle l’ait bu entièrement. Puis elle voulut se relever pour rejoindre son dortoir mais retomba lourdement sur la chaise.

« Je crois que je ferai mieux de t’aider. Tu nous feras une mauvaise chute dans les escaliers sinon. »

Il aida Katie à se lever puis la soutint d’un bras autour de la taille et passa l’un des bras de la jeune fille autour de ses épaules. Ils traversèrent la salle d’un pas chancelant tandis que tous les autres continuaient de faire bruyamment la fête.

    Ils se retrouvèrent dans la pénombre de l’escalier et commencèrent à monter lentement. Katie avait du mal à garder ses yeux ouverts et elle ne remarqua même pas que le toboggan qui devait repousser les garçons ne s’étaient pas déclenché, signifiant qu’ils n’allaient pas vers les dortoirs des filles. Elle ne remarqua pas non plus la main qui avait glissé de sa taille jusqu’à son sein et qui le palpait avec avidité. Ils entrèrent dans un dortoir et Harold déposa la jeune fille sur un lit. Puis il referma la porte et pointa sa baguette magique sur celle-ci en prononçant :

« Collaporta »

Un bruit de succion lui indiqua que la porte était désormais scellée. Il se retourna, rangea sa baguette et s’assit sur le lit. Il empoigna les seins de la jeune gryffondor avec vigueur et les massa à travers la robe. Katie sembla vouloir ouvrir les yeux mais, comme si ses paupières étaient de plombs, elle n’y parvint pas.

« Je crois que tu as trop bu ma belle. Depuis le temps que j’attendais une occasion comme celle-là. Dommage que tu ne sentes rien. Mais je m’en contenterai. »

Il pinça fortement l’un des seins entre ses doigts. Katie remua un peu sous la douleur mais ne se réveilla pas.

    Harold se leva et commença à déshabiller la jeune fille inerte. Il la secouait sans ménagement pour faciliter sa tâche, savourant l’absence totale de réaction. Il la contempla un instant alors qu’il ne lui restait plus que ses sous-vêtements et commença à caresser l’entrejambe à travers la petite culotte qui s’humidifia rapidement. Katie poussa un petit gémissement mais ne bougeait toujours pas. De son autre main, Harold arracha violemment le soutien gorge. Il se pencha sur la poitrine nue et se mit à la lécher avec empressement. Il mordillait les petits tétons dressés en guettant les réactions de sa partenaire involontaire. Mais elle ne faisait pas le moindre mouvement. Il se releva soudainement et prit le soutien gorge par le milieu. Il le leva et l’abaissa brutalement sur la poitrine de la jeune fille. Les élastiques aux bouts de plastique cinglèrent la peau en deux trainées rouges. Il frappa plusieurs fois les seins et enfonçait trois doigts avec frénésie dans le trésor intime de la jeune gryffondor. Elle avait le visage crispé mais les effets de l’alcool la tenaient toujours endormie.          Harold jeta le soutien gorge et retira la petite culotte. Il caressa les cuisses très douces puis les écarta en sentant une légère résistance de la jeune fille. Il s’allongea sur elle et souleva sa robe de sorcier jusqu’à la taille. Il dégagea son sexe gonflé et le guida à l’entrée du coquillage de la belle endormie. Il pénétra le sexe sans ménagement et Katie poussa un nouveau soupir de dépit. Harold s’accrocha durement à ses seins et se mit à s’activer dans son ventre avec force. Il ne prêta pas attention aux faibles gémissements de protestation de la jeune gryffondor et s’approcha de son oreille.

« Ah ! Katie ! C’est trop bon. Je suis sûr que tu aimes ça aussi. Mmmmh ! Oui ! Tu n’attendais que ça, c’est certain. Tu es une petite vicieuse. Et même une belle salope. Je m’en doutais dès que je t’ai vu la première fois. Quel gâchis d’avoir attendu tout ce temps. Mais je… ooooh… je… je viens déjà. Allez ! Prends tout salope ! »

Il s’activa plus rapidement pendant quelques secondes puis donna un dernier coup de rein brutal et se répandit dans le ventre de la jeune fille.

Il se mit à lécher le visage fin de la belle endormie. Harold voulut l’embrasser mais les lèvres de Katie étaient closes. Il fit une pression avec deux doigts de chaque côté de la bouche pour l’entrouvrir et y enfouir sa langue qui ne rencontra aucune sorte de réaction. Il eut alors une idée et se redressa un peu pour dégager son membre viril du ventre de Katie. Il se mit à genoux au-dessus d’elle et s’assit sur sa poitrine, ressentant un certain plaisir en écrasant les seins fermes sous ses fesses. Il posa une main derrière la tête de la jeune fille et la releva tandis qu’il saisissait son dard de son autre main. Il caressa le visage avec le bout de son gland encore poisseux puis il s’arrêta devant les lèvre entrouvertes. Il appuya sur les joues pour les écarter encore plus et introduisit son sexe dans la bouche involontairement offerte. Il maintenait la tête en donnant de petits coups de reins, sentant avec extase les seins rouler sous les frottements de ses fesses. Katie remuait légèrement. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais l’alcool l’empêchait de réagir. Harold reposa la tête sur l’oreiller, la renversant un peu vers l’arrière, et se positionna plus haut vers la tête de lit, son bassin juste au-dessus du visage de la jeune fille. Il put ainsi donner de plus grand coup de reins et s’enfoncer plus profondément dans la petite bouche. Son corps se raidit soudain et il se déversa dans la gorge de la jeune gryffondor. Il pinça le nez de Katie, l’obligeant à avaler sa semence pour pouvoir respirer.

Elle hoqueta et ouvrit un peu plus les yeux. Harold se retira et attrapa sa baguette magique.

« Désolé ma belle. Mais je n’en ai pas encore finit avec toi. »

Il fit apparaitre une bouteille de whisky dont il restait un fond et força la jeune fille à l’avaler en comprimant à nouveau son nez. En quelques minutes, Katie retomba dans sa léthargie. Harold se leva et retourna le corps endormit sans ménagement. Il introduisit alors trois doigts dans le sexe de la jeune gryffondor et son pouce dans le petit anus. Il massa quelques instants les deux orifices, pinçant la fine paroi qui les séparaient, puis attrapa deux coussins. Il souleva le bassin de Katie avec les doigts enfouis en elle et positionna les coussins sous son ventre de son autre main. Le petit cul de la jeune fille était ainsi totalement offert. Harold saisit la bouteille vide et fourra le goulot dans le trésor intime de la dormeuse. Katie fut parcourue d’un frisson au contact du verre froid dans son intimité, faisant quelques mouvements de va et viens sous les commentaires narquois du garçon.

« Alors ? Tu aimes ça ? Tu voudrais surement que j’aille plus loin. Mais on verra ça après. Pour l’instant j’ai l’impression que ton petit cul a besoin d’une vraie queue. Tu vas voir, c’est plus intéressant sans lubrifiant. »

Il lâcha la bouteille mais écarta des deux mains les jolies fesses de la jeune gryffondor, libérant une voie royale jusqu’au petit anneau. Il posa son gland contre celui-ci et força lentement l'entrée étroite. Mais il dû donner de nombreux coups de reins pour s’enfoncer peu à peu dans le petit cul.

« Ah ! Katie ! Ils ne doivent pas être nombreux à être passés par-là. Je suis peut être même le premier. C’est un honneur, je t’assure. »

Il se planta enfin entièrement entre les fesses de la jeune fille et savoura sa victoire quelques secondes avant de commencer de grands mouvements, sortant presque jusqu’au gland avant de retomber durement jusqu’à la garde. Le corps de Katie était parcouru de frissons à chaque violent coup de boutoir. Ses mains crispées s’accrochaient machinalement aux draps. Harold s’allongea sur la jeune fille et passa ses bras sous elle pour prendre ses seins. Il les pressait brutalement à chaque coup de rein, griffant la peau délicate. Il se figea soudain, poussant un cri tandis qu’il envoyait de longs jets de sperme dans le petit cul de la jeune gryffondor.

    Il cria si fort qu’il n’entendit même pas la porte du dortoir s’ouvrir soudainement, laissant apparaitre le petit Dennis Crivey, Alicia Spinnet et Angelina Johnson, le regard flamboyant et sa baguette levée. Elle pénétra dans le dortoir à grands pas tandis que Harold se retournait et les aperçut. Il dû se retirer de Katie avant d’essayer de bondir sur sa baguette magique mais Angelina l’avait déjà récupérée en lançant un sortilège d’attraction. Elle le pointa et prononça d’une voix forte

« Impedimenta ! »

Harold fut projeté au sol où il ne pouvait plus faire le moindre mouvement, le membre toujours dressé. Angelina se retourna vers le lit, faisant voler ses petites tresses africaines dans son dos. Alicia avait passer un bras autour des épaules de Katie et la redressa légèrement. Elle inspectait la poitrine malmenée de ses doigts sous les yeux écarquillés de Dennis Crivey.

« Qu’est-ce qu’il lui a fait ? Murmura Alicia

_ Je ne sais pas, répondit Angelina entre ses dents mais ça va se payer. »

La jeune noire retira la bouteille de Whisky du sexe de son amie d’un air dégoutté puis la brandit en direction de Harold.

« Toi tu ne paie rien pour attendre. On va d’abord s’occuper d’elle et ensuite on te fera passer l’envie de t’amuser sans le consentement des autres. »

Elle agita sa baguette et libéra le garçon du sortilège d’entrave mais des cordes s’enroulèrent aussitôt autour de lui et un bâillon lui enserra la bouche

    Alicia caressait toujours les blessures sur les seins de son amie et une bosse s’était formée sous la robe de Dennis qui ne s’en était même pas rendu compte, fasciné par le corps nu devant lui et des doigts qui le caressaient. Angelina pointa sa baguette sur Katie et marmonna une formule. Aussitôt cette dernière se réveilla en sursaut, les yeux grands ouverts. Elle avait un visage apeuré et jetait des regards frénétiques autour d’elle.

« Que… que s’est-il passé ? J’ai l’impression… j’ai senti que… »

Angelina lui expliqua tout alors que Alicia serrait son amie contre elle pour la rassurer.

« Dennis vous a vu par la serrure, expliquait la jeune fille noire d’une voix calme, et il est venu nous prévenir immédiatement. Et maintenant ne bouge pas. Je vais te soigner un peu mais tout ne redeviendra normal qu’au bout de quelques jours. »

Elle pointa à nouveau sa baguette magique sur Katie tandis qu’Alicia massait un sein avec un peu trop d’insistance pour simplement se rendre compte de ses blessures. Elle lança d’abord un sort de prévention pour empêcher son amie de tomber enceinte. Puis elle lança un sort de soin. Les marques sur la poitrine délicate s’effacèrent un peu. Katie parut contente mais Alicia était si heureuse qu’elle embrassa son amie à pleine bouche. Angelina caressa un sein en pinçant doucement un téton lorsqu’une étoffe tomba sur sa main. Dennis était aller chercher sa cape pour recouvrir Katie, alors que son visage complètement rouge montrait bien qu’il aurait préféré continuer de contempler le corps de la jeune fille. Angelina lui sourit d’un air bienveillant, reconnaissante de cette attention pour son amie. Puis elle se tourna vers Harold.

    Celui-ci la regardait d’un air apeuré et les yeux de la jeune noire, remplit d’une colère froide, lui donnait amplement raison. Elle se positionna devant lui, juste à ses pieds.

« Alors comme ça tu te permet de violer ma copine ? Sous prétexte qu’elles ont bu un verre tu crois que toutes les filles sont pour toi ? Mais des tonneaux entiers de liqueur de pissenlits rouges n’y suffiraient pas. Je plains les pauvres imbéciles qui ne peuvent coucher avec quelqu’un qu’en les faisant boire. J’espère que tu la trouvais jolie au moins. Et moi ? Comment tu me trouves ? »

Harold fut tellement surpris par la question qu’il crut avoir mal entendu. Mais Angelina avait abandonné son air colérique pour une figure de petite fille angélique et cambrait les reins en croisant ses mains derrière la tête, faisant ressortir sa belle poitrine.

« Oh ! Tu ne verras rien avec tout ça. »

La jeune noire enleva alors sa robe de sorcier, dévoilant des vêtements très sexy, moulant parfaitement son corps de rêve. Harold n’en croyait pas ses yeux et il sentit son sexe se remettre à durcir. Et soudain il comprit le piège que lui tendait la divine jeune fille. Les cordages étaient si serrés qu’il n’y avait même plus de place pour son érection. Il sentait même les cordes l’enserrer un peu plus tandis que son membre gonflait. Son sexe était pris dans un véritable étau et il commençait à avoir mal.          Angelina continuait son strip-tease de plus en plus langoureux et le garçon avait du mal à ne pas la regarder. Alicia, un sourire aux lèvres, alla rejoindre son amie pour lui retirer lentement ses sous-vêtements et en profiter pour caresser sa peau. Katie tourna la tête vers Dennis Crivey, subjugué par le corps de déesse de la jeune noire qui se dévoilait peu à peu.

« Alors c’est grâce à toi que j’ai été sauvée ? Viens près de moi ! J’ai besoin d’un peu de tendresse après tout ça. »

Le garçonnet détacha péniblement son regard d’Angelina et s’approcha du lit.

« Oh la la ! On dirait que ma copine te fait de l’effet. Mais toi tu n’es pas attaché, tu ferais bien de le laisser respirer. »

Sans laisser Dennis comprendre ce qu’elle venait de dire, Katie glissa une main sous la robe de sorcier et ouvrit le pantalon du petit garçon avec dextérité. Elle attrapa le jeune sexe tendu et le caressa avec douceur. Elle lui fit enlever complètement sa robe de sorcier et tous les vêtements qu’il portait en dessous. Elle embrassa tendrement le ventre du garçonnet qui frémit lorsqu’il sentit les lèvres de la jeune fille descendre peu à peu sur son bas ventre.

    Dennis pensa avoir surement atteint le paradis, ou en tout cas ce qui s’en rapprochait le plus, en contemplant Angelina et Alicia se caresser langoureusement avec de petits gémissements de plaisir tandis que Katie refermait ses douces lèvres sur son gland surchauffé. Sans vraiment savoir ce qu’il faisait, il posa fébrilement les mains sur la tête de la jeune fille et caressa timidement ses cheveux. Il ne parvenait pas à croire que trois des plus belles filles parmi toutes celles de Poudlard étaient devant lui, dont l’une le suçait et les deux autres se caressaient. Au sol, Harold gémissait également mais de dépit. Dans sa position il ne parvenait pas à tourner la tête pour échapper au spectacles des deux graciles gryffondor étroitement enlacées. Il essayait de garder les yeux fermés mais les soupirs et les petits cris des filles annihilaient toute sa volonté et il les rouvrait invariablement à chaque essai.

Dennis sentit un petit courant d’air froid sur son sexe et remarqua soudainement, comme sortant d’un rêve, que Katie avait relâché son membre. Elle se tenait sur le côté et souleva la cape pour laisser apparaitre son corps magnifique en murmurant :

« Viens ! »

Le petit gryffondor ne se le fit pas répéter. Il s’allongea tout contre la jeune fille tandis qu’elle l’enveloppait également dans l’étoffe noire dont seules les têtes, et dans le cas de Katie, les pieds, dépassaient. Elle l’embrassa alors avec tendresse et caressa le petit corps qu’elle sentait tremblant. Bien qu’il y eut suffisamment de place sous la cape, Dennis sentit son sexe se durcir tellement qu’il eut l’impression d’être lui aussi entouré de cordes. Son membre était tout contre le ventre doux et chaud de Katie qui passait désormais sa langue sur son cou et ses mains sur son dos et ses petites fesses. Les seins de la jeune fille s’écrasaient sur son torse et il avança une main pour les caresser. Sa partenaire s’écarta un peu en souriant pour l’encourager. Elle en profita pour glisser sur ses hanches du bout des doigts et attraper le pieu de chair fièrement dressé. Elle massa le membre viril avec tendresse tandis que le petit garçon approchait avec lenteur sa bouche des tétons érigés. Il lécha la belle poitrine de la jeune fille à petits coups de langue timide et Katie gémissait en lui demandant de continuer. Dennis pris alors le bout d’un sein dans la bouche et se mit à téter avec plus de vigueur tandis qu’il descendait sa main vers le bel abricot de son amante. Il passa ses doigts sur le petit clitoris, sentant la jeune fille frémir, puis fit entrer son majeur entre les douces lèvres intimes mais n’osant pas aller trop loin. Katie savoura pendant quelques minutes les efforts du garçonnet pour la satisfaire sans cesser de le caresser. Puis elle l’obligea avec douceur à s’allonger sur le dos tandis qu’elle se positionnait sur lui. Elle se redressa pour se trouver à genoux au-dessus de lui, le dos vouté maintenant la cape autour d’eux comme une petite tente. Elle lui sourit tandis qu’il reprenait les caresses sur ses seins et qu’elle prenait son membre pour le diriger lentement vers son trésor intime. Ils poussèrent un gémissement mutuel lorsque leurs sexes ne firent plus qu’un. Katie se soulevait et s’abaissait lentement pour que son jeune amant savoure pleinement cet instant. Les doigts de Dennis s’étaient crispés sur sa poitrine tant il éprouvait de plaisir. Il reprit un peu ses esprits et la caressa à nouveau avec des gestes plus surs et plus langoureux.

    Pendant ce temps, Alicia s’était adossée contre le mur et Angelina, agenouillée devant elle, léchait consciencieusement son petit coquillage. Harold avait une vue imprenable sur le petit cul de rêve de la jeune noire qui se trémoussait langoureusement en accompagnant les coups de langues et les caresses. Il sentait presque les cordes lui rentrer dans la peau tant son sexe était dur. Il n’aurait même pas pensé être capable d’une telle érection. Mais actuellement, il ne s’en réjouissait pas. Les filles s’approchèrent de lui et il essaya encore fébrilement de fermer les yeux. Il entendait les gémissements encore plus forts et plus excitants. Angelina prit une petite voix fluette et vicieuse.

« Alors ? Tu n’as pas envie de voir ma copine et moi en train de se doigter ? Ne me dis pas que ça ne te plait pas ? »

Harold aurait été bien incapable de dire quoi que ce soit lorsqu’il rouvrit les yeux, même s’il n’avait pas eu de bâillon. Les deux filles étaient collées l’une à l’autre, s’embrassant à pleines bouches, leurs seins s’écrasant mutuellement. Elles avaient légèrement écarté leurs bassins en cambrant les reins pour laisser leurs mains aller librement sur le sexe de l’autre. Elles les caressaient avidement et les pénétraient langoureusement avec deux ou trois doigts. Leurs mains libres se promenaient sur leurs fesses et titillaient leurs petit anus avant d’y plonger chacune un doigt. Les deux filles poussaient de petits cri aigus mais ils furent couverts par le hurlement étouffé de Harold qui n’y tenait plus.

    Angelina libéra la bouche d’Alicia et s’exclama d’un air triste qui aurait eu l’air très convaincant si un petit sourire n’était pas apparu sur ses lèvre :

« Oh mon pauvre !  Tu dois avoir bien mal là-dedans. Mais je ne sais pas si je dois déjà te libérer.

_ Peut être que nous pourrions quand même le soulager un peu, fit Alicia d’un air accablé tout aussi faux que celui de son amie.

_ Oui. Après tout nous ne sommes pas des monstres. »

Les deux filles s’agenouillèrent de chaque côté de Harold et se penchèrent vers son bassin et la grosse bosse qui soulevait péniblement le cordage. Elles passèrent toutes deux leurs langues le long du membre gonflé mais les cordes étaient trop épaisses pour que le garçon sente quoi que ce soit. Par contre, en les regardant faire, il sentit son membre se gonfler encore un peu plus et cria de plus belles alors que les filles s’embrassaient tendrement au-dessus de son ventre.

« Je crois que ce n’est pas la bonne solution, Alicia. Il faudrait essayer autre chose.

_ Peut être que si on lui montrait ce qu’il a envie de faire, ça le calmerai.

_ On peut toujours essayer. Mets-toi en place. »

Alicia s’assit juste en dessous de l’érection d’Harold et s’allongea sur le dos, sa tête arrivant juste sous le menton du garçon. Elle prit un air faussement inquiet.

« Ã‡a va ? Je ne suis pas trop lourde ?

_ Tu es parfaite comme ça. N’est-ce pas Harold ? »

Angelina s’assit sur les tibias du garçon et se pencha en avant. Elle posa tendrement sa bouche sur le trésor intime de sa camarade et sortit sa langue pour l’enfoncer du plus profondément qu’elle pu. Alicia gémissait de plaisir en plaquant une main sur la tête de son amie. Elle se tortillait avec frénésie sous les caresses expertes de la jeune noire et ses reins se frottaient contre la bosse sous les cordes en un rythme démentiel. Harold ne pouvait croire que son érection et sa douleur puissent encore croitre. Alicia se caressait les seins de sa main libre et posait sa tête contre son épaule pour que le garçon ne manque rien du spectacle.

    Dennis et Katie avait retiré la cape qui leur tenait maintenant trop chaud. La jeune fille ruait plus rapidement, étonnée que son jeune amant soit déjà si endurant. Elle le sentait toutefois proche de la jouissance et elle accéléra encore le rythme pour l’envoyer au septième ciel. Dennis se crispa et s’accrocha durement aux seins de son amante lorsqu’il lâcha enfin de longs jets de semence en elle. Katie s’arrêta et savoura la liqueur de jouissance qui se répandait dans son ventre. Au contact du liquide doux et chaud, elle sentit le plaisir l’envahir également et poussa un cri reconnaissant en s’écroulant sur le petit garçon. Celui-ci chercha ses lèvres avec sa bouche et l’embrassa doucement. Mais la jeune fille ne comptait pas en finir si vite. Elle glissa lentement vers le petit dard encore tendu et l’enfouit dans la bouche pour le nettoyer consciencieusement. Dennis dû se retenir de ne pas jouir une nouvelle fois si vite lorsque Katie libéra son membre pour gouter aux deux petites bourses avec ses lèvres et sa langue. Le petit gryffondor se contractait pour retenir le plaisir le plus longtemps possible. Il plia les jambes ce qui releva involontairement son bassin et la bouche de la jeune fille rencontra le puit secret. Elle n'hésita pas un instant et explora en profondeur le petit anus de sa langue agile. Mais s’en était trop pour Dennis qui poussa un cri en se répandant sur les cheveux de sa compagne. Il voulut s’excuser mais celle-ci continua son affaire sans faire attention et en caressant de ses mains le ventre et la peau douce du garçonnet. Puis elle se glissa vers sa tête, prenant bien soin que tout son corps caresse celui du petit garçon , et lui dit à l’oreille :

« Moi aussi j’aime bien cet endroit. Si tu veux essayer. »

Avec un petit sourire elle se mit à quatre pattes au pied du lit et présenta sa magnifique croupe au petit gryffondor. Celui-ci se releva prestement et, voulant rendre la politesse à son amante, écarta les superbes fesses pour poser sa langue sur le puit secret. Il était moins doué que Katie dans cet art délicat et il compléta ses caresses en introduisant trois doigts dans le trésor intime de la jeune fille qui haletait de plaisir. Dennis se redressa mais il était si petit qu’il était presque debout pour mettre son sexe à la hauteur de l’anus de sa partenaire. Il posa son gland contre le petit anneau mais eu peur de pénétrer la jeune fille trop violemment. Katie sentait qu’il voulait entrer en elle avec douceur mais le puit secret, trop étroit, refusait de le laisser entrer. Elle posa son torse sur le matelas et lança ses bras en arrière pour attraper les hanches de Dennis. Elle le tira alors à elle d’un coup et il s’introduisit dans le joli petit cul jusqu’à la garde. Katie se redressa et s’accrocha à la barre en bois du baldaquin tandis que le petit garçon donnait de vigoureux coups de reins.

    Angelina avait fait jouir plusieurs fois Alicia qui se trémoussais à chaque fois avec force sur Harold lorsqu’elle envoyait une quantité de jus de plaisir dans la bouche de son amante. Angelina se décida toutefois à arrêter et partit chercher sa baguette magique ainsi que celle d’Alicia. Elle pointa la sienne sur celle de son amie qui s’illumina et s’allongea soudain en forme de phallus. Des lanières de cuir firent leur apparition à l’arrière et la jeune noire se retrouva bientôt avec un gode ceinture à la main. Elle l’enfila rapidement sous le regard d’envie d’Alicia qui se caressait en l’attendant. Angelina s’agenouilla à hauteur des cuisses de Harold et s’allongea sur son amie.

Les deux filles s’embrassèrent langoureusement tandis que la jeune noire positionnait correctement le membre de bois qui se frotta contre celui de chair emprisonné. Puis Alicia poussa un cri aigu, juste à côté de l’oreille de Harold, lorsque le gode entra en elle. Angelina ne ménageait pas ses efforts car elle savait que son amie aimait la sexualité plutôt « Ã©nergique » et elle donnait de grands coups de reins dans le sexe déjà ruisselant de quantité de liqueur intime. Alicia se cambrait avec force comme si son corps ne pouvait plus contenir autant de plaisir puis elle s’affaissa soudain en hurlant de bonheur et attirant son amante à elle. Elle l’embrassa fougueusement pour la remercier et lui murmura à l’oreille :

« Tu réussis toujours à me faire jouir de plus en plus fort après tant de temps passer ensemble. Je t’en prie, mon ange, continue. Encore. »

Angelina lui sourit et recommença alors ses va et viens en allant d’abord très lentement puis de plus en plus vite. Elle caressa les magnifiques seins de son amie et laissa sa langue s’y promener, appréciant les gémissements de plaisir que cela procurait à sa compagne. Alicia l’entoura tendrement de ses bras. Elle posa une main sur les longues et fines tresses africaines qui lui chatouillaient agréablement la poitrine et le ventre tandis que son autre main caressait toutes les parties qu’elle pouvait atteindre du corps somptueux qui lui donnait tant de plaisir.

Alicia avait jouit plusieurs fois avec force lorsqu’un grand tremblement envoya les filles au sol. Elles avaient complètement oublié Harold qui ne pouvait plus se tenir tant son membre le faisait souffrir. Angelina attrapa sa baguette magique et l’agita en direction des cordes qui se détendirent un peu et calmèrent la douleur du garçon.

« Je pense que tu as compris la leçon, Dingle. Mais j’aimerai mieux en être sûre. »

Elle agita à nouveau sa baguette et Harold se retrouva à genoux, le torse contre le sol, les fesses levées. Les cordes s’écartèrent pour laisser apparaitre son cul. Avec un petit sourire, la jeune noire ramassa alors la bouteille de Whisky vide et déclara d’un ton ferme :

« Je crois que c’est ce que tu voulais faire à ma copine. Voyons un peu si tu aimes ça toi aussi. »

Restant sourde aux supplications étouffées du garçon, Angelina s’approcha de lui et posa le goulot entre ses fesses. Elle appuya alors avec force sur la bouteille qui pénétra profondément dans l’anus, arrachant un cri de douleur à Harold qui s’écroula sur le sol de côté.

« Bien ! Je te laisse le temps de réfléchir à ce que tu as fait pendant que mes copines et moi on s’amuse. Ensuite j’aurai peut être la bonté de te libérer. »

    Angelina laissa le garçon sur le sol et se tourna vers le lit. Dennis était allongé de tout son long sur le lit et tenait les haches de Katie qui était assise sur lui de dos. Alicia s’était mise en face de son amie, entre les jambes du petit garçon, et savourait le coquillage libre et trempé. La jeune noire s’avança vers eux et contempla le petit cul de Alicia qui se trémoussait de plaisir. Angelina caressa les jolies fesses offertes puis elle attrapa les hanches fines et positionna le gode contre le petit anneau. Alicia n’attendit pas et s’empala elle-même d’un grand coup de rein sur le membre de bois en poussant un râle de plaisir. Katie se pencha vers Angelina et caressa sa poitrine si incroyablement belle et douce. La jeune noire avança la tête et embrassa fougueusement son amie.

« J’espère que tu feras plus attention la prochaine fois, lui dit-elle. Nous ne serons peut être pas toujours là pour t’aider.

_ J’espère qu’Alicia et toi serait toujours près de moi. Mais c’est promis, je ferais attention. »

Katie embrassa à nouveau son amie et posa sa main sur le gode pour ajouter deux doigts dans le petit cul de Alicia. Celle-ci répondit positivement en ruant de plus belle. Mais elle avait également eu une idée et enfonça son majeur dans le puit secret de Dennis. Ce dernier fut surpris par la soudaineté du geste mais apprécia la douce masturbation de son petit anneau. De son autre main, Alicia pénétra tendrement le sexe de Katie et posa sa langue sur les bourses du petit garçon. Ce dernier ne put se retenir cette fois-ci et se répandit dans le petit cul de Katie. Celle-ci, en sentant son dos inondé d’une douce chaleur, jouit également avec force et plaqua le visage de Alicia sur son sexe qui déversait de grande quantité de jus de plaisir. Alicia ne perdit pas une gorgée de la liqueur intime de son amie et se sentit venir également tandis que le membre de bois se figeait entre ses petites fesses.

    Angelina prononça rapidement une formule qui fit disparaitre les lanières de cuir autour de ses hanches. Le gode resta toutefois, profondément enfoncé dans le cul d’Alicia qui s’allongea face sur le lit en ronronnant de plaisir. Katie se coucha sur son amie et lui lécha ses jolies fesses en titillant le membre de bois. La jeune noire se leva en contemplant ses camarades d’un air attendrit. Puis elle prit Dennis par la main et l’emmena sur le lit d’à côté.

« Avec tout ça, fit la jeune noire, je n’ai pas pu jouir moi. Qu’en dis-tu Dennis ? Tu te sens encore capable de t’occuper de moi ? »

Même si Poudlard était en train de s’effondrer, rien n’aurait pu empêcher Dennis Crivey de se sentir aussi heureux en ce moment-là. Angelina était si belle qu’il n’aurait jamais imaginé faire l’amour avec quelqu’un qui lui serait à peine arrivé à la cheville. La jeune noire au corps de déesse que tous les garçons regardaient avec envie et désespoir se tenait devant lui, prête à l’accueillir. Il s’avança vers elle et, bien que la vue de son corps irréel lui ait suffit pour avoir une nouvelle érection, elle l’allongea doucement sur le lit et prit son membre dans sa bouche. C’était, de loin, la meilleur sensation qu’il eut connut ce soir là. Il tourna la tête vers Alicia et Katie. Les deux filles avait transformé le membre de bois en double gode et l’avait fait pénétrer dans leurs petits coquillages inondés de plaisirs. L’une sur l’autre, elle se trémoussaient en frottant leurs belles poitrines avec attention.

    Dennis sentit les lèvres d’Angelina quitter son sexe qui fut aussitôt entouré de quelque chose de doux et chaud. La jeune noire avait enfermé le membre viril entre ses seins divins et elle les faisait monter et descendre sur tout le long du pieu de chair. A la vision de son sexe entouré de la sublime poitrine d’Angelina, Dennis éjacula sans même sentir le coup venir. La si belle peau noire de la jeune fille fut striée de marques blanches jusqu’à la gorge.

« Je… Je suis… désolé, hoqueta Dennis d’un air terrorisé.

_ Ce n’est rien, Dennis, répondit Angelina en souriant, je t’assure. »

Pour joindre la parole et le geste, la jeune noire caressa le membre encore tendu et répandit ses derniers jets sur sa poitrine. Mais Dennis ne pouvait supporter d’avoir souillé si maladroitement tant de beauté. Il se jeta vers elle et avant qu’Angelina n’ait pu l’en empêcher, il se mit à lécher jusqu’à la moindre trace de sa semence. Il caressait et nettoyait les superbes seins avec beaucoup d’attention et la jeune noire poussait des gémissements de plaisir. Tout en laissant ses mains sur les deux globes de chair si doux, il remonta sa langue sur le cou puis sur le menton. Angelina baissa la tête et l’embrassa tendrement pour le remercier.

    Elle s’allongea sur le lit et lui lança un regard coquin. Dennis se coucha sur elle. Sa tête arrivait au niveau de la poitrine et il se remit à la lécher langoureusement tandis qu’Angelina amenait doucement son membre vers son trésor intime. Elle posa les mains sur ses petites fesses et tira un grand coup pour qu’il la pénètre entièrement. Le petit garçon était en extase. Il faisait des mouvements rapides tout en s’accrochant et en savourant les seins magnifiques de la jeune noire. L’une de ses douces mains parcourait tendrement son dos tandis que l’autre était toujours posée sur son cul et qu’un doigt indiscret caressait la raie. Il sentit bientôt deux grands doigts forcer son passage étroit et s’engouffrer plus profondément que ne l’avait fait Katie ou Alicia. Il s’activa plus rapidement encore, encouragé par les soupirs de plaisir d’Angelina. Soudain, la jeune noire cessa de remuer ses doigts dans le petit anus et se figea complètement. Elle poussa un grand cri et s’affala sur le matelas. Elle avait libéré le petit anneau mais continuait d’imposer un rythme à Dennis pour qu’il jouisse à son tour. Ce dernier se figea également quelques minutes plus tard et se répandit dans le ventre de la jeune fille, s’écroulant sur elle à bout de force.

    Le petit garçon, épuisé, se remit toutefois à jouer de sa langue sur les seins merveilleux tandis que la chambre raisonnait encore des cris de plaisir de Katie et Alicia qui semblait ne jamais pouvoir s’arrêter. Sans s’en apercevoir, Dennis s’endormit, confortablement installé entre les cuisses d’Angelina avec sa poitrine en guise d’oreiller. La jeune noire le serra tendrement dans ses bras, posa un baiser sur son front, et le garda ainsi, fiché en elle, contre la chaleur de son corps. Elle commençait également à somnoler lorsque la porte du dortoir s’ouvrit avec fracas et que l’on entendit de grands cris.

« Dennis ! Dennis ! Où es-tu ? La nuit ne fait que commencer et … »

Les cris se turent subitement. Le groupe de garçons de deuxième année qui venait d’entrer regardait successivement avec stupéfaction les deux filles avec leur gode double, Angelina qui tenait étroitement enlacé Dennis réveillé en sursaut et Harold, ligoté avec une bouteille de Whisky vide dans un endroit inapproprié. Angelina leur sourit tandis qu’Alicia s’était levée pour refermer la porte.

« Eh bien je crois en effet que la nuit ne fait que commencer les garçons. Votre silence va être dur à acheter. Mais je pense que nous avons de quoi vous convaincre. »

Histoire N°5 : La loi des sangs purs

Publié le lundi 2 février 2009

La loi des sangs purs

Une aventure sexuelle de Harry Potter en Troisième année

Avec : Harry Potter, Drago Malefoy, Vincent Crabbe, Grégory Goyle et deux filles de serpentard de première année.

    L’hiver était rude. Il neigeait et ventait fortement et les élèves de Poudlard qui étaient à Pré-au-lard ce week-end marchaient à pas vifs, le col de leur robe relevé. Ils se réfugiaient avec bonheur dans la salle accueillante des trois balais. Et c’est justement parce que tout le monde s’y trouvaient que Harry ne pouvait y entrer. Caché sous sa cape d’invisibilité, il n’avait aucune chance de se déplacer à l’intérieur sans se cogner contre quelqu’un. Ron devait l’attendre quelque part au milieu de la foule mais il ne pouvait même pas aller le prévenir. Harry aurait bien aimé pouvoir se débarrasser de la cape et entrer dans le pub comme n’importe quel autre élève. Mais l’absence d’autorisation de son oncle, la menace de Black sur sa tête et la surveillance dont il faisait preuve depuis l’en empêchait, à son plus grand regret.

Le vent sembla se calmer un peu et Harry décida de se promener un peu en attendant que Ron comprenne qu’il ne viendrait pas. Comme ils n’avaient pas fixé d’heure de rendez-vous précise, cela pourrait durer longtemps. Harry longea la rue principale. Il regardait avec envie les boutiques, décorées à l’occasion de Noël, et affichant chacune un parchemin pour la capture de Sirius Black. Sans Ron pour payer à sa place, il ne lui servait à rien d’entrer où que ce soit. Afin de ne pas gâcher totalement sa sortie, Harry se dirigea vers la cabane hurlante. Il n’avait pas eu le temps de bien la voir la première fois qu’il y était allé.

    Il arpentait un chemin totalement désert qui coupait dans un bois. Personne d’autre que lui n’avait marché dans la neige et il apprécia le calme de l’endroit uniquement dérangé par ses pas crissants dans la neige. C’est alors qu’il entendit un cri aigu venant de sa droite. Harry s’arrêta et tendit l’oreille. D’autres bruits indéterminés lui parvenaient dans la même direction. Intrigué, Harry s’enfonça dans le bois. En s’approchant, il constata qu’il s’agissait de bruits de voix. Il avançait avec une grande prudence, faisant attention de ne pas marcher sur des branches mortes ou tout autre chose qui l’aurait fait repérer. Avec lenteur, il déboucha sur une petite clairière dans laquelle s’élevait la voix traînante de Drago Malefoy, ce qui agaça grandement les oreilles de Harry. Il était bien sûr accompagné de ses deux acolytes Crabbe et Goyle. Tous trois ricanaient devant deux fillettes portant des uniformes de serpentard. L’une avait de longs cheveux blonds et l’autre des cheveux bruns assez courts. Harry ne les avait encore jamais vues, du moins à sa connaissance et, d’après leur jeune âge, il en conclut qu’il s’agissait de premières années. Les fillettes tremblaient comme des feuilles bien qu’elles soient correctement emmitouflées dans leurs capes et que des grands châles vert et argent leur mangeaient le bas de la tête. Elles fixaient de grands yeux effrayés sur les trois garçons qui leur faisaient face.

« Alors, petites garces, fit Drago Malefoy, un sourire mauvais aux lèvres, vous pensiez que nous vous avions oubliées ? Nous avons déjà rencontré la plupart de vos amies de première année. Nous avons forcé l’une d’elle à nous révéler que vous alliez à la cabane hurlante alors que nous vous avions dit de vous rendre dans le cachot de rangement des chaudrons. Mais vous n’êtes pas venues. Or nous n’aimons pas vraiment attendre, surtout pour rien. Votre attitude n’est pas celle de bonnes sangs pures. Nous allons devoir vous punir. »

La jeune serpentard aux cheveux blonds se recroquevilla sur elle même. Des larmes se mirent à couler sur ses joues et tombèrent en creusant de petits trous dans la neige étincelante.

« Je ne veux pas ! »

Elle avait parlé d’une si petite voix que Harry crut un instant qu’il s’agissait du sifflement du vent. Crabbe s’avança vers elle sur un signe de Malefoy et la gifla violemment au visage. Harry avait crispé ses doigts sur sa baguette tandis que la gamine se retrouvait étalée de tout son long dans la neige et que sa compagne tenait toujours debout avec dignité bien qu’elle fut trahie par ses tremblements de plus en plus agités.

« Tu n’as pas le choix, reprit Malefoy d’une voix dure tandis que Goyle s’avançait vers la seconde gamine pour l’empêcher de s’échapper. Tous les sangs purs de serpentard à Poudlard respectent la tradition depuis des siècles. Nous ne te laisserons pas la briser. »

Il fit un nouveau signe à Crabbe et Goyle qui attrapèrent les fillettes et tirèrent sur leurs vêtements, retirant d’un coup les châles et les capes et s’empêtrant ensuite dans les plis des robes pendant qu’elles se débattaient vainement. Harry n’arrivait pas à croire ce qu’il voyait. Il en était comme paralysé, son cerveau fonctionnant au ralenti tandis qu’il cherchait à comprendre ce qui se tramait sous ses yeux.

« Tous les premières et deuxièmes années doivent se soumettre aux désirs des élèves en années supérieures, reprit Malefoy, et ce une fois que les troisièmes années se sont occupés de leurs dépucelages. Tous les garçons sont passés entre les mains des filles de troisième année, mais nous nous avons pris du retard par votre faute. Il faudra en payer le prix. »

La petite brune jetait un regard implorant à Malefoy tandis que son acolyte remontait la robe sur son cou, révélant ses petits seins en coupole. A ses côtés, Crabbe retirait la petite culotte de la blonde en reniflant bruyamment, révélant une très légère toison aux reflets dorés.

    Lorsqu’elles furent toutes les deux entièrement nues, tremblants de tous leurs membres de peur et désormais de froid, Crabbe et Goyle les jetèrent brutalement face contre terre et posèrent un pied sur leurs reins pour les maintenir contre le sol gelé. Les gamines criaient en essayant sans succès de se relever. Harry avait du mal à se retenir d’intervenir. Mais s’il se faisait repérer trop tôt, il savait qu’il ne ferait pas le poids face aux trois serpentards. Et s’il était neutralisé, il ne pourrait plus rien faire pour les filles. Malefoy leva sa baguette et, d’un mouvement, réduit en lambeaux les vêtements sur le sol. Ils ne restaient que les deux baguettes des filles qui roulèrent sur la neige et s’arrêtèrent à quelques mètres de Harry.

« Voilà qui vous forcera à faire le voyage de retour au château de manière plus intéressante. Mais d’ici là, nous avons des affaires à régler. »

Il fit un signe à Crabbe et Goyle qui retirèrent leurs pieds des dos des fillettes. Celles-ci se redressèrent immédiatement, tout le devant du corps rougit par la morsure du froid, et se serrèrent instinctivement l’une contre l’autre à la recherche de chaleur. Mais, sur un autre signe de Malefoy, Crabbe et Goyle les séparèrent. Le premier emmena la petite blonde vers un rocher bombé à la lisière de la clairière tandis que l’autre amena la brune à Drago avant de rejoindre son acolyte. Malefoy attrapa la gamine par le bras et la força à regarder ce qui arrivait à son amie.

Les deux grands serpentards plaquèrent sans ménagement la fillette face contre le rocher dont le contact devait être particulièrement douloureux. La petite blonde se raidit et grimaça mais se retint courageusement de crier. Crabbe se positionna devant la tête de la jeune serpentard tandis que Goyle se plaça derrière elle. Tous deux remontèrent leurs robes sur leur ventre et dégagèrent leurs sexes. La fillette semblait terrifiée, son visage totalement crispé et sa bouche grande ouverte comme si elle poussait un hurlement rendu silencieux par la peur. Crabbe en profita pour fourrer son membre entre les lèvres maigres que le froid avait teinté de bleu. Mais il ne parvenait pas à entrer entièrement. Il donna des coups de reins en appuyant avec force sur la chevelure blonde pour forcer la gorge trop étroite, ne prêtant aucune attention aux protestations étouffées de douleur et aux petits poings qui martelaient inutilement ses hanches. Pendant ce temps, Goyle massait les petites fesses rebondies de la gamine en écartant les cuisses maigrelettes. Il frotta sa queue contre la fente également bleutée par le froid mais remonta jusqu’au petit anneau qu’il pénétra avec lenteur. La petite blonde était si préoccupée par le sexe qui forçait sa bouche qu’elle ne sentit Goyle qu’une fois son gland fiché en elle. Il donna un violent coup de reins et fit pénétrer son dard jusqu’à la garde, arrachant un cri de douleur étouffé à la gamine.

Pendant ce temps, Harry s’était rapproché doucement des baguettes abandonnées sur le sol. Les serpentards avaient tellement tassé la neige au centre de la clairière qu’il parvenait à se déplacer sans trahir sa présence par des empreintes de pas. Il ramassa les baguettes qu’il mit dans sa poche à côté de la sienne, se forçant à ne pas se laisser distraire par les gémissements de la blonde rudoyée et par les pleurs de la petite brune qui, elle-même, essayait de ne pas faire attention à la main qui caressait avidement ses fesses en passant par moment un doigt sur son trésor intime. Harry sentit toutefois son membre se gonfler peu à peu, se demandant comment il pouvait être excité par une situation aussi odieuse. Après avoir contemplé quelques va et viens de ses amis dans le cul et la bouche de la petite blonde, Malefoy attrapa la gamine à ses côtés par ses cheveux courts et tira violemment dessus en l’obligeant à s’agenouiller devant lui dans la neige tandis qu’elle serrait les dents pour ne pas crier. Il releva sa robe et sortit son sexe. Harry constata que malgré le spectacle qu’offrait ses amis, Malefoy ne semblait pas excité. Il pointa sa baguette sur la petite brune qui n’eut pas d’autre choix que d’engloutir le sexe mou dans sa bouche. Ses larmes coulaient le long de ses joues et tombaient sur sa petite poitrine et son ventre plat. La main qui tiraillait ses cheveux l’obligeait à aller d’avant en arrière. Elle fit de son mieux pour suivre le mouvement et éviter la douleur. Mais Harry, qui ressentait encore plus de honte d’avoir une érection à ce moment-là, voyait bien que Malefoy, qui donnait à présent des coups de reins rageur, ne bandait toujours pas.

Enervé, il se retira de la petite bouche de la brune et la gifla violemment comme si elle était responsable de son manque d’excitation. Puis il la traîna vers le rocher, où ses acolytes s’activaient toujours avec vigueur, en la tirant par les cheveux ce qui obligeait la gamine à marcher courbée, glissant et trébuchant sur la neige. Harry se rapprocha également avec prudence. Malefoy laissa la petite brune en arrière, non sans l’avoir projetée sur la neige dure. Il s’approcha du trio sur le rocher au moment où Crabbe et Goyle se figeaient et se répandaient dans la gorge et le cul de la petite blonde. Crabbe obligea la fillette à tout avaler et même à lécher ce qui lui avait échappé et qui s’était étalé sur le rocher. Goyle, lui, attrapa la petite brune par les cheveux (« c’est une manie » pensa Harry) et fourra son sexe encore gonflé dans la petite bouche. La gamine qui n’avait eu qu’un sexe au repos, fut surprise par la taille du nouveau membre et manqua de s’étouffer. Goyle ne fut pas long à jouir une deuxième fois. Il abandonna la petite brune au visage souillé et se tourna vers le rocher où Malefoy écartait brutalement les fesses de la blonde, sa baguette magique à la main.

Drago prononça une formule et le bout de sa baguette se mit à luire d’une lumière rouge qui devint d’un blanc intense. Harry remarqua que la neige prêt de la baguette commençait à fondre. Crabbe tenait les deux petites fesses écartées tandis que Malefoy enfourna sa baguette brûlante dans le petit anus. La fillette hurlait de douleur tandis que le morceau de bois allait et venait dans son petit cul. Malefoy avait un sourire mauvais et augmentait la vitesse de sa baguette faisant crier la petite blonde encore plus fort tandis que Harry remarquait une bosse se former sous la robe du serpentard. Apparemment il n’était excité que par les cris de douleur. Le jeune gryffondor frissonna en pensant à toutes les autres premières années de serpentard.

Il se ressaisit très vite car le moment qu’il attendait tant était enfin venu. Les trois serpentards avaient tous les yeux braqués sur la petite blonde. La brune était en retrait, les bras serrés pour essayer de se réchauffer et pleurant en regardant son amie se faire torturer, songeant qu’elle aurait sûrement droit au même traitement juste après. Harry s’approcha d’elle dans son dos avec lenteur et sans faire de bruit. Alors qu’il était presque contre elle, il ouvrit rapidement sa cape d’invisibilité et enveloppa la fillette qui disparut aux yeux de toute autre personne. Le jeune gryffodor posa vivement une main sur la bouche de la petite serpentard et entoura son torse d’un bras pour la maintenir le plus immobile possible. Surprise, celle-ci se débattit en poussant un gémissement qui fut couvert par les cris de sa camarade. Harry approcha sa tête de celle de la gamine et lui dit doucement à l’oreille.

« Calme-toi ! Je ne te veux pas de mal. Crois-moi ! Je vais essayer de te sortir d’ici. »

La petite brune cessa de bouger et tourna la tête. Elle ouvrit des yeux étonnés et prononça des mots étouffés par la main de Harry. Il relâcha son étreinte et enleva sa main pour qu’elle puisse répéter.

« Tu… tu es Harry Potter ? Reprit-elle d’une voix basse mais tremblotante. _ Oui ! Mais reste silencieuse. Il faut que nous récupérions ton amie. _ Co… comment on… va faire ? _ Je pense savoir. S’ils sont aussi bêtes que je le pense ça ne devrait pas être trop dur. Mais j’espère qu’ils vont faire vite. »

    Harry n’en pouvait plus d’entendre crier la petite blonde. Il se retenait à grande peine de saisir sa baguette et d’attaquer les serpentards. Mais il était si près de les sauver toutes les deux. Il ne pouvait pas risquer de se faire attraper maintenant. Il sentit le petit corps de la brune se coller contre lui. Même à travers sa robe de sorcier il sentait qu’elle était gelée. Son sexe se tendit encore un peu, à sa grande honte, mais il ne parvenait pas à se contrôler. Dans cette position, tout ce qu’il pu faire était de retirer son châle rouge et or pour le passer autour des épaules de la fillette avant de l’envelopper dans sa cape d’hiver. Puis il la serra contre lui en frottant son dos nu, ce qui n’arrangea pas son érection.

    Enfin, Goyle tourna la tête vers eux et se leva d’un bond.

« Drago ! L’autre n’est plus là ! »

Malefoy retira vivement sa baguette ce qui stoppa les hurlements de la petite blonde au grand soulagement de Harry et de la brune. C’était maintenant que tout allait se jouer. Parier sur la stupidité de Crabbe et Goyle c’était comme se demander si le jour succédait à la nuit. Ils s’éloignèrent du rocher en s’approchant de la lisière de la forêt en cherchant où leur victime avait pu se réfugier. La petite blonde était prostrée sur le rocher et semblait à bout de force. Seul Malefoy restait assis sur la pierre scrutant le décor devant lui sans voir Harry et la jeune serpentard juste devant lui. Ses deux acolytes s’étaient maintenant enfoncés dans le bois. L’occasion était trop belle. Harry pris sa baguette et la pointa sur Malefoy qui ne se doutait de rien.

« Pétrificus Totalus ! »

Malefoy devint raide comme une planche et s’écroula le nez le premier dans la neige. Rapidement, Harry s’approcha du rocher, attrapa la fillette et l’amena sous la cape. Il voulut poser la main sur sa bouche mais la petite brune le devança. Elle sourit à son amie lui assurant à voix basse que tout allait bien. Sans dire un mot, la petite blonde se serra contre Harry et son amie à la recherche de chaleur. Le jeune gryffondor sentit le ventre de la gamine se plaquer contre son sexe érigé. Il rougit violemment mais il n’avait pas le temps de se soucier de la bienséance pour l’instant. Il fallait partir avant le retour de Crabbe et Goyle.

    Harry entraîna les filles vers la forêt. Il était difficile de marcher sur le sol inégal avec les deux serpentards collées à lui de chaque côté. Mais elles étaient si glacées que Harry ne pouvait se résoudre à leur demander de s’écarter un peu. Il les avaient toutes les deux entourées de sa cape d’hiver et leur frottait le dos avec vigueur maintenant que le danger s’écartait de plus en plus. Mais cela les obligeait à marcher plus lentement encore pour ne pas perdre la cape d’invisibilité qui, elle, ne protégeait pas du froid. Harry sentit son membre lui faire mal dans son pantalon lorsqu’il se surprit à penser que bien qu’elles soient très froides, leurs peaux étaient également très douces. Ils traversèrent le village de Pré-au-Lard à pas feutrés. Harry aperçut Ron qui était sortit des Trois Balais et scrutait la rue espérant apercevoir son camarade malgré la cape d’invisibilité. Harry ne pouvait toujours pas le prévenir et il se dit qu’il s’excuserai ce soir tandis qu’il franchissait la porte de chez Honeydukes qu’un autre élève de Poudlard avait ouvert en grand pour entrer. Ils eurent du mal à passer car la boutique était pleine à craquer. Harry fut soulagé de se retrouver derrière le comptoir bien qu’il lui semblait avoir percuté légèrement une élève de cinquième année. Mais il y avait tellement de monde que cela fut sans conséquence.

Ils purent souffler une fois qu’ils se retrouvèrent sur les marches dans le souterrains. Mais ils devaient faire vite. Le passage secret était parcouru d’un courant d’air froid et malgré la chaleur du corps de Harry et les frictions qu’il prodiguait aux fillettes, celles-ci tremblaient toujours. Leurs dos redevenaient vite glacés s’il arrêtait de les frotter. Il ignorait combien de temps elles auraient pu tenir le coup si Malefoy avait continué de les traiter comme il l’avait fait. Heureusement ils purent marcher beaucoup plus vite maintenant qu’ils n’avaient plus à s’occuper de la cape d’invisibilité. Ils ne durent la remettre correctement qu’avant de sortir. Harry vérifia sur la carte du maraudeur que personne n’approchait de leur cachette et ils s’élancèrent dans le couloir. Le jeune gryffondor les amena aux douches de sa maison. Il n’avait pas accès à celle des filles et les emmena chez les garçons. A cette heure-ci, elles était encore désertes. Harry se débarrassa de la cape d’invisibilité avec rapidité et détacha sa cape d’hiver dont il enveloppa les deux gamines qui semblaient épuisées. Il ferma la porte des douches à clefs, entra dans la cabine la plus proche et fit couler de l’eau qu’il régla pour qu’elle soit bien chaude sans ébouillanter. Il alla chercher les jeunes serpentards. La brune se redressa avec difficultés mais la blonde ne pouvait plus bouger. Elle semblait avoir donné ses dernières forces pour arriver jusqu’au château. Harry la prit dans ses bras et la porta jusqu’à la cabine tandis que son amie s’était assise contre le mur en savourant l’eau qui coulait sur son corps. Il posa la petite blonde à côté de sa camarade qui la prit dans ses bras.

Harry sentit son pantalon devenir encore plus étroit alors qu’il contemplait les deux fillettes nues, tendrement enlacées. Il allait pour sortir, pensant qu’il pouvait aller se soulager dans une cabine à côté lorsqu’il fut rappelé par une petite voix.

« Harry ! »

Il revint en arrière. Les deux gamines le regardaient d’un air sérieux, la blonde avait posé sa tête sur l’épaule de son amie semblant incapable du moindre mouvement. La brune fit un léger sourire.

« Merci ! Fit-elle d’une voix feutrée. _ Ce n’était rien. J’ai fait ce que j’avais à faire. _ Harry ? Tu pourrais nous rendre encore un service ? _ Bien sûr ! Quoi donc ? _ Tu pourrais nous faire l’amour ? »

Harry qui s’était attendu à ce qu’elles lui demandent d’aller chercher des vêtements ou autre chose dans ce genre là fut frappé de stupeur. Il resta paralysé devant les deux gamines qui gardaient toujours un air sérieux.

« Tu comprends, reprit la brune devant son air hagard, Malefoy finira par nous mettre la main dessus. Il ne laissera jamais tomber cette sale tradition. Surtout que maintenant c’est lui qui en profite. _ Alors si tu ne le fais pas, continua la blonde dans une voix où l’on sentait très nettement son épuisement, c’est lui qui finira par nous prendre notre virginité. Et ça nous ne le voulons pas. Surtout pas lui. _ Je t’en prie Harry ! Nous voulons que tu le fasses. Nous ne serons plus vierges quoi qu’il arrive. Et nous préférons que ce soit par toi. S’il te plaît ! Lui ne nous laissera pas le choix. »

Harry se doutait bien que Malefoy n’en resterai pas là, qu’il prendrait sa revanche sur les fillettes et qu’il ne pourrait pas les protéger tout le temps. Les jeunes serpentards lui jetaient des regards implorants et il s’étonnait que la fermeture éclaire de son pantalon tienne encore. Oui. Il ne pouvait qu’accepter. Mais il ne parvenait pas à prononcer un mot. La petite blonde prit alors la parole.

« Tu sais Harry, nous aimons toutes les deux beaucoup les garçons. Mais en fait nous préférons les filles. »

Elle leva la tête et embrassa sa camarade avec passion. Elle posa une main sur la poitrine de la brune mais deux doigts lui suffirent à masser l’un des petits seins. Harry reçut un nouveau choc en regardant les deux fillettes s’embrasser tendrement. Elles décollèrent leurs lèvres.

« Les relations homosexuelles sont interdites chez les sangs purs de serpentards, reprit la blonde tout en continuant à caresser la poitrine de son amie. Les sangs purs doivent reproduire leur lignée. Souvent, les filles ne sont considérées que comme des poules pondeuses. C’est pour ça que nous avons refusé de nous soumettre à la tradition. Mais nous ne pourrons pas leur tenir tête encore très longtemps. »

La petite blonde descendit la main sur le ventre de son amie puis sur les cuisses qu’elle écarta doucement. Elle se laissa glisser, le seul mouvement qu’elle pouvait apparemment encore se permettre, pour s’allonger sur le sol et positionner sa bouche au niveau du trésor intime de sa camarade. Elle sortit sa langue pour parcourir la fente de haut en bas et s’introduire légèrement entre les lèvres intimes. La petite brune rejeta la tête en arrière en gémissant et ferma les yeux en caressant doucement les cheveux de son amante.

    Harry n’y tenait plus. Il se déshabilla rapidement et entra sous la douche. Il passa une jambe par dessus la blonde et présenta son sexe à la brune qui lui souriait d’un air malicieux. Elle prit le sexe dans la bouche et se mit à faire des mouvements frénétiques. Harry fut surpris mais se douta très vite que la fillette devait essayer de lui faire plaisir en imitant les mouvements violents que lui avaient imposé Malefoy plus tôt, pensant sûrement que c’était ce qu’aimait les garçons. Il attrapa la tête durant l’un de ses passages rapides, comme un gros vif d’or, et l’arrêta. La gamine leva des yeux interrogateurs. Harry la guida dans des mouvements plus lents et plus langoureux. Il apprécia la douceur des lèvres et de la langue sur son membre raide qui devint enfin moins douloureux. Il regardait la petite tête aux cheveux courts aller et venir sur son sexe. L’eau ruisselait sur son bas ventre et sur le doux visage de la fillette avant de s’écouler sur sa poitrine menue, de glisser sur son ventre plat et de finir en chute sur son intimité et la bouche de la petite blonde qui s’en régalait. Harry sentit un éclair le traverser et il éjacula dans la petite bouche qui s’arrêta pour recueillir tout le nectar.

    Il s’accroupit à côté de la blonde et embrassa tendrement la brune qui l’entoura de ses bras. Il massait les petits seins d’une main et y descendit ensuite sa tête pour les lécher. Il prit un téton entre ses lèvres et tira légèrement dessus. La fillette gémit en posant une main sur les cheveux d’Harry. Elle courba la tête et promena sa langue sur la nuque du garçon. Il caressa les longs cheveux de la petite blonde puis il glissa sur son dos avec lenteur. Il lui flatta les fesses et la sentit frémir. Sans cesser de dévorer l’entrejambe de son amie, elle empoigna le membre de Harry et se mit à le masturber en douceur. Il redevint très vite dur tandis que la petite brune poussa un cri de jouissance et que son amante bu de longue gorgée de son jus de plaisir. Elle se redressa ensuite avec difficulté et Harry la soutint de son bras libre. Elle prit le sexe dressé entre ses lèvres en se tournant sur le côté. Harry contourna ses hanches et posa ses doigts sur l’intimité de la petite blonde. Il massa le petit abricot doré puis l’explora un peu plus en profondeur. Il atteint l’hymen et le caressa du bout des doigts. La petite brune s’était assise face à eux, adossée au mur et se masturbait en regardant son amie s’occuper de Harry.

    Elle prit soudain son amie par les épaules et la tira vers elle. La blonde lâcha le membre avec dépit et s’allongea sur le dos entre les jambes de sa camarade, posant la tête sur le pubis de cette dernière. Elle entrouvrit légèrement les jambes. Harry contempla le petit corps qui lui était offert. Il s’avança à genoux en faisant glisser ses mains le longs des jambes fines. La petite blonde frémit en le regardant avec une certaine appréhension tandis qu’il s’asseyait sur ses talons et qu’il soulevait son bassin pour le mettre à la hauteur du sien. Les fillettes avaient une vue claire des deux sexes qui se frottaient l’un contre l’autre. La petite brune regardait le spectacle avec envie et elle gémit même à la place de sa camarade lorsque Harry pressa son gland contre les lèvres intimes et commença à s’enfoncer dans l’intimité avec douceur. La petite blonde ferma les yeux, pinça les lèvres et serra ses mains sur les cuisses de son amie qui regardait avidement le pieu descendre avec lenteur dans le ventre de son amante en lui caressant tendrement les cheveux. Harry buta contre la paroi intime. Il donna un coup de rein et la gamine poussa un cri. La petite brune gémit également en sentant la nuque de sa camarade donner une secousse sur son intimité. Elle regardait un filet de sang s’écouler lentement du coquillage de son amie tandis que Harry allait et venait en douceur dans le fourreau étroit. La petite blonde gémissait sous les coups de reins de Harry et sous les caresses de son amie qui laissait ses doigts aller sur sa poitrine encore plate mais aux tétons fièrement érigés. La petit brune faisait de légers mouvements des hanches pour frotter son petit abricot contre les cheveux de son amante, les recouvrants de jus de plaisir.

    La petite blonde lança un grand cri tout en déversant une grande quantité de sa liqueur d’amour. Harry sentit aussitôt un nouvel éclair lui vriller la colonne vertébrale et il se retira vivement. De longs jets de sperme se répandirent de la tête de la brune à celle de la blonde. Cette dernière, encore haletante, s’efforça de se mettre sur le ventre puis se mit à nettoyer consciencieusement le corps de son amante avec sa petite langue avant que l’eau de la douche n’efface les traces du délicieux nectar. Harry s’assit, dos contre la porte de la cabine, et souffla un peu en regardant les fillettes se laver mutuellement le visage. Elles s’avancèrent ensuite vers lui, la brune aidant sa camarade. La petite blonde s’allongea à plat ventre entre les jambes du jeune gryffondor et laissa sa langue courir le long du sexe encore vaillant qui venait de la faire femme. Sa camarade se plaça debout face à Harry en lui offrant toute son intimité. Il avança la tête et se mit à lécher tendrement le joli coquillage et le pubis encore glabre. Il saisit les petites fesses rondes et se mit à les masser avec lenteur, au rythme de sa langue sur le bouton d’amour gonflé. La fillette avait plaqué son torse contre le mur et gémissait en ondulant des hanches tandis que la petite blonde goûtait à présent les bourses de leur amant en masturbant le membre viril. De son autre main elle introduisait deux doigts dans son intimité ouverte, savourant la profondeur qu’elle atteignait désormais.

    La petite brune s’écarta du mur et se mit à glisser lentement vers le bas, frottant son sexe sur la poitrine et le ventre de Harry. Ce dernier sentit la blonde s’écarter de leur couple, laissant sa camarade tout à son plaisir. La petite brune s’était agenouillée face au jeune gryffondor et le regardait avec un petit sourire qui ne parvenait pas à cacher son trouble et son appréhension. Elle enserra Harry de ses bras et posa sa tête sur son épaule, joue contre joue. Il sentait les muscles de son visage se crisper tandis qu’elle descendait ses petites fesses et que son beau coquillage se posait sur le gland. Elle voulait apparemment décider d’elle-même quand elle s’empalerait sur le membre viril. Harry respectait son choix et il lui caressa tendrement le dos pour la rassurer. Il sentait le regard attentif de la petite blonde sur eux. Le souffle de la fillette devint plus saccadé et plus fort tandis que le dard écartait les abords de ses lèvres intimes. Puis elle donna subitement un grand coup de rein et s’abattit complètement sur le sexe dressé. Elle poussa un grand hurlement de douleur tandis que Harry se retenait de jouir immédiatement, surpris par la rapidité de l’assaut. La gamine resta prostrée contre le corps du garçon, ses larmes s’ajoutant aux zébrures de l’eau sur son torse. Harry lui releva la tête avec douceur et l’embrassa tendrement. Il descendit une main sous son petit cul et la fit se soulever un peu. Il la guida, comme lors de sa première fellation, et lui fit faire des mouvements beaucoup plus doux. La fillette poussa de petits gémissements de douleurs. Cependant, peu à peu, elle montait et descendait d’elle-même et finit par se passer de la main de Harry sur son petit cul qui se contenta alors de le caresser en accompagnant le va et vient de la petite brune. Le jeune gryffondor embrassait les petits seins de sa partenaire dès qu’ils étaient à hauteur de sa bouche. Il lui semblait que le sexe de la brune était encore plus étroit que celui de sa camarade et il sentit le plaisir monter en lui. Il voulut se retirer mais la fillette se laissa tomber complètement sur les cuisses de son amant et se serra contre lui. Harry se doutait qu’elle avait déjà appris le sortilège de prévention et celui d’avortement et ne s’inquiéta plus. La gamine avait fiché le membre viril le plus profondément possible dans son petit ventre et le garçon s’y répandit avec plaisir en embrassant les lèvres exquises de la brune. Sous les caresses de la langue de son amant, et sentant le nectar chaud s’écouler en elle, la petite serpentard n’y tint plus et jouit en lâchant un flot de jus de plaisir.

Les deux amants restèrent serrés l’un contre l’autre, ne faisant toujours qu’un, en s’embrassant de reconnaissance mutuelle. Ils sentirent soudain une petite langue se promener sur leurs sexes joints, recueillant leurs semences emmêlées. La petite brune retira son étroit fourreau du membre viril et laissa sa camarade le prendre à pleine bouche. La gamine se leva et attrapa un savon avant de s’agenouiller à côté du couple. Harry ne tarda pas à jouir à nouveau dans la petite bouche gourmande, s’étonnant de pouvoir encore déverser autant de sperme. La petite brune prit la tête de sa camarade à pleine main, la retira doucement du membre viril qui faiblissait et l’embrassa avidement. Les deux fillettes se partagèrent le nectar de leur amant tout en emmêlant leurs langues. Harry caressait les deux petits corps avec douceur. Il fut content de constater qu’ils rayonnaient de chaleur. La petite brune se redressa un peu et prit le savon. Elle commença à frictionner le sexe de leur amant. La blonde se mit également à frotter le membre au repos, tirant la peau pour ne pas oublier de laver le gland. Harry se laissa aller contre le mur et savoura les mains coquines qui le nettoyaient. Il laissait ses doigts aller sur la peau douce du petit cul de la brune et parcourait les longs cheveux de la blonde. Cette dernière massait maintenant les testicules en les faisant mousser tandis que son amie masturbait le membre en caressant le bout du gland avec la face lisse du savon. Harry se sentit grandir à nouveau tandis qu’il introduisait deux doigts dans le petit abricot de la brune qui gémit en resserrant ses doigts sur le dard glissant. Elle tortilla ses hanches, ravie, en embrassant langoureusement son amie. Elle jeta ensuite un regard étrange à Harry. Elle retira les doigts du garçon de son intimité et les lécha avec délice. Elle fit ensuite allonger la petite blonde sur le dos puis elle se positionna à genoux au dessus d’elle. Elle posa sa petite poitrine sur celle de son amante mais maintenait son joli petit cul en hauteur. Elle regarda le jeune gryffondor.

« Harry ! Il reste un endroit où je suis encore vierge. Ils n’hésiteront pas à passer par là aussi. »

Harry avait secrètement espéré qu’elle lui ferait cette demande, bien qu’il considérait qu’avoir prit les deux virginités des gamines lui étaient déjà largement suffisant. Il ne se fit cependant pas prier et alla se placer derrière la fillette. Celle-ci embrassait langoureusement sa compagne comme si de rien n’était mais Harry la sentit frémir lorsqu’il posa ses mains sur ses hanches. De toute évidence, elle n’avait pas très envie qu’un garçon ou quoi que ce soit d’autre passe par son puit secret. Seule la répugnance que lui inspirait Malefoy, Crabbe et Goyle la décidait à offrir ses petites fesses à Harry. Celui-ci eut un peu de remords en s’agenouillant devant le petit anus. Mais il savait que les serpentards eux, n’auraient aucun scrupules à forcer ce passage là.

    Il caressa tendrement les deux globes de chair pour rassurer la gamine qui tentait, sans vraiment de conviction, de ne pas s’en préoccuper. La petite blonde, malgré son état d’épuisement avancé, leva un bras et se mit à caresser le petit abricot de son amante en lui souriant. Harry écartait maintenant les petites fesses rondes et posa son gland sur l’anneau serré. Il pensait même ne pas pouvoir entrer tant l’anus lui semblait petit mais il donna un petit coup de rein qui le fit pénétrer jusqu’à la garde qui arracha un hurlement aigu de douleur à la petite brune. Harry se rappela que son sexe était enduit de savon et qu’il glissait comme un rien. Horrifié d’avoir si violemment pénétré la fillette, il lui murmura quelques mots d’excuse. Puis il se mit à faire de doux mouvements de va et viens, bien décidé à rattraper son erreur en donnant du plaisir à la petite serpentard. La blonde s’activa également plus vite dans le joli coquillage de son amie et lécha les larmes qui coulaient sur ses joues si douces. La petite brune poussait des gémissements de douleurs mais sous les caresses de son amie et grâce à l’application dont faisait preuve Harry, elle commença à lâcher de petits cris de jouissances. Elle embrassa son amante avec passion et descendit une main sur son petit sexe pour lui rendre ses tendres caresses. Elles se masturbèrent l’une l’autre en s’embrassant de plus belle tandis que la petite brune ruait maintenant sur le membre du jeune gryffondor. Harry lâcha les hanches de la fillette et introduisit deux doigts dans son intimité, rejoignant ceux de la petite blonde. Il descendit son autre main et se joignit cette fois-ci à la brune pour pénétrer le coquillage doré. Il savoura les mouvements de ses doigts et de ceux des gamines dans les deux abricots qu’il avait lui-même ouverts. Les deux petites serpentards crièrent leur plaisir en même temps. Leurs doigts quittèrent leurs sexes tandis qu’un flot de jus de plaisir inondait ceux de Harry. La petite brune sembla s’affaisser sur sa camarade mais elle se redressa courageusement et demanda au jeune gryffondor de continuer. Il s’activa de plus belle entre les petites fesses de la brune qui continuait de pousser des gémissements de plaisir. Puis il se figea et se déversa dans le dos de la gamine qui s’allongea ensuite sur le corps de sa camarade.

    Elles étaient toutes deux à bout de forces, particulièrement la blonde qui s’endormit soudainement, tendrement enlacée contre son amante. Harry ramassa le savon et se mit à laver les corps des deux fillettes, s’attardant plus que de raison sur les petits sexes, au grand plaisir de la brune et dessinant un sourire sur le visage paisible de la blonde. Il se lava ensuite lui-même puis coupa l’eau de la douche. Il alla prendre des serviettes et essuya en douceur les petites serpentards. Puis ils durent réveiller la dormeuse pour qu’elle s’habille. Avant de revêtir leurs robes, la petite blonde lança un sort de prévention sur le ventre de sa camarade. Ils remirent ensuite la cape d’invisibilité et ouvrirent la porte. Ils l’avaient à peine franchit qu’un garçon de quatrième année arriva au bout du couloir en peignoir de bain. Bien qu’elles furent totalement réchauffées, les deux fillettes restaient collées à Harry, chacune d’un côté. Ils sentaient les petites mains se poser sur ses fesses et sur son membre qui avait à nouveau du mal à rester tranquille. Le jeune gryffondor lui-même avait relevé l’arrière de la robe de la petite blonde pour caresser la douceur de son petit cul et avait passer un bras autour des épaules de la petite brune, plongeant ensuite dans le col baillant de sa robe et massait tendrement les petits seins. Il les ramena jusqu’à leur dortoir. Elles embrassèrent chacune langoureusement Harry puis elles s’allongèrent sur leurs lits respectifs et s’endormirent.

    Le soir, Harry s’excusa devant Ron en prétendant que Rogue et Rusard ne cessaient de patrouiller dans le couloir de la sorcière borgne et qu’il n’avait aucune chance de passer devant eux sans se faire repérer. Il observa la table des serpentards et remarqua que Malefoy, Crabbe et Goyle parlaient à voix basse en jetant des coups d’œils bizarres aux deux fillettes qui lui sourirent discrètement. Puis elles tirèrent la langue à Malefoy qui se tourna, faisant comme s’il n’avait rien remarqué. Plus tard, en les croisant dans un couloir vide, Harry demanda aux filles si tout allait bien.

« Oh oui ! Répondit la petite brune avec un grand sourire. Tu ne vas pas le croire mais Malefoy pense que c’est nous qui l’avons neutralisé dans la clairière. _ Tu imagines, reprit la blonde, si les autres apprenaient qu’il a été battu par des premières années ? Des filles en plus. _ Du coup il ne nous a pas touché à condition que l’on ne parle pas. _ Mais alors, s’exclama Harry d’un air dépité, vous n’aviez pas besoin de perdre votre virginité. Cela aurait causé plus de tort à Malefoy si les autres avaient compris qu’il ne vous avez pas touché. _ Non, fit la blonde, ils se seraient tous ligués contre nous. Et Malefoy aurait eu alors tout le loisir de se venger. Tandis que maintenant, il est coincé. Bien sûr les autres nous forcent à coucher avec eux avec cette fichue tradition. Mais tant que Malefoy et les deux idiots qui le suivent en sont privés, c’en est presque drôle. »

Harry semblait toujours dépité.

« Je crois que je n’aurai pas dû faire ça avec vous. Ça n’a servit à rien. _ Tu crois ? » Répondit la petite brune avec un sourire malicieux

Elle se leva sur la pointe des pieds et l’embrassa tendrement. La petite blonde fit de même puis elles s’en allèrent vers leur prochain cours. En les voyant partir avec entrain, Harry se sentit immédiatement mieux. Puis il se souvint qu’il avait également un cours et se hâta vers la salle de classe.

Histoire N°4 : Loup solitaire

Publié le lundi 2 février 2009

Loup solitaire

Une aventure sexuelle de Harry Potter en cinquième année.

Avec : Nymphadora Tonks et Remus Lupin.

Le couloir était sombre et mal éclairé. Tonks frissonna. Elle n’aimait pas la maison. Elle n’était au quartier général de l’ordre du phœnix que par obligation. Et ce n’était vraiment pas drôle, surtout depuis la rentrée scolaire et le départ de Hermione et Ginny. En dehors des réunions, l’endroit était d’un calme mortuaire. Un tombeau immense. Elle plaignait sincèrement le pauvre Sirius qui devait rester ici tout le temps, affrontant sans cesse les spectres du passé que lui rappelait cette maison. Tonks, bien que de la même famille que les Blacks, n’était jamais venue ici avant la refondation de l’ordre. Sa mère n’étant plus désirée aux réunions de famille depuis qu’elle s’était mariée à un sorcier d’origine moldue.

Elle avança d’un pas, le parquet craquant sous son poids pourtant léger. Elle avait presque l’impression que le sol geignait. Elle sentit un courant d’air froid sur ses jambes. Prête à aller se coucher, elle déambulait dans la maison dans un grand et unique tee-shirt à l’effigie des Bizarr’s Sisters. Elle avança doucement pour faire le moins de bruits possible, cherchant à regagner sa chambre. Elle avait décidé de passer la nuit au 12 square Grimmaurd car la dernière réunion s’était finie tardivement et qu’elle devait finir un rapport important pour Dumbledore le plus tôt possible demain matin. Or il lui était plus simple de l’envoyer depuis le quartier général.

Tonks était gelée. Elle ne voulait pas aller plus vite pour ne réveiller personne mais elle ne pensait plus qu’à aller se mettre au chaud sous les couvertures dans l’une des chambres nettoyées par Molly et les filles pour accueillir les membres de l’ordre. Elle avait d’ailleurs pris la chambre qu’Hermione et Ginny avaient quitté en début septembre. Un peu de leurs parfums avait imprégné les murs durant leur passage et Tonks se sentait mieux dans cette chambre que partout ailleurs dans la maison. En l’honneur de Ginny, elle s’était même essayée ce soir aux cheveux roux, flamboyants, mais qu’elle préférait quand même garder mi-longs, tombants sur ses épaules. Elle était impatiente de voir ce que cela donnerait demain à la lumière du jour.

Tonks arriva enfin devant la porte de sa chambre. Elle posa la main sur la poignée lorsqu’elle entendit une sorte de sanglot étouffé, provenant de la chambre face à la sienne. Un faible son de lamentations s’entendait toujours. Elle s’approcha et constata que la porte était entrouverte. Elle regarda avec discrétion, ayant soudain l’impression de repasser ses examens d’Auror. A l’intérieur de la chambre se trouvait Remus Lupin. Il était revenu d’une mission depuis plusieurs jours mais avait à nouveau disparu lors de la pleine lune. Comme tous les membres de l’ordre, Tonks savait que Lupin était un loup garou. Le professeur Rogue lui préparait toujours la potion Tue-loup, mais il ne pouvait rester au quartier général durant ses transformations. Il y avait trop de passage.. Il n’était revenu qu’hier, avec un teint maladif et un pâle sourire.

Tonks sentit un vague à l’âme l’envahir en contemplant la tristesse de son ami. Elle l’avait toujours beaucoup apprécié, surtout lorsqu’il lui avait donné de nombreux conseils lors de ses examens d’Auror. En plus elle lui trouvait beaucoup de charme malgré son air fatigué. Elle décida qu’elle ne pouvait le laisser ainsi. Elle poussa la porte en cognant légèrement dessus. Lupin sursauta.

« Tonks ? Qu’est-ce que tu fais ici ? _ Je suis désolée, Remus, répondit Tonks toujours sur le palier. Je revenais de la salle de bain et je t’ai entendu. Je ne voulais pas t’espionner. Je voulais juste voir si tu allais bien. _ Je sais. Ne t’inquiète pas pour moi. C’est juste… que par moment c’est difficile. »

Tonks entra dans la chambre et referma la porte pour que personne n’entendent leur conversation.

« C’est dur pour tout le monde en ce moment. Je sais que tu en endure plus que d’autres. Mais tu n’es pas le seul. Pense à Sirius, par exemple. Pour lui c’est une torture de tous les jours d’être ici. Et même Harry. Pleins d’élèves le croient fou. Et il paraît que cet Ombrage ne le lâche pas d’une semelle. »

Le visage de Tonks, plutôt pâle à l’accoutumée, devint légèrement rose tandis qu’elle prononçait la dernière phrase avec un soupçon d’aigreur. Malgré le peu de lumière dans la pièce, Lupin la trouva jolie en colère et il eut un petit rire.

« Tu as raison, je le sais bien. Mais je pourrai les aider plus facilement si je ne devais pas m’absenter chaque mois. _ Tu en fais déjà assez. Ils peuvent aussi se débrouiller sans toi, s’ils savent que tu es tout de même près d’eux. »

La jeune femme alla s’asseoir sur le lit à coté de son ami. Elle lui trouvait un air touchant, son regard perdu, ses cheveux prématurément grisonnants et sa peau marquée par les épreuves. Elle lui prit la main. Elle était chaude et douce. Il se tourna vers elle, un peu surpris que Tonks lui parle et agisse ainsi alors qu’il l’avait toujours considéré comme ayant encore un esprit d’enfant. Mais il ne considérait pas cela comme un problème. Bien au contraire, cela faisait tout le charme de la jeune femme.

    Toutefois à ce moment-là, c’était une adulte qu’il contemplait. Encore jeune certes. Un écart de presque une génération. Mais une adulte. Elle avait un air sérieux mais doux avec ses yeux sombres et sincères et un sourire très léger. La pâleur de son visage en cœur semblait luire faiblement dans l’obscurité de la chambre. Avant même qu’il ne comprenne pourquoi, il approcha sa tête de celle de Tonks et prit ses lèvres avec tendresse. La jeune femme eut un petit soubresaut de surprise mais ne bougea pas. Lupin savoura la douceur de ses lèvres alors qu’inconsciemment il serrait la main de Tonks.

    Il écarquilla les yeux soudainement et se retira vivement, l’air apeuré.

« Tonks ! Je ne… je voulais… je ne sais pas… »

La jeune Auror le regardait avec surprise, sa main toujours dans celle de Lupin.

« Je suis désolé ! Je ne voulais… j’étais tellement seul ces derniers jours. Je ne… »

La jeune femme entrouvrit légèrement les lèvres et ne dit qu’un seul mot à voix basse, presque un murmure.

« Pourquoi… ? _ Je ne sais pas, répondit vivement Lupin. Je suis… _ Non, l’interrompit Tonks, les yeux pétillants. Pourquoi tu t’es arrêté ? »

Lupin resta sans voix devant la question de la jeune Auror. Elle souriait légèrement, les joues roses en évitant de regarder son ami.

« Tu… tu embrasses bien, fit-elle devenant maintenant complètement rouge. C’était… bien. »

Avant qu’il n’ait eu même le temps de penser à ce qu’il pourrait lui dire, Tonks posa les mains sur ses épaules et l’embrassa à son tour avec plus de fougue. Lupin, surpris, avança ses bras pour la repousser, mais, à son grand étonnement, il finit par les poser délicatement autour de la taille de la jeune femme et la serra contre lui.

    Tonks rompit doucement le contact de leurs lèvres et posa sa tête sur l’épaule de son ami.

« Je crois que tu m’as toujours fait un certain effet, fit-elle d’une voix un peu tremblante. J’ai toujours aimé que tu sois près de moi. Sans vraiment savoir ce que ça signifiait vraiment. »

Lupin ne voyait pas le visage enfouit au creux de son cou mais il le devinait virant au rouge pivoine en sentant la douce chaleur qui s’en dégageait. Il pencha la tête et posa un baiser dans le cou de la jeune Auror qu’il sentit frémir. Ses mains caressèrent le dos légèrement courbé de Tonks à travers le tee-shirt léger. Il sentait tout le corps de la jeune femme devenir plus chaud, comme un rayon de soleil matinal, tandis qu’elle se collait encore un peu plus à lui. Il sentit la belle poitrine de Tonks se presser contre son torse tandis que la cuisse nue de la jeune femme était posée en travers de ses jambes et remontait lentement.

    Elle se souleva un peu et fit pression sur Lupin pour qu’il s’allonge sur le matelas. Elle se coucha alors sur lui, continuant de l’embrasser et se mit à tirer sur la robe de sorcier pour la faire remonter. Lorsqu’elle eut dégagé le ventre, Lupin se sentit soudainement apeuré. Il était seul. Cela le taraudait tellement qu’il laissait faire Tonks sans rien dire. Depuis qu’il l’avait connu, il avait toujours apprécié la jeune femme. Il la trouvait mignonne, intelligente et drôle. Mais il se disait qu’il n’était pas amoureux. Or Tonks éprouvait des sentiments pour lui. Il fut soudain dégoûté de son attitude. Il attrapa la jeune Auror par les épaules et la souleva un peu.

« Non, fit-il avec douceur. Je ne peux pas te laisser continuer. Je t’aime beaucoup, Tonks, mais je ne sais pas si c’est à ce point. »

La jeune femme avait un visage grave, inhabituel. Elle sembla réfléchir quelques secondes puis elle murmura en souriant.

« Peu m’importe ! Ecoute, accorde-moi juste cette nuit. Juste celle-là. Je ne suis plus une enfant. Je suis consciente de ce que je fais, que ça ne mènera peut être à rien. Mais laisse-moi prendre ce risque. Moi aussi parfois je me sens seule. »

Ce fut cette dernière phrase, plus que toutes les autres, qui eut raison de la peur de Lupin. Il laissa de nouveau le corps de la jeune Auror s’allonger sur le sien. Elle reprit ses baisers langoureux tandis qu’elle finissait d’enlever la robe de sorcier. Il sentit son sexe se dresser peu à peu sous les caresses sensuelles des doigts et des lèvres.

    Lupin laissa alors ses mains glisser sur tout le corps de la jeune femme. L’une d’elle caressait toujours le dos tandis que l’autre descendait avec lenteur sur les fesses rondes puis sur la cuisse nue de Tonks. Il savoura la douceur de la peau tandis que la jeune femme posait ses lèvres sur son torse et laissa sa langue s’y promener. Il remonta sa main vers le petit cul tendre, passant sous le tee-shirt qu’il fit ensuite remonter en tirant avec sa deuxième main. Tonks frémit en sentant son ventre nu en contact avec le membre dur de Lupin. Tout en continuant à lécher le torse et le cou de son ami, elle descendit une petite main vers le pieu de chair et se mit à le caresser avec douceur. Lupin finit d’enlever le tee-shirt en révélant les seins fermes aux tétons érigés qu’il savoura contre son ventre. Sa verge grandit encore un peu sous les tendres mouvements de Tonks. Il descendit entre les cuisses de la jeune Auror et posa ses doigts sur le petit sexe trempé qu’il se mit à masser langoureusement. Elle se mit à gémir faiblement en se tournant un peu sur le côté pour faciliter l’accès à son trésor intime, regardant son ami avec des yeux quémandeurs, presque plaintifs.

    Lupin engouffra un doigt entre les lèvres inférieures. Il s’enfonçait avec lenteur, apparemment au grand plaisir de la jeune femme dont le visage se crispa un peu. Elle resserra ses doigts autour du chibre qu’elle caressait toujours. Lupin entra en elle jusqu’à ce qu’il sentit une paroi l’empêcher de continuer. Tonks était encore vierge. Il s’arrêta net. Non, il ne pouvait pas lui faire ça, pas maintenant. La jeune femme sembla deviner son trouble. Avec rapidité, elle se retrouva à genoux au dessus de lui et se positionna pour avoir le sexe dressé, qu’elle tenait toujours, entre les cuisses. Elle se pencha légèrement en avant, posa sa main libre sur le torse de son ami et abaissa ses fesses en guidant le chibre vers l’entrée des plaisirs. Elle s’empala d’elle-même sur le membre sans aller au bout. Lupin sentit son gland se presser contre l’hymen de la jeune Auror. Elle le regarda avec des yeux ardents de désir et murmura faiblement :

« S’il te plaît ! »

Il sut qu’il ne pourrait pas résister. Il posa ses mains sur la fine taille de Tonks et donna un petit coup de rein qui transperça la faible paroi. La jeune Auror poussa un petit cri puis se remit à descendre le long du sexe jusqu’à se retrouver assise sur les cuisses de son amant.

    Elle sentait son homme douter encore. Elle lui prit alors les mains et les posa sur ses beaux seins en entamant un voluptueux mouvement de hanches qui donnait l’impression que ses jolies fesses glissaient sur le membre durcit. Lupin gémissait sous ses assauts en caressant tendrement la poitrine de la jeune femme. Il trouva pourtant qu’elle se débrouillait très bien pour une fille qui venait juste de perdre sa virginité. Mais il savait que Tonks était pleine de surprises. Elle s’allongea entièrement sur lui et l’embrassa vigoureusement. Tout son corps se frottait à celui de son amant tandis qu’elle s’abattait avec de plus en plus de force sur le sexe viril. Lupin caressait son dos nu, aussi doux et lisse que le satin et il descendit vers les deux fesses rondes qu’il enferma au creux de ses paumes.

    Tonks se démenait avec plaisir sur le chibre de son amant en embrassant chaque parcelle de son visage, comme si elle voulait lui dévorer la tête. Elle se cabra soudain, poussa un cri et retomba sur le corps de Lupin tandis que leurs entrecuisses se trouvèrent inondés. Il entoura la jeune femme de ses bras et la serra un peu pour graver en lui la douce chaleur qu’elle émanait. Tonks se redressa un peu, en souriant. Elle relâcha le membre de son amant qui n’avait pas encore jouit et se mit à glisser vers ses jambes. Elle arrêta sa poitrine à la hauteur du sexe viril. Elle jeta un regard malicieux à Lupin puis elle plissa les yeux comme si elle se concentrait. Aussitôt, ses seins se mirent à grossir pour atteindre la taille de ballon de foot qui restaient toutefois bien fermes. Pendant les quelques instants de bonheur qu’il venait de connaître, Lupin avait oublié que Tonks était une métamorphomage. Il se rendit compte que rien d’autre ne comptait pour lui que la jeune femme qui le caressait si tendrement et l’amour qu’il lui portait. Pendant ce temps, elle s’était abaissée vers le chibre et le léchait avec lenteur bien qu’il n’eut pas besoin de plus d’excitation encore. Tonks mit alors le membre dur entre ses seins qu’elle pressa avant de commencer à monter et descendre le long de la tige tendue, regardant Lupin gémir de plaisir. Malgré la volupté des caresses de la jeune Auror et ses sentiments pour elle, il ne put s’empêcher de penser qu’elle semblait presque experte avec les sexes masculins et se demanda d’où pouvait bien lui provenir tant d’expérience en ce domaine puisqu’il avait pris sa virginité.

    Maintenant, Tonks s’était mise à le sucer avec délectation tout en lui caressant les cuisses et le ventre. Lupin appréciait la langue experte qui allait de son gland à la garde et les lèvres douces qui l’entouraient. Il se redressa, prenant appuie sur l’un de ses coudes, et caressa tendrement les cheveux de sa douce. Il sentait le plaisir arriver. Tonks sembla le comprendre également car elle laissa ses lèvres autour du gland tandis qu’elle masturbait le membre d’une main fougueuse. Lupin crut qu’un torrent déchaîné parcourait son sexe et se répandait sur la langue de la jeune femme qui se régalait du nectar de plaisir de son homme. Elle avala chaque jet de sperme avec un sourire et lécha les derniers restes sur le dard encore frémissant, le nettoyant avec application. Lupin l’attira à lui et embrassa ses lèvres salées en caressant son corps et notamment la voluptueuse poitrine.

« Tu aimes ? Lui demanda-t-elle d’un air malicieux. _ Oui. Mais je te préfère quand même au naturel. Tu es bien plus mignonne en restant simple. »

Tonks le remercia d’un autre baiser puis plissa à nouveau les yeux. Ses seins retrouvèrent leur taille originelle qui suffisait amplement aux mains qui voulaient les découvrir. Lupin commença à les caresser et à les lécher tout en faisant doucement tomber son amante sur le lit. Il massait lentement les deux monts de vénus sous les gémissements ravis de sa compagne. Sa langue entourait successivement les deux pointes de chair érigées. Puis il descendit sa tête sur le ventre plat, s’arrêtant un peu à hauteur du nombril pour le lécher tendrement et reprenant son délicieux chemin vers la source de tous les plaisirs.

    Lupin voulait plus que tout donner du plaisir à Tonks. S’il n’était pas sûr de ses sentiments envers elle, alors la seule chose qu’il pouvait lui apporter c’était la jouissance. Il posa sa langue sur l’intimité humide de la jeune femme et se mit à la lécher dans de longs mouvements. Il prit son bouton d’amour entre deux doigts et se mit à le masturber comme un petit sexe. Tonks gémissait en cambrant les reins. Un flot de sa liqueur d’amour vint se perdre dans la bouche de Lupin. Il remonta ses lèvres pour entourer le doux clitoris tandis qu’il faisait pénétrer deux doigts dans le trésor intime de son amante. Il s’arrêta alors étonné. Comme la première fois qu’il l’avait pénétré de ses doigts, il venait d’être arrêté par une mince paroi. Il lança un regard perdu à Tonks qui souriait d’un air un peu moqueur.

« Je suis une métamorphomage, dit-elle avec malice. Je peux changer ce que bon me semble dans mon corps. Et je peux offrir plusieurs fois ma virginité. J’ai connu pas mal de garçons dans ma vie. Ils ont tous cru être les premiers. Quelque part ils étaient un peu plus fidèles grâce à ça. Ils pensaient tous avoir eu un grand honneur… ou m’avoir fait un grand honneur pour les plus vantards. Mais tu es le premier à qui je révèle mon secret. _ Tu faisais donc semblant la première fois ? _ Oh non, rassure-toi. J’ai toujours sentit quelque chose dans ces moments-là. Ce n’est plus aussi fort que la toute première fois, c’est vrai, mais ça me fait toujours beaucoup d’effets. »

Elle lui sourit encore et tendit une main pour caresser les cheveux grisonnants de son homme avec tendresse. Lupin se traita d’idiot. Il aurait dû y penser bien avant. Mais encore une fois il ne voyait plus en Tonks une métamorphomage. Juste une jeune femme à qui il voulait donner du plaisir.

Souriant à son tour il repris ses caresses, faisant bien attention de préserver la faible paroi pour plus tard. Il but encore de longues gorgées de jus de jouissance sous les petits cris de sa douce puis il remonta vers son tendre visage. Il l’embrassa avec fougue tandis que son membre approchait de l’intimité ruisselante. Il la pénétra avec lenteur jusqu’à ce qu’il soit tout contre le voile intime puis, d’un coup de reins, l’hymen fut à nouveau vaincu alors que Tonks poussa un petit cri. Lupin était encore pris dans un sexe étroit de vierge. Il en ressentait un incroyable plaisir en allant et venant dans le trésor intime de sa douce qui gémissait de plaisir sous chaque coup de boutoir. Il embrassait ses lèvres, laissant les langues se caresser mutuellement, et massaient avec volupté la belle poitrine de Tonks. Il était au bord de la jouissance mais il ne voulait pas venir trop vite. La jeune Auror semblait en pleine extase et il refusait de s’arrêter tant qu’elle n’aurait pas goûter pleinement au plaisir. Il la sentit bientôt se tendre et elle lança sa tête en arrière lâchant un cri aigu tandis qu’elle jouit en inondant le sexe de son amant. Il s’avoua enfin vaincu et s’apprêta à se retirer de sa douce pour éjaculer. Mais Tonks sentit qu’il se dégageait et elle referma les jambes sur son bassin, le maintenant du plus fermement qu’elle put tout contre elle. Lupin n’eut pas le choix et ne lutta pas. Il se figea du plus profond qu’il lui était possible dans le ventre de sa douce et laissa couler son nectar de jouissance. Il s’écroula sur le doux corps de Tonks et la prit dans ses bras en la berçant tendrement. Un courant d’air léger les frôla et ils se réfugièrent bien vite sous les couvertures, l’un contre l’autre. Le sommeil les prit par surprise.

Au petit matin, Lupin fut le premier à se réveiller. Tonks dormait encore contre lui, la tête posée sur son torse et un bras entourant sa taille. Elle avait un petit sourire aux lèvres et sa respiration faible mais chaude caressait la poitrine de son amant. Lupin se sentait bien. Mieux qu’il ne s’était sentit depuis bien longtemps. Il regardait le visage en cÅ“ur de Tonks aux joues encore un peu rose et se demanda s’il aurait un jour l’envie de détourner les yeux. La nuit lui avait porté conseil. Il avait toujours eu beaucoup de tendresse pour la jeune Auror mais il s’était rendu à l’évidence que cela cachait bien d’autre chose. Il ne pensa même pas à la prochaine pleine lune, ni à toutes celles qui suivraient. Il ne pensait qu’à elle, couchée contre son flanc, dans un air si paisible. Il ne voulait pas la réveiller. La cruelle réalité et leurs obligations pour l'ordre pouvait attendre encore un peu. Il posa un baiser délicat sur son front et murmura un « je t’aime » à la jeune endormie. Un instant il crut que le sourire de Tonks s’était un peu élargit. Puis il posa sa tête sur l’oreiller en resserrant un peu et avec précaution son étreinte sur sa douce. Il savoura la douceur de sa peau sur la sienne. Et il ne bougea plus.